Vous êtes Florent, vous avez 39 ans. Grand, svelte, des cheveux bruns souvent en bataille, un peu ténébreux, on ne peut vraiment pas dire que vous manquez de charme. Grâce notamment à vos yeux verts qui ont toujours fait la fierté de votre Maman. Vous aimez l'indépendance que vous confère votre statut de célibataire, mais il vous arrive tout de même de vous sentir un peu seul. Vous aimez votre boulot, vous êtes un sportif amateur touche-à-tout... En définitive, vous avez peu de défauts. Car vous pourriez êtes un sale con, mais non : vous êtes ce qu'on appelle "un type bien" et vous amis louent votre altruisme, votre fidélité et votre sens de l'humour. Le genre parfait. Allez à l'[[1]]En cette fin de mois de juin, vous êtes parti crapahuter quelques jours à travers les Alpes. Après une journée complète de randonnée sous le soleil, vous arrivez enfin au bord de ce lac magnifique que vous aperceviez depuis le mi-journée, lorsque vous avez franchi le col escarpé de la chaine montagneuse qui domine les eaux bleus. Il vous tarde de pouvoir installer votre tente et de vous reposer. Vous vous dirigez donc à l'entrée du camping et pénétrez dans l'office d'accueil. La porte s'est à peine refermée qu'une femme apparait d'une pièce derrière le comptoir. Vous lui donnez une cinquantaine d'années. Pas très grande, très ronde, les cheveux courts d'un blond décoloré criard, elle porte un legging rose pastel et un long chemisier blanc qui, heureusement, dissimule un arrière-train que vous ne souhaitez pas reluquer pour une fois. Marianne, c'est son nom, est néanmoins fort sympathique et, après avoir réglé votre dû, elle vous invite à prendre le café. VOUS REFUSEZ [[2]] VOUS ACCEPTEZ [[3]] Marianne vous donne un plan du camping et vous vous rendez à votre emplacement. Vous constatez que celui-ci est extrêmement bien situé, non loin des commodités du camping, de la piscine et du lac. De plus, il est bordé à gauche et derrière par d'épais buissons. En face se trouve le lac et à votre droite, derrière une rangée de fleurs est plantée une tente qui semble vide pour l'instant. PASSEZ AU [[4]] Vous passez derrière le comptoir et entrez dans la pièce d'où sortait Marianne à votre arrivée. Elle dépose une tasse peu remplie devant vous mais l'odeur est délicieuse. Elle vous renseigne sur les curiosités alentours et insiste sur l'hospitalité des habitants de la région. Vous lui dites qu'elle leur fait honneur en vous offrant la café dès votre arrivée. Votre remarque la touche et, gênée, elle fait maladroitement tomber sa petite cuillère au sol. Elle se lève alors vivement et se penche pour la ramasser. Vous avez regardé, malgré vous, par réflexe, l'énorme postérieur de la gérante. Si la taille vous fait frissonner, vous restez bouche béé par le détail que vous avez vu : pas de doute, Marianne porte un tanga Aubade, modèle Bahia, celui avec le petit noeud, que vous aimez tant. Vous vous empressez le porter votre tasse à la bouche avant que la forte femme ne se retourne. Marianne ne vous lâche plus alors que vous n'avez qu'une envie, vous allonger et vous reposer. Appréciant visiblement votre compagnie, elle vous invite à passer la voir à l'accueil quand vous le voulez. Alors que vous alliez enfin prendre congé, Marianne dit : "Je vais appeler ma fille pour qu'elle vous accompagne à votre emplacement." Vous n'avez pas le temps de refuser qu'elle hurle un tonitruant "Justiiiiiiine ! Descends !". Une crinière de boucles noires, des yeux marrons, une bouche magnifique, de gros seins dans un débardeur violet trop serré, une minijupe en jeans, Justine ne vous laisse pas indifférent. Vous lui donnez entre 23 et 25 ans. Cependant, votre poil se hérisse en entendant sa voix nasillarde au possible. Pire encore, son rire qui s'apparente à un gloussement de dindon. VOUS REFUSEZ [[2]] VOUS ACCEPTEZ [[5]]Vous attaquez votre tente avec ardeur : plus vite elle sera montée, plus vite vous pourrez vous reposer. Il ne vous faut qu'une vingtaine de minutes pour y parvenir. PASSEZ AU [[6]]Marianne vous donne un plan et vous partez avec Justine. En chemin, la jolie brune monopolise la parole et rit de ses propres bons mots. Heureusement, l'emplacement n'est pas loin. Vous constatez que celui-ci est extrêmement bien situé, non loin des commodités du camping, de la piscine et du lac. De plus, il est bordé à gauche et derrière par d'épais buissons. En face se trouve le lac et à votre droite, derrière une rangée de fleurs est plantée une tente qui semble vide pour l'instant. Justine propose de vous aidez à monter votre tente. VOUS REFUSEZ [[4]] VOUS ACCEPTEZ [[7]] Vous rangez vos affaires dans votre tente. Vous vous allongez quelques secondes sur votre couche. Vous vous dites que quelques brasses dans la piscine seront certainement bien utiles à votre récupération. Mais avant, une dernière corvée : il vous faut lavez vos affaires du jour et prendre une bonne douche. En boxer, vous vous dirigez vers les sanitaires et trouvez rapidement l'endroit pour effectuer votre lessive. Une femme d'une quarantaine d'année, blonde, vêtue d'un t-shirt rouge et d'un short blanc, est en train de laver un cuissard cycliste. Vous n'avez pas d'autres choix que de vous installer à côté d'elle et lavez vos affaires. VOUS N'ENGAGEZ PAS LA CONVERSATION [[11]] VOUS ENGAGEZ LA CONVERSATION [[12]]Vous êtes ravi de constater que Justine ne parle plus lorsqu'elle est occupée. Qui plus est, elle est particulièrement habile. Alors qu'elle plante les sardines en terre, votre regard plonge dans le décolleté très chargé de la jeune femme. Cela vous émeut particulièrement. Vous êtes encore un peu troublé alors qu'elle s'approche de vous mais vous donnez le change : Vous : "Merci Justine, vous m'êtes d'une aide précieuse." Elle : "Oh, vous savez, c'est seulement le troisième été que je fais ça. Avant, ma mère ne voulait pas." Vous : "Pourtant, vous n'êtes pas si jeune !" Elle : "Vous avez raison, j'ai eu 17 ans la semaine passée !" Et tandis qu'elle part dans un gloussement de satisfaction, vous restez sans voix devant autant de seins chez une si jeune fille. VOUS SALUEZ JUSTINE QUI S'EN VA [[6]] VOUS LUI PROPOSEZ DE PARTAGER VOTRE DERNIER COCA-COLA [[8]]Vous finissez votre lessive et prenez une bonne douche rapide avant de revenir à votre emplacement. Alors que vous êtes en train d'étendre votre maillot de randonnée, deux blondes arrivent à la tente voisine en maillot de bain et paréos noués sur les hanches. Elles parlent allemands. La première doit faire plus d'1m80. Elle a les cheveux lisses et très longs, des épaules et une mâchoire de déménageur. Malgré votre physique très sportif, vous êtes jaloux de la plaque de chocolat qui lui sert d'abdominaux. Ses cuisses sont imposantes et musclées. La seconde est à peine moins grande, mais plus fine malgré une musculature tout aussi impressionnante sur les cuisses. Son monokini révèle difficilement une once de poitrine. Elle porte les cheveux au carré et semble avoir un nez assez proéminent. VOUS ENGAGEZ LA CONVERSATION [[14]] VOUS N'ENGAGEZ PAS ET PARTEZ A LA PISCINE [[13]] Vous saluez votre voisine de lessive ce qui la sort visiblement de profondes réflexions. Après un machinal coup d'oeil, elle semble prendre conscience de votre présence et stoppe son activité. Elle semble vous scanner, ses yeux brillent, son sourire est immense et elle répond enfin à votre "Bonjour". Elle recommence à frotter le cuissard non sans vous observer fréquemment du coin de l'oeil. Vous lui demandez si elle est au camping depuis longtemps. Elle : "Yé pas parlé français. Yé souis portougaise. Yé souis au campismo dépoiche ouné semanha. Et vous ?" Elle s'est tournée vers vous pour vous répondre. Son visage est joli sans plus et elle a un beau sourire. Le t-shirt large et sans forme ne vous permet pas de vous faire une idée précise de sa poitrine mais vous devinez qu'elle ne doit pas être trop menue. Son court short en lin laisse admirer des jambes certes rondelettes mais sans graisse. Vous : "Je viens d'arriver. Je pense rester 2 jours au maximum. Vous faites du vélo ?" Elle : "Dou vélo ?" Vous : "Ce que vous lavez. Des vêtements de vélo. De bicyclette." Elle : "Ah sim, bicicleta. Nao, pas moi. Meu marido." Elle reprend son lavage et le termine. Elle s'approche de vous, vous fixe du regard et semble avoir réfléchi à ce qu'elle allait dire : "Amahna… Demain, vous venir noumero qouaranté-oune, oite y meia o nove hore de manha. Pétit-déjeuner." Vous n'avez pas tout compris mais les yeux de la lusitanienne sur votre entrejambe vous laisse à penser qu'il ne sera pas forcément question de croissant et de confiture. Elle répète l'emplacement et l'heure. Vous dites nonchalamment "OK" et regardez partir cette femme étrange les yeux plantés sur son postérieur particulièrement rebondi et appétissant. PASSEZ AU [[11]]Justine accepte votre proposition et s'installe sans attendre dans votre tente. Vous prenez la canette encore fraiche dans votre sac isotherme un verre et la rejoignez. Justine est assise en tailleur et au moment où vous vous asseyez en face d'elle, vous constatez que vous avez une vue plongeante sur sa culotte blanche et que celle-ci est tachée d'une belle ligne humide. Vous tremblez en versant la canette dans le verre. Vous trinquez. Justine dit : "Vous préférez mes seins ou ma culotte ?" Vous renversez votre verre. Elle insiste. SES SEINS [[9]] SA CULOTTE [[10]]Vous balbutiez que sa poitrine vous impressionne. Elle vous jette un regard noir avant de vous balancer la canette à la figure : "Vous êtes vraiment tous les mêmes !" Elle s'en va. PASSEZ AU [[6]]Vous ne voyez plus que sa culotte de toute façon et c'est ce mot que vous articulez tant bien que mal. Justine sourit et rougit. Elle glisse ses mains sous sa minijupe et retire l'humide étoffe blanche. S'approchant de vous, elle la glisse dans votre main et vous repousse en arrière. Elle ouvre votre pantalon de rando, sort votre engin au garde-à-vous et commence à le sucer avec habileté. Vous êtes sans réaction et bénissez cette fameuse hospitalité. Vous humez à plein poumons la culotte sale de la brunette qui vous gratifie d'une sublime fellation. Désireux de lui rendre la pareille, vous attirez ses jambes et glissez votre visage sous la jupe. Son sexe glabre est trempé et vous y goûtez avec délectation. La belle est agréablement sucrée-salée. Tandis qu'elle s'active plus vivement sur votre queue, vous ne résistez pas à glissez également votre langue dans son petit trou, ce qui a pour effet de la faire cessez sa fellation, qu'elle reprend lorsque vous revenez à son minou. Elle jouit à deux reprises avant que vous ne déchargiez dans sa bouche. Elle se rassied quelques secondes avant de se lever vivement, une grossièreté à la bouche. Elle a oublié un rendez-vous et quitte précipitamment votre tente pour courir en direction de l'accueil. Vous êtes ravi de votre arrivée au camping. PASSEZ AU [[6]] Vous les saluez en anglais. Elles se tournent vers vous, vous sourient et vous répondez simultanément en allemand. Sans hésitez, vous enchainez : "My name is Florent, nice to meet you !" Elles se regardent, rient et le déménageur vous répond : "Sorry… Aber wir sprechen nur deutsch !" Vous faites alors un immense effort de mémoire pour vous rappeler quelques mots appris dans la langue de Goethe à l'école. "Ja… Gut… Mein Name ist Florent und ich bin froh zu… zu… kennen." Vous n'êtes pas du tout sûr de vous mais elles rient, c'est déjà ça. La plus fine répond : "Ich heisse Petra und sie heisst Annette." VOUS LEUR PROPOSEZ D'ALLER A LA PISCINE [[16]] VOUS NE PROPOSEZ RIEN ET PARTEZ SEUL A LA PISCINE [[13]] Vous entamez enfin quelques longueurs de bassin tranquilles, histoire de décontracter vos jambes endolories. Vous terminez votre sixième traversées, tout en souplesse, quand une personne vous plonge quasiment dessus. Fâché, vous faites face au malotru qui a osé en vous apprêtant à l'insulter. Il s'agit d'une jeune femme qui semble sincèrement confuse. Blonde, ses magnifiques yeux bleus et rieurs vous transpercent et apaisent votre colère. Vous lancez tout de même : "Faites un peu attention, s'il vous plait !" Elle : "Je suis vraiment désolée, on m'a poussée." Vous vous retournez et voyez quatre jeunes hilares qui cessent rapidement de rire. Deux garçons et deux filles. Les garçons semblent être des sosies de Laurel et Hardy, un grand échalas blond très mince et un petit brun trapu. Les filles sont brunes et potelées sans être rondes : l'une à les cheveux très courts et de gros seins, l'autre a les cheveux mi-longs, de très gros seins et un bas de bikini blanc qui laisse deviner les traits principaux de son intimité. Le trapu hèle votre torpille : "A tout à l'heure, Sophie !" Il prend la main de la brune à cheveux courts tandis que le grand pin prend le bikini blanc par la taille. Ils partent en direction des mobile-homes. VOUS POURSUIVEZ VOS LONGUEURS [[18]] VOUS ENGAGEZ LA CONVERSATION AVEC LA BLONDE QUI A FAILLI VOUS COULER [[19]]Vous faites encore trois aller-retours dans le bassin avant de sortir. Vous vous séchez, passez en vitesse à la douche et retournez à votre tente. Il est 19h, vous jetez un coup d'oeil à la tente voisine, mais elle semble vide. CURIEUX, VOUS DECIDEZ D'ALLER REGARDER PAR LA LUCARNE DE LA TENTE [[22]] VOUS VOUS PREPAREZ POUR ALLER MANGER AU RESTAURANT [[23]]Vous faite amende honorable et souriez : "On dirait qu'on vous abandonne, les rats quittent le navire !" Elle rit : "Oh, ce n'est pas bien grave, je dois dire que je l'ai bien cherché. Je suis rassurée de ne pas vous avoir blessé." Vous : "Aucun problème. J'ai surtout été surpris. Cela dit, c'est un moyen de rencontre comme un autre. Je m'appelle Florent." La blonde éclate de rire et rougit un peu : "Comme vous l'avez entendu, je m'appelle Sophie." Vous vous installez sur les marches de la piscine désormais presque vide et apprenez que Sophie est la cousine de la brune à cheveux courts et que les deux couples lui ont proposé de les accompagner car elle sort d'une rupture sentimentale. Elle a la décence de ne pas s'éterniser dessus. Sophie a des épaules musclées et de jolis seins. Elle est passionnée de tennis. VOUS LUI PROPOSER D'ECHANGER QUELQUES BALLES A L'OCCASION [[20]] VOUS ETES DESORMAIS SEULS DANS LE BASSIN ET LUI PROPOSER DE FAIRE QUELQUES LONGUEURS DE NATATION AVEC VOUS [[21]]Lancé, on ne vous arrête plus : "Ich gehe zu Schwimmbad. Wollen Sie kommen mit mir ?" Elles discutent entre elles. ça se présente mal pour Petra dont les rictus vous font penser qu'elle n'a pas très envie de se baigner. Et effectivement, Annette le déménageur vous fait comprendre qu'elle vous accompagne. Vous partez donc avec elle et cela vous fait bizarre que la femme à vos côtés soit aussi grande et plus balèze que vous. La communication est compliquée mais vous parvenez à comprendre qu'elle vient de Karlsruhe, qu'elle fait partie de l'équipe de water-polo et que son équipe est "Deutschemeister", championne d'Allemagne. Une star. Vous vous installez sur des transats. Entre allemand, français, anglais, espagnol et italien, vous parvenez à échanger un peu. Annette est drôle et très sympa. Vous lui proposez d'aller dans l'eau. Elle se lève, enlève son paréo et glisse dans l'eau. Il y a beaucoup de monde dans l'eau, principalement les enfants d'une école du village qui vous éclaboussent sans cesse. D'un commun accord, vous décidez de retourner au transat. C'est quand Annette sort de l'eau que vous constatez qu'elle porte un bas de bikini string. Son cul musclé semble incroyablement ferme. Elle s'allonge à plat ventre sur le transat et vous gardez les yeux sur ce fessier rebondi. Vous mourrez d'envie d'y passer la main. Derrière vos lunettes de soleil, vous ne matez que ça et vous vous dites que ça doit être un sacré bon moment que de prendre une femme telle qu'Annette en levrette. Vous riez intérieurement à votre rime. Quelques minutes plus tard, Annette vous dit : "Moi sehr gut mit dir. Toi zu Tente kommen ?" VOUS PREFEREZ RESTER A LA PISCINE, EN PLUS, LES ENFANTS S'EN VONT [[13]] VOUS ALLEZ AVEC ELLE [[17]] Annette semble vous sourire de plus en plus souvent. Vous commenceriez presque à la trouver jolie. Mais surtout, vous êtes très curieux de savoir ce qu'elle a derrière la tête. Vous arrivez doucement aux tentes. Petra est debout devant leur emplacement, les bras croisés. Avant d'arriver vers Petra, Annette s'arrête, dépose un baiser sur votre joue et dit : "Danke, du bist sehr sympatisch. Petra und moi aller à… fête camping heute abend. Und du ?" Vous ne savez pas de quoi elle parle, vous êtes surtout déçu qu'il ne se passe rien. Vous restez vague : "Vielleicht, ich weiss es nicht." Peut-être, je n'en sais rien. Annette et Petra entrent dans leur tente et vous entendez des éclats de voix. Il y a de l'eau dans le gaz et vous avez vraiment envie de nager une moment. VOUS RETOURNEZ A LA PISCINE [[13]] Vous passez discrètement à travers la rangée de fleurs et zieutez en vitesse dans la tente. Elle est vide. Durant un second coup d'oeil plus long, votre regard est attiré par un soutien-gorge et un string oranges posés au pied de la couche avec d'autres habits. SANS GÊNE, VOUS DECIDEZ D'ENTRER [[24]] VOUS AVEZ HONTE DE VOUS ET RETOURNER A VOTRE TENTE VOUS PREPARER [[23]]Vous passez votre unique tenue de soirée, soit un bermuda en lin beige et une chemise à manches courtes bleue ciel. Coiffé et parfumé, vous prenez la direction du restaurant du camping. La soirée est chaude sans êtes étouffante. Vous vous sentez bien. Vous atteignez une vaste terrasse où semblent réunis la plupart des vacanciers. Vous vous dirigez vers le bar et commandez une bière. A peine l'avez-vous entamée que vous entendez un sonore "A votre santé" dans votre dos.Vous vous retournez et découvrez Marianne dans une robe bavaroise qui sied ma foi fort bien à son physique, notamment sa poitrine sur laquelle vous bloquez quelques secondes. Elle : "Ah, mon randonneur préféré ! Je suis ravie que vous soyez venu à cette soirée !" Puis, murmurant : "C'est agréable d'avoir un bel homme dans la force de l'âge comme vous ici, car vous le constaterez par vous même, soit c'est les limites de la gériatrie, soit des sorties de couches !" En jetant un nouveau coup d'oeil à la terrasse, vous vous dites Marianne exagère, mais vous êtes surpris de constater que vous êtes probablement le seul homme entre 25 et 50 ans. Vous en riez : "Oh, je pense qu'il y en aura bien plus durant l'été, n'est-ce pas !" Elle : "Si seulement ! Mais c'est rare ! Ici, ce sont principalement des jeunes et des retraités ! A part la piscine, il n'y a aucune activité pour des enfants alors les familles ne viennent pas ! Alors vous comprenez que je suis heureuse de vous avoir ici ce soir. Et je réitère ma proposition pour le café, j'y tiens. Demain après-midi devrait être assez calme, cela me ferait extrêmement plaisir." Le petit clin d'oeil que Marianne vous lance avant de s'éloigner vous flatte et vous inquiète un peu. En attendant, vous finissez votre bière en observant les campeurs réunis et cherchez du regard des visages connus mais vous n'apercevez personne. Vous entendez à nouveau Marianne dans votre dos : elle présente sa fille Justine à un couple de campeur. Justine porte un combishort parfaitement court, moulant et sexy. La bière agit rapidement sur votre vessie et vous allez aux toilettes. PASSEZ AU [[25]]Le sourire qu'elle vous lance en réponse à votre proposition n'est pas celui d'une sportive qui accepte une simple rencontre amicale : c'est une femme qui accepte un rendez-vous. Comme par hasard, le lendemain matin, les deux couples vont faire un tour de bateau sur le lac et cette perspective ne réjouissait pas Sophie. Rendez-vous à 10h30 à l'accueil pour y louer le matériel. Sophie se lève, vous serre la main et s'en va. Son postérieur est agréablement rebondi et aussi joli que ses seins. PASSEZ AU [[18]]Sophie grimace : elle n'aime pas nager. Elle vous dit qu'elle ne veut pas vous déranger plus longtemps, se lève, vous serre la main et s'en va. PASSEZ AU [[18]] Vous entrez dans la tente à toute vitesse et refermez. Une odeur de parfum féminin embaume la petite pièce. Dans un petit panier, un peu d'argent et deux passeports aux noms d'Annette Schönried et de Petra Wegmüller. Une revue de natation ouverte propose une photo d'Annette une coupe entre les mains. Mais vous passez rapidement à l'ensemble de lingerie orange. Vous prenez délicatement le string manifestement sale et le montez à vos narines. Une forte odeur s'en dégage et cela vous excite particulièrement. Vu la taille du soutien-gorge, l'ensemble doit appartenir à Annette. Vous le posez sur le lit et prenez les habits un à un. Une jupe courte noire, un débardeur orange très odorant lui aussi, un minishort rose pastel, un haut décolleté bleu marine et un string blanc minuscule et transparent qui n'a pas assez de tissu pour avoir conserver suffisamment d'odeur. Vous déduisez les tenues de la veille de vos voisines (débardeur et dessous oranges avec jupe noire pour Annette, short, haut décolleté et ministring pour Petra) et cela vous plait. Excité, vous sortez votre queue et commencez à vous masturber. Vous reprenez le string orange et le respirez à plein nez. Dans un état quasi second, vous ne vous rendez pas compte que vous êtes à la limite de jouir. Quand vous retrouver vos esprits, il est trop tard. Par réflexe, vous portez votre main devant votre sexe, la main qui tient le string. Vous jouissez dedans. Tant que vous y êtes, vous vous y essuyez le bout également. Vous ne savez que faire. Vous reposez finalement tous les habits dans l'ordre où vous les avez trouvés. Personne ne peut savoir que c'est vous. Vous vérifiez vos arrières avant de sortir et d'aller à votre tente. PASSEZ AU [[23]]Arrivé aux toilettes, et bien que trois cabines soient ouvertes, vous poussez celle dont la porte est fermée. Un petit craquement sous la faible pression de votre main et vous tombez nez-à-nez avec le grand échalas blond tenant fermement par les hanches la brune à cheveux courts. Tous deux ont le short sur les chevilles. Il referme prestement la porte et vous allez pisser à côté. Vous vous souvenez alors que la brune à cheveux courts semblait être avec le petit trapu. Cela vous est confirmé quelques secondes plus tard par les bribes de conversation que vous entendez : "trop dangereux ici", "j'ai eu si peur", "ça aurait pu être Jules", "j'y retourne vite". C'est le grand échalas qui a parlé et vous l'entendez partir. Vous sortez de votre cabine et êtes en train de vous laver les mains quand la brune sort à son tour de la sienne. VOUS L'INTERPELLEZ [[26]] VOUS NE DITES RIEN ET RETOURNEZ SUR LA TERRASSE [[34]]"Ce n'est pas très beau ce que vous faites !" La brune vous prend de haut : "De quoi je me mêle ?" Vous : "De rien. Je suis simplement mêlé malgré moi, vois-tu..." La brune est perspicace et comprend immédiatement. Tandis que vous vous séchez machinalement les main, elle s'adoucit : "Oh ! C'est... c'est juste un truc entre nous, nous sommes assez... libres !" Vous : "Ce n'est pas ce que j'ai cru comprendre mais j'aime beaucoup que tu te dises assez libre !" Vous n'en revenez pas de ce que vous êtes en train de faire. La brune est déstabilisée et semble hésiter entre une tentative de vous raisonner et la fuite. Vous foncez. Vous vous approchez d'elle et plottez son sein droit. Elle ne réagit pas. Vous lui faites un petit signe de la tête pour qu'elle entre dans une autre cabine. Vous la suivez. VOUS LUI DEMANDEZ DE VOUS SUCEZ [[27]] VOUS LUI DEMANDEZ D'ENLEVER SON T-SHIRT [[28]] De retour sur la terrasse, vous vous dirigez vers le buffet et vous servez une assiette équilibrée. Vous n'oubliez pas votre randonnée, le camping n'est qu'une étape. Aucune place disponible si ce n'est entre deux retraités et face à... un couple de retraités. Vous vous y installez et participez un peu à la discussion. Cependant, vous ne vous éternisez pas à table et profitez des derniers rayons du soleil pour faire quelques pas de digestion. Vous passez devant l'accueil et suivez le panneau indiquant la "Place de sport", située à cinq bonnes minutes de marche de l'accueil, en haut du camping, à l'opposé du lac. Vous passez devant un stand de tir à l'arc délabré et ce qui fut certainement un terrain de volley. Le court de tennis n'est pas en très bon état, mais c'est tout à fait jouable. Il y a des sanitaires à côté qui ne doivent être utilisés que par les joueurs vu qu'il n'y a aucun emplacement alentours. Vous revenez vers le lac en repassant devant l'accueil et la terrasse du restaurant. Il y a un plage tout le long du camping, composée de cailloux ronds et de sable grossier. Au bout d'un ponton, vous apercevez Justine avec une autre fille et deux garçons. Vous parcourez tout le front du lac. Au bout de la plage, une vingtaine de personnes avec des enfants font un grand barbecue. Clairement, vous vous faites chier. Un livre vous attend sous votre tente. VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[35]] VOUS VOUS ASSEYEZ SUR LA PLAGE ET REGARDEZ LE SOLEIL SE COUCHER [[36]]"Tu me suces et j'oublie tout." La brune s'accroupit devant vous, défait votre bermuda, sort votre queue et la caresse doucement. Elle approche le visage et vous décoche soudainement un violent coup de poing dans les couilles qui vous plie en deux. Elle en profite bien entendu pour s'en aller. Connard que vous êtes, vous l'avez bien mérité. Vous vous remettez tant bien que mal. PASSEZ AU [[34]]La brune s'exécute et découvre un soutien-gorge balconnet rose généreusement fourni. Vous donnez le change et tentez de rester de marbre. VOUS LUI DEMANDEZ DE VOUS SUCEZ [[27]] VOUS LUI DEMANDEZ D'ENLEVER SON SOUTIEN-GORGE [[29]]Elle obéit et vous sentez vous jambes avoir une légère faiblesse lorsqu'elle tombe l'étoffe rose. La brune remarque votre trouble et reprend du poil de la bête : "Ça vous plait de m'humilier ?" VOUS LUI DEMANDEZ DE VOUS SUCEZ [[27]] VOUS LUI DEMANDEZ D'ENLEVER SON SHORT [[30]] VOUS TROUVEZ QUE ÇA N'EST PAS JUSTE ET ENLEVEZ VOTRE CHEMISE [[32]] La brune vous jette un regard noir et tombe son short. Le bas est également rose, assorti au haut. VOUS LUI DEMANDEZ DE VOUS SUCEZ [[27]] VOUS LUI DEMANDEZ DE SE TOURNER [[31]]Vous déboutonnez et retirez votre chemise. "Tu as raison après tout, nous voilà à égalité." La brune change illico à la vue de vos plaques de chocolat (même si vous êtes tout de même jaloux de celles de votre voisine allemande). Elle vous mate, c'est clair. Elle mordille subrepticement sa lèvre inférieure et sourit en coin. VOUS LUI DEMANDEZ DE VOUS SUCEZ [[27]] VOUS LUI DEMANDEZ D'ENLEVER SON SHORT [[30]] VOUS ENLEVEZ VOTRE BERMUDA [[33]] Le string ficelle rose avec un petit noeud, des fesses un peu large mais si joliment rondes et semblant si douces. C'en est trop. Vos secondes de béatitude se transforment instantanément en violente douleur testiculaire : la brune vient de shooter votre entrejambe en se retournant vivement. Elle ramasse ses habits et file. Il vous faut de longues minutes pour vous remettre. PASSEZ AU [[34]]Vous profitez de la situation pour apaiser la tension entre vous deux. En boxer moulant, vous observez la brune qui guigne sur votre entrejambe. Vous n'avez rien besoin de dire pour qu'elle tombe son short, ni pour qu'elle se tourne et vous dévoile le petit noeud rose ornant son string ficelle et surtout, un postérieur certes un peu large mais si magnifiquement rond et si doux. Car vos mains le caresse plusieurs secondes avant de remonter à la poitrine de la belle. Vous bandez durement dans votre boxer entre ses fesses se frottent à votre bas-ventre. Elle vous attrape par le coup. "Je m'appelle Eloïse et j'ai très envie qu'on enlève ce qu'il nous reste." "Moi, Florent." Votre boxer tombe simultanément à son string et vous la pénétrez illico. Vous êtes très excité par ses douces rondeurs et vous ressortez assez vite pour ne pas jouir. Vous vous agenouillez pour un cunnilingus et un anulingus. Eloïse se tourne ensuite et jouit des arabesques de votre langue sur son petit bouton. Vous vous relevez et la pénétrez de face. Elle est vraiment canon. Vous sentant non loin du bout, Eloïse s'agenouille à son tour et vous prend entre ses seins quelques secondes avant de vous prendre dans sa bouche. Elle vous gobe et vous aspire la chique alors que vous venez d'exploser dans sa gorge. Eloïse se relève et vous embrasse délicatement. "J'ajouterais volontiers quelques chapitres à cette petite histoire, si, bien entendu, elle restait entre nous. Comme ce qu'il s'est passé avant." Message reçu. Vous vous rhabillez et vous ne résistez pas à l'envie de lui caresser un dernière fois les seins au moment d'un dernier baiser. Elle sort. PASSEZ AU [[34]]Ereinté, vous vous endormez à peine allongé sur votre couche et rien ne vient perturber votre sommeil. Au matin, les premiers rayons du soleil vous réveillent. Un coup d'oeil à votre montre : 6h. Vous vous rendormez sans parvenir à reprendre un sommeil profond. Vous somnolez. A 7h, du coin de l'oeil, au travers de votre moustiquaire,vous apercevez Petra qui quitte la tente. Vous apercevez ensuite Annette qui sort également. Alors que Petra était habillée, Annette est en débardeur et string. SI VOUS VOUS ETES INTRODUITS DANS LA TENTE DES ALLEMANDES [[42]] SI VOUS CONNAISSEZ ANNETTE MAIS QUE VOUS NE VOUS ETES PAS INTRODUITS DANS LA TENTE DES ALLEMANDES [[44]] SI VOUS NE CONNAISSEZ PAS ANNETTE ET QUE VOUS NE VOUS ETES PAS INTRODUITS DANS LA TENTE DES ALLEMANDES [[43]] Vous regardez les reflets sur le lac et trouvez cela magnifique. Vous écoutez le clapotis des fines vaguelettes qui vont et viennent à quelques mètres de vos pieds. La luminosité baisse. Un couple marche le long de l'eau, dans votre direction. La femme porte une jupe plissée et vous ne reconnaissez votre voisine de lessive portugaise seulement lorsqu'ils sont à moins de deux mètres de vous. Son partenaire semble être bien plus âgé qu'elle. En passant devant vous, elle vous fait un signe discret de la main. Alors que vous regardez ses jambes s'éloigner, elle soulève rapidement sa jupe, vous laissant à peine le temps d'entrevoir la peau de ses fesses et peu de tissu. Vous adorez ce camping. Il fait désormais presque nuit et une petite brise rafraichit agréablement une journée particulièrement chaude. Vous hésitez sur la poursuite de la soirée. VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[35]] VOUS VOUS AUTORISEZ UNE AUTRE BIERE AU BAR [[37]]Vous vous allongez à nouveau et encore dans un état un peu léthargique, il vous semble que des pas se rapprochent de vous. Annette est devant votre tente, vous sursautez. Elle entre et referme entièrement derrière elle. Sans dire un mot, elle vous lance deux petits appareils et en les reconnaissant, votre coeur s'emballe : une caméra miniature et un écran. A l'image fixe sur l'écran, vous portez le string d'Annette à votre nez. Vous la regardez, elle a un sourire narquois. Alors que vous revenez à l'écran, elle s'approche de vous et ouvre votre sac de couchage. PASSEZ AU [[46]]Elle fait des exercices d'assouplissement. Son physique de déménageur vous excite et vous vous masturbez doucement en la regardant. VOUS SORTEZ DE VOTRE TENTE VÊTU DE VOTRE SEUL BOXER [[45]] VOUS VOUS RENDORMEZ [[43]]Vous vous rendormez et vous réveillez finalement à 8h. PASSEZ AU [[49]]Vous retrouvez le chemin du restaurant dont la terrasse est désormais bien moins fréquentée. Il y a là quelques couples dont les enfants jouent dans les jeux qui jouxtent la terrasse mais toujours aucune tête connue de vous, si ce n'est celle de Marianne qui discute maintenant avec un couple dans la femme tient un bébé dans les bras. La soirée est bien pourrie et vous vous dirigez cette fois vers votre tente. Dans l'obscurité, vous vous égarez quelque peu mais vous vous repérez grâce à la lueur des sanitaires par lesquels vous jugez préférable passer pour rejoindre votre emplacement. Vous retrouvez votre tente. Vous prenez de quoi faire une petite toilette et retournez aux sanitaires. La brune à cheveux courts se lave les dents. SI VOUS CONNAISSEZ ELOISE ET QU'ELLE VOUS EST SYMPATHIQUE [[38]] SI VOUS CONNAISSEZ ELOISE ET QU'ELLE VOUS EST ANTIPATHIQUE [[39]] SI VOUS NE CONNAISSEZ PAS ELOISE [[40]] "Où as-tu donc disparue ?" Elle sursaute, se retourne et vous fait signe de vous taire en indiquant une porte de toilettes derrière elle. Elle s'approche et murmure : "Va m'attendre dans la cabine de douche pour handicapés." VOUS ACCEPTEZ [[41]] VOUS REFUSEZ [[40]]Vous choisissez d'attendre patiemment le départ de la jolie brune. PASSEZ AU [[40]]Vous vous lavez les dents puis vous vous rasez. En revenant vers votre tente, vous remarquez que vos voisines allemandes sont rentrées et vous entendez des éclats de voix dans leur tente. PASSEZ AU [[35]]La cabine de douche pour handicapés est bien plus vaste que les autres et munie d'une chaise sur laquelle vous vous asseyez en attendant Eloïse. Pas bien longtemps. A peine entrée, elle enlève pyjama bleu nuit à pois blancs en satin, soit un débardeur et un short et vient s'asseoir à califourchon sur vos jambes tout en déboutonnant votre braguette : "J'ai vraiment pas beaucoup de temps." La simple vue du corps nu de la brunette vous a mis en état de fonctionnement et Eloïse s'empale vivement sur votre bite. Le rythme effréné qu'elle imprime vous ravit et vous n'avez d'yeux que pour ces deux melons qui dansent devant vous. Eloïse jouit juste avant vous. Elle se retire rapidement, se rhabille, vous embrasse et dit : "J'espère qu'on pourra prendre le temps de le faire une autre fois." Un dernier clin d'oeil et elle s'en va. Vous adorez cette fille finalement. PASSEZ AU [[40]]Annette prend votre queue dans la bouche et entame une fellation plus qu'agréable. Vous êtes abasourdi, mais drôlement content. La championne allemande sait visiblement y faire, alternant vifs va-et-vient et doux coups de langue. Elle se redresse ensuite, retire son débardeur et son string avant de glisser sur votre pieu. Pas longtemps, juste le temps d'un orgasme. Elle s'allonge à vos côtés. Après quelques baisers, vous descendez vers son sexe rasé et jouez avec son clitoris. Avoir le nez dans le sexe d'une telle femme vous rend fou. Vous la tournez et, votre péché mignon, glissez votre langue dans son cul. Visiblement ravie, Annette écarte ses fesses pour vous faciliter l'accès, gémissant des "Ja", des "Mein Gott" et autres "Jawohl". Jusqu'au "Bitte, komm hier". Vous ne vous faites pas prier et glissez lentement votre membre dans l'anus de la teutonne. Pas de toute simplicité, mais ça passe. Allongé, vous la pénétrez gentiment puis plus vivement. Vous vous retirez ensuite et l'invitez à se mettre à quatre pattes. Vous revenez dans son cul. Un paradis sur terre. Vous prenez ses hanches et glissez en elle avec une satisfaction démesurée. Excité, vous défoncez le fion de la joueuse de water-polo et explosez en elle. Aux anges. SI VOUS VOUS ETES INTRODUITS DANS LA TENTE DES ALLEMANDES [[47]] SINON [[48]] Vous prenez quelques affaires et aller prendre une bonne douche. Vous croisez Petra. Il semble n'y avoir que très peu de monde de réveillé. En sortant, vous croisez un homme qui part faire du vélo. SI VOUS ALLEZ AU RENDEZ-VOUS FIXE PAR LA PORTUGAISE [[51]] SI VOUS N'AVEZ PAS RENDEZ-VOUS OU SI VOUS N'Y ALLEZ PAS [[50]]Annette vous aperçoit et ne peut manquer votre trique matinale. Jetant un coup d'oeil à l'intérieur de sa tente, elle s'élance vers vous et vous renvoie à l'intérieur de la votre. En quelques mots, vous comprenez qu'elle s'excuse de ne pas être venue à la soirée de la veille, que Petra est partie marcher et faire quelques courses et enfin, il vous semble comprendre qu'Annette s'est masturbée en pensant à vous hier soir. PASSEZ AU [[46]]Vous comprenez ensuite qu'Annette est bi et Petra est homo et jalouse. Annette a immédiatement remarqué que quelque chose clochait en entrant dans leur tente la veille au soir. Pendant que Petra faisait sa toilette, elle a regardé le film. Petra n'a pas vu l'enregistrement sinon elle serait venue me "briser en deux". Annette a léché à votre sperme et Annette est ravie d'avoir couché avec vous. PASSEZ AU [[48]]Vous vous embrassez, vous câlinez un moment, puis, à nouveau excités, remettez ça. Vous êtes entre ses jambes qu'elle tient écartées. C'est sensuel et doux. Annette dit ensuite que Petra va revenir et elle vous quitte. PASSEZ AU [[49]]Vous patientez quelques minutes dans votre tente en lisant quelques pages de votre livre avant de chercher l'emplacement 41. Il s'agit d'un mobil-home. Vous toquez doucement à la porte. Elle vous ouvre et referme précipitamment derrière vous. Elle est maquillée, coiffée et vêtue d'un long peignoir en satin qui lui couvre même les pieds. Elle s'appelle Elisabeth. Vous passez dans une petite kitchenette et, surprise, il y a bel et bien des croissants et de la confiture sur la petite table. Vous vous installez et ne vous faites pas prier pour mordre dans une pâtisserie. La lusitanienne n'a pas encore dit un mot à part son prénom et boit le café avec vous. Vous demandez : "Porque moi ici ?" Les larmes se mettent à couler le long de ses joues, vous demandez dans quoi vous vous êtes fourré. Elle dit : "Toi (elle fait un rond autour de mon visage avec son doigt) como meu marido antigo... vieux. Lui mort." Elle vous tend une photo de son ancien mari, Antonio, et effectivement, la ressemblance avec vous est particulièrement frappante. Même si vous ne comprenez pas la jupe soulevée sur la plage, vous imaginiez un plan très sexe et voilà que vous prenez votre petit-déjeuner avec une quadra portugaise parce que vous ressemblez à son ex-mari. Vous finissez vos cafés. VOUS REMERCIEZ ELISABETH ET QUITTEZ PRESTEMENT LE LIEU [[52]] VOUS LA SUIVEZ A L'AUTRE EXTREMITE DU MOBIL-HOME [[53]]Vous allez au restaurant pour prendre votre petit-déjeuner. Avec l'accord du barman, vous emportez le tout au bord du lac et manger là. Superbe. Vous retournez ensuite à votre tente. Vous vous installez devant et reprenez la lecture de votre bouquin. PASSEZ AU [[55]]Vous jetez un coup d'oeil à votre montre : 10h15. Il fait déjà très très chaud. VOUS AVEZ RENDEZ-VOUS POUR LE TENNIS AVEC SOPHIE [[57]] VOUS N'AVEZ PAS RENDEZ-VOUS OU VOUS NE VOUS Y RENDEZ PAS [[56]]Dehors, vous riez de la situation et retournez à votre tente. Vous vous installez devant et reprenez la lecture de votre bouquin. PASSEZ AU [[55]] Vous avez soudain un doute : l'endroit devrait être un coin salon la journée transformable en lit pour la nuit. Or, vous avez devant vous un grand lit. Les rideaux blancs opaques sont tirés. Derrière vous, Elisabeth dit : "Antonio gosto muito... aimer beaucoup sex. Toi asseoir." Vous prenez place dans le lit et la belle dénoue son peignoir sur une flamboyante guêpière rouge, accompagnée de bas résille du même coloris. Le ticket de métro bien tondu luit sous un petit string transparent. Sexe et vulgaire. Elle ne bouge pas et semble observer votre réaction. Vous savez que vos yeux lui indiquent qu'elle a tout l'air d'une salope et que vous avez envie de la baiser. Elle se tourne. Son cul est fabuleux. Vous finissez par vous lever et venez derrière elle. Sans un mot, vous passez vos mains sous ses bras et la plotter doucement. Vous l'embrassez dans le cou. "Madre deus" Vous vous agenouillez derrière elle et embrassez son si appétissant fessier. Vous retirez son string et l'entrainez jusqu'à la kitchenette. Repoussant les restes du petit-déj', vous l'accoudez à la table et la prenez par derrière. Son sexe est trempé et vous glissez aisément au fond de son vagin. Elle semble prendre son pied. Vous vous retirez et la tournez. Vous l'asseyez sur la table, les fesses dans l'assiette de confiture à l'abricot. D'un geste, vous lui indiquez d'écarter les jambes qu'elle tient fermées. Vous insistez pour qu'elle les écartes au maximum avant de revenir en elle. Vous la limez les yeux dans les yeux. Vous lui roulez une pelle et la traitez de "Puta". Elle jouit peu après. Vous arrachez les bonnets de la guêpière pour sortir ses seins que vous pétrissez et embrassez sans ménagement. Ensuite, vous la laissez en plan et reculez, la bite tendue dans sa direction. Après quelques secondes, elle descend de la table et vient vous sucer sans vous quitter des yeux. Vous la relevez un peu brutalement et la retournez contre la table. Vous mettez deux doigts dans le beurre et les enfiler dans son petit trou. "Madre deus..." à foison. Vous ne vous embarrassez pas d'une longue préparation mais vous prenez soin de ne pas être trop brutal en la pénétrant. Vous la sodomisez en la traitant de "Puta" à plusieurs reprises. Sentant votre heure arrivée, vous vous retirez et agenouillez Elisabeth. La tenant par les cheveux, vous giclez sur son visage. A genoux par terre, Elisabeth sourit. Vous l'aidez à se relever et vous remarquez qu'elle a les larmes aux yeux : "Obrigada Florent. Muito obrigada." Elle se dévêtit, se nettoie et remet son peignoir. Elisabeth refait du café tandis que vous l'aidez à ranger la kitchenette dans un état lamentable. Vous buvez, elle essaye de vous parler d'Antonio mais c'est beaucoup trop compliqué. Elle prend des affaires et dit qu'elle va aller se doucher : VOUS LA SALUEZ ET VOUS PARTEZ [[52]] VOUS L'ACCOMPAGNEZ AUX SANITAIRES [[54]]Elisabeth sourit et vous fait un clin d'oeil. Elle vous demande de partir avant. Elle vous rejoint et vous entrez ensemble dans une cabine de douche. Vous vous déshabillez et passez sous la douche. Vous savonnez et shampouinez la belle blonde, ne vous lassant pas de caresser ses rondeurs. Vous lui bouffez le minou, l'emmenant à deux reprises à la jouissance. Elle vous suce énergiquement avant que vous la preniez debout, par derrière. Séchage mutuel. Elle vous enlace longuement. Vous lui dites que vous aimeriez la revoir. Elle dit qu'elle habite au Portugal. Néanmoins, vous échangez vos coordonnées. Peut-être reviendra-t-elle en Suisse , à moins que ça ne soit vous qui passiez par le Portugal. Un long baiser d'adieu suit, dans un endroit très peu glamour, vous le reconnaissez volontiers. Sortant de la douche, vous croisez Eloïse. Elle sourit : "Nous voilà quitte". PASSEZ AU [[55]]Vous vous mettez en tenue et allez à l'accueil. Vous êtes en avance mais Sophie est déjà là et discute avec Marianne. Polo et jupette blanche de rigueur, les jambes de la jeune blonde vous semblent interminables. Vous vous faites la bise. Elle a déjà choisi les raquettes et a acheté une bouteille d'eau fraiche. Marianne donne la clef du court et des sanitaires. En marchant vers le court, Sophie vous raconte sa soirée dans un restaurant non loin du camping. A éviter. Ils sont rentrés assez tôt, mais ça, vous le savez déjà puisque vous avez vu sa cousine aux sanitaires la veille au soir. Malgré les pins autour du court, vous sentez la chaleur monter dès que vous mettez le pied sur le terrain. Vous buvez avant même de commencer à jouer. Premiers échanges. Vous comprenez rapidement que Sophie est une excellente joueuse et qu'elle s'applique à se mettre à votre piètre niveau. Vous jouez vingt minutes ainsi avant de revenir vous désaltérer. Sophie propose de disputer un match, le vainqueur étant celui qui parvient le premier à aligner 3 jeux. Vous acceptez mais tenez à ce qu'elle ne vous fasse aucun cadeau. Un désastre. Vous prenez un sec 3-0, vos 2 seuls points sont des fautes directes de Sophie, qui, de plus, vous a fait courir d'un bout à l'autre du terrain. A bout de souffle, vous brûlez des pieds à la tête et foncez aux sanitaires pour vous mettre la tête sous le robinet d'eau froide. Vous avez l'impression d'entendre un "pssschh" quand l'eau vous atteint. Toujours la tête sous l'eau, vous apercevez les chaussures de Sophie et vous vous redressez, appréciant grandement l'eau qui descend dans votre dos et sur votre torse. Un peu gênée, elle vous dit : "Le saut dans la piscine, le tennis, tu dois croire que je t'en veux." VOUS ETES COMPETITEUR ET DEMANDEZ UNE REVANCHE [[58]] VOUS ABANDONNEZ LA PARTIE [[59]] Vous passez votre maillot de bain et allez vous installer sur la plage avec votre livre. Il semble y faire un peu plus frais. En tout cas, le lac lui est très froid et cela vous convient à merveilles. PASSEZ AU [[71]]Vous retournez à votre tente, allez vous doucher puis vous allez manger un morceau au restaurant. Sophie n'y est pas. PASSEZ AU [[79]]Elle : "Alors que ça serait plutôt l'inverse en fait." Sophie s'approche alors de vous et vous embrasse tendrement. Vous répondez à son baiser et exigez un revanche. Elle rit. Vous quittez votre t-shirt, retournez sur le terrain et recommencez un match. Vous êtes totalement désabusé. A nouveau 3-0. Ça a duré moins de cinq minutes. Sophie a abrégé les échanges et vous n'avez même pas eu à courir. Vous n'avez pu que regarder les balles vous fuir. Sophie vient au banc le sourire aux lèvres. Vous vous embrassez longuement. VOUS DEMANDEZ GRÂCE [[60]] VOUS ABANDONNEZ LA PARTIE [[59]]Vous n'en pouvez plus et vous lui dites que vous voulez arrêter. Elle est visiblement contrariée par votre décision, votre manque de détermination et de volonté. Alors qu'elle était adorable sur le terrain, elle ne desserre pas les dents jusqu'à l'accueil où elle vous plante devant Marianne. PASSEZ AU [[70]]Vous lui dites qu'elle est une excellente joueuse et que vous n'avez décidément aucune chance face à elle. Elle rit et vous propose un nouveau challenge, "certainement plus motivant". Vous jouez des jeux pendant une demi-heure, chaque fois que vous marquez un point (et non pas un point perdu par elle comme jusqu'à présent), elle s'engage à vous faire une surprise "du genre coquine". Mais si vous veniez à ne marquer aucun point, vous seriez contraint de faire le court du terrain en tenue d'Adam. VOUS RELEVEZ LE DEFI [[61]] VOUS ABANDONNEZ LA PARTIE [[59]] C'est même vous qui devez régler la location du matériel et du court. Quel abruti vous êtes ! PASSEZ AU [[71]]Vous retrouvez alors soudainement quelques forces et vous mettez à réfléchir très vite. La température est étouffante et vous estimez être plus endurant et dur au mal qu'elle. Le temps joue pour vous et vous choisissez d'économiser vos forces en début de partie. Vous vous appuierez sur votre point fort, le service. Durant dix minutes, les points défilent. Vous ne faites aucun effort inutile. De plus, vous "lisez" de mieux en mieux son service tandis que vous prenez gentiment confiance sur le votre. Peu avant le quart d'heure, un de vos retours de service, très chanceux, oblige Sophie à traverser le court de part en part. Vous remarquez qu'il lui faut un peu de temps pour reprendre son souffle. Première lueur après quinze minutes : vous parvenez à bombarder le "T" en service sur son revers. Elle ne fait qu'effleurer la balle. Premier point, vous levez les bras au ciel. Sophie s'approche de son banc et enlève son polo. Elle se replace en soutien-gorge, tout sourire. Trois minutes plus tard, nouveau coup de chance sur son service : votre retour va mourir derrière le filet. La jolie blonde sprinte et parvient tout de même à remettre la balle. Vous êtes au milieu de votre moitié de terrain et vous avez tout le temps de préparer votre prochain coup : VOUS CHOISISSEZ UN PASSING-SHOT [[62]] VOUS CHOISISSEZ UN LOB [[63]]Vous armez votre raquette et frappez violemment la balle.. qui part derrière le grillage ! Vexé, un colère noire monte en vous et vous fracassez votre raquette au sol. PASSEZ AU [[59]]Votre coup favori. Rare mais tellement esthétique. Vous soulevez la balle au dessus de Sophie qui repart en sprint d'où elle venait. Là encore, elle parvient à remettre la balle dans votre camp. Vous jouez court, elle sprinte à nouveau mais ne peut empêcher un double rebond. Vous serrez le poing. Ecarlate, Sophie souffle et tousse. Vous lui tendez la bouteille alors qu'elle vient au banc : "Bien joué, le lob était astucieux et bien maitrisé, je ne m'y attendais pas." Vous rougissez du compliment. Sophie enlève sa jupette et se retrouve en shorty blanc. Elle s'assied sur son banc et vous lui jetez de l'eau sur la poitrine et le shorty. Vous devinez alors ses seins et son minou. A nouveau sur le terrain, il y a désormais souvent 3 à 4 échanges. Sophie est maintenant concentrée et joue vraiment. Sauf qu'elle est exténuée. Il reste un peu plus de cinq minutes de jeu. Vous claquez un ace qui vous offre votre premier jeu (vos autres points sont de multiples fautes directes de sa part). Au banc, Sophie demande une pause. VOUS LUI ACCORDEZ [[64]] VOUS LUI REFUSEZ [[65]]Vous l'accompagnez aux sanitaires où, à son tour, elle se passe longuement la tête sous l'eau. Vous mourrez d'envie d'en profiter, car son petit cul et ses jambes écartées sous votre nez vous tournent la tête. Elle se relève et dit qu'elle se sent mieux. Vous passez à votre tour la tête sous l'eau et trempés, vous vous embrassez à pleine bouche. Sophie s'agenouille devant vous et vous gratifie d'une sacrée fellation. Quelle habileté buccale diabolique ! Tout sourire, elle se relève sans vous avoir fait jouir et vous entraine sur le terrain. Vous décidez de jouer encore deux jeux. Les surprises sont toujours de mise et Sophie en ajoute une nouvelle : si vous remportez l'un des deux jeux, vous pourrez disposer d'elle à votre guise. Vous commencez à servir mais elle est visiblement mieux. Cependant, à 0-40, elle met deux fois la balle dans le filet. C'est à ce moment-là que vous réalisez votre plus bel enchainement du match, un service puissant suivi au filet d'un vollée de revers croisée somptueuse. Sophie est à 10m et ne peut que vous applaudir. Revenant à son banc, elle ôte son soutien-gorge et reprend la partie seins nus. Décontenancé, vous perdez les deux points suivants et le jeu. Dernier jeu. Sophie au service. Elle prend son temps mais ne passe plus ses premières balles et vous parvenez à la mettre en difficulté dans l'échange, notamment avec vos coups droits. A 30-15 en sa faveur, votre retour de service, un coup droit croisé magnifique, l'oblige à un effort important puis elle doit sprinter à l'opposé du terrain pour remettre. Mais la balle s'arrête dans le filet, 30A. Elle semble souffrir à nouveau de la chaleur. C'est manifeste sur le service suivant : sa seconde balle est molle et vous la crucifiez d'une attaque profonde le long de la ligne. Elle enlève son shorty et le lance derrière elle. Elle est nue et vous faites un effort surhumain pour rester dans la partie, la balle de jeu en votre faveur équivaut à une balle de match. L'échange est épique : vous pensez l'emporter à deux reprises au moins, mais Sophie ne lâche rien et vous finissez par mettre un revers dans le filet. 40A. Derrière, Sophie prend l'avantage d'un revers croisé derrière un service réussi. Mais vous revenez à égalité après un point assez long que la blonde gâche. Cependant, un dernier sursaut de sa part lui fait facilement empocher les deux derniers points. Fin de la partie. Nue, Sophie s'affale sur son banc, rouge comme une pivoine, la tête en arrière, cherchant de l'air. De votre côté, vous êtes certes essoufflé et trempé de sueur, mais ça va. VOUS LUI PROPOSEZ DE L'EAU [[67]] VOUS VOUS AGENOUILLEZ ENTRE SES JAMBES OUVERTES [[66]]Vous ne voyez pas pourquoi vous devriez accorder plus que la minute trente appliquée depuis le début du match. Sophie se lève, prend son polo et sa jupette : "En fait, t'es vraiment un sale con." Elle vous laisse en plan et s'en va. Vous l'avez bien mérité. PASSEZ AU [[70]]Sophie n'est pas bien et vous vous empressez d'aller aux sanitaires mouiller votre t-shirt pour le déposer sur le front brulant de votre jolie partenaire. Vous l'allongez sur le banc et faites secouez son polo devant elle pour lui apporter un peu de fraicheur. Vous retournez humidifier votre maillot d'eau froide et le passer sur ses épaules, sa poitrine, son ventre, ses bras et ses jambes. Nouvel aller-retour aux sanitaires, vous reposez votre pull sur son front. Elle sourit à nouveau, un bon signe. Elle dit : "Un gros coup de chaud, mais ça va mieux, j'ai été bien soignée." Elle attire votre visage vers elle et vous embrasse tendrement. Vous l'aidez à se rasseoir puis à se lever. Tout va bien. Nouveau baiser. Vous commencez à bander et elle le remarque. Alors qu'elle va s'agenouiller devant vous, vous l'invitez à s'asseoir sur le banc, vous retirez votre short et votre boxer et faites le tour du terrain, nu comme un ver, la tige fièrement dressée. Vous ramassez son shorty au passage. Elle rit et vous applaudit. De retour devant elle, vous vous agenouillez entre ses jambes et dévorez sa chatte trempée de sueur, emmenant la tenniswoman à deux reprises à la jouissance. Vous vous asseyez à ses côtés et elle vient sur vous, glissant avec aisance sur votre vi tendu. Vous léchez ses seins. Sophie jouit encore deux fois et vous demande : "Qu'aurais-tu fais de moi si tu avais remportez le dernier set ?" Vous faites mine de réfléchir alors que vous savez pertinemment ce dont vous rêver de faire avec elle. Vous avouez : "JE T'AURAIS ENCULEE EN PLEIN MILIEU DU TERRAIN" [[68]] "JE T'AURAIS BAISEE AVEC TA COUSINE QUI A L'AIR D'ETRE UNE SACREE COCHONNE" [[69]]Vous commencez à lécher sa chatte trempée de sueur mais elle vous repousse brutalement, se lève et va aux sanitaires se rafraichir. Vous la suivez mais elle semble fâchée. Effectivement. Elle ramasse les affaires, se rhabille à la va-vite et s'en va. Votre précipitation vous perdra. PASSEZ AU [[70]]Elle sourit et vous répond : "Je ne pratique pas la sodomie, mais la position... comment dire... ça donne envie." Elle se lève, vous prend par la main et vous emmène entre les carrés de service, tout près du filet. Vous avez eu le temps de prendre votre t-shirt humide et le posez à terre. Sophie s'y met à quatre pattes. Debout, vous jouissez du spectacle : cambrée, jambes écartées, le cul de Sophie vous est offert et vous regrettez amèrement qu'elle ne se fasse pas démonter le postérieur. Vous vous agenouillez derrière elle et la pénétrez. C'est tout de même juste fabuleux. Vous la secouez d'un bon rythme tandis qu'elle caresse son clitoris, jouissant à plusieurs reprises. Vous sentant arriver, vous pilonnez durement son arrière-train et explosez. Quel orgasme magnifique ! Il y a longtemps que vous n'aviez pas pris un tel pied. Vous l'aidez à se relever. Elle vous embrasse avant de se pencher sur votre chibre pour le lécher et ainsi, le nettoyer. Revenu aux bancs, vous remettez votre boxer et votre short. Sophie ne remet pas son shorty sous sa jupette, ni son soutien-gorge sous son polo. Vous fermez les sanitaires, le terrain et, main dans la main, revenez à l'accueil, pour déposer le matériel dont vous réglez la location, ainsi que celle du court. Sophie vous remercie d'un baiser. Marianne vous observe du coin de l'oeil. Il est passé midi lorsque vous sortez de l'accueil. VOUS VOUS SENTEZ SALE ET PROPOSEZ A SOPHIE D'ALLER VOUS DOUCHER [[72]] VOUS MOURREZ DE FAIM ET PROPOSEZ A SOPHIE D'ALLER MANGER [[73]]Elle s'immobilise puis se lève. Furieuse, elle vous insulte, ajoute que vous ne connaissez pas sa cousine et que vous n'avez pas le droit de parler ainsi. Elle vous traite de blaireau, se rhabille et s'en va. C'est vrai que vous en faites un beau, de blaireau ! PASSEZ AU [[70]]Elle vous dit qu'elle a trop faim et qu'elle ira se doucher après manger. Ou plutôt qu'elle ira se baigner au lac avant de retrouver ses amis qui doivent revenir en milieu d'après-midi. Elle vous embrasse et s'en va au restaurant. PASSEZ AU [[71]]Sophie est affamée. Vous passez par le buffet et vous servez chacun deux grosses assiettes de crudités avant de vous installer côte à côte à une table ronde dans un coin légèrement ombragé de la terrasse, le long d'un mur. Vous échangez comme deux vieux amis et la conversation avec elle est vraiment plaisante. Elle se confie sur sa dernière rupture et de ses difficultés dans ses relations avec les hommes. Elle vous flatte en vous avouant ô combien la matinée lui avait plu et fait du bien. A vrai dire, vous l'espériez bien. Vous débarrassez et allez chercher deux ristretti. A votre retour, Sophie s'est adossée au mur et semble dormir. Alors que vous vous asseyez devant elle, elle ouvre les yeux, relève sa jupette au-dessus sa chatte en vous demandant si vous avez également apprécié la matinée. Vous lui dites qu'elle fut particulièrement agréable malgré la défaite initiale. Tout en disant cela, vous passez vos doigts le long de sa fente humide, remontant à son clitoris avant que votre majeur ne glisse profondément à l'intérieur. Un peu inquiète, Sophie regarde à droite et à gauche. Elle mouille et vous ajoutez l'index. Vous cherchez son point G et un tressaillement de la belle vous indique l'emplacement. Du pouce, vous activez également son clitoris. Sophie est en extase, prend un pied formidable et vibre d'un long et surpuissant orgasme dont elle n'a pu étouffer un cri. Un couple de retraités vous regarde de loin. Sophie ouvre les yeux, avale son café avant de se lever et part d'un pas décidé en vous disant seulement : "Viens". Vous la suivez à distance en direction des sanitaires mais en passant devant l'accueil, vous êtes alpagué par Marianne qui insiste pour que vous preniez un café avec elle. VOUS PROMETTEZ A LA GERANTE DE REVENIR ET COURREZ DERRIERE SOPHIE [[74]] VOUS ACCEPTEZ LE CAFE ET ENTREZ DANS L'ACCUEIL [[81]]En revenant vers votre tente, vous trébuchez et heurtez une pierre avec votre genou qui se met à saigner. Vous passez rapidement aux sanitaires et revenez vous soigner dans la chambre. Absolument rien de grave. Dans votre tente, vous vous changez et réfléchissez à ce que vous allez faire : VOUS ALLEZ A L'ACCUEIL BOIRE LE CAFE AVEC MARIANNE [[81]] VOUS ALLEZ A LA PLAGE [[80]]Mine de rien, vous avez perdu sa trace. Vous continuez jusqu'aux sanitaires. A cette heure de la journée, toutes les portes des douches sont ouvertes. Sauf une. VOUS TENTEZ VOTRE CHANCE [[75]] VOUS RETOURNEZ A L'ACCUEIL BOIRE UN CAFE AVEC MARIANNE [[81]] VOUS PRENEZ UNE DOUCHE RAPIDE DANS UNE CABINE OUVERTE ET RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[79]] Vous entrez dans l'accueil. Marianne semble ravie de vous voir. Vous passez dans la pièce d'à-côté mais n'y restez pas. Marianne tient absolument à vous montrer quelque chose. Vous la suivez dans un escalier et vous retrouvez dans une sort de grenier où il fait étrangement frais. Il y a là plusieurs armoires, une table de maquillage, un grand miroir et un lit. Marianne vous invite à vous asseoir et vous choisissez la chaise. Elle allume une petite machine à café que vous n'aviez même pas remarquée et vous dit qu'elle a besoin de votre avis pour sa tenue du soir. En effet, tout le personnel sera habillé de blanc et elle hésite. Elle passe derrière un petit paravent et en sort vêtue d'une très longue robe aux épaules nues sans bretelles. Smokée sur la poitrine, elle est ensuite très évasée et dissimule même ses pieds. Parfaite pour elle. Elle cache ses rondeurs disgracieuses pour mettre en avant sa volumineuse poitrine. "Marianne, vous êtes magnifique dans cette robe, comment pouvez-vous hésiter ? Elle rougit et vous demande de vous lever : "Nous risquons de danser et mon partenaire pourrait marcher dessus." Elle vous prend par la taille et engage quelques pas, lovée contre vous. Amusé, vous jouez le jeu et constatez que Marianne sent divinement bon. Vous réglez son problème en prenant un pan de la robe entre les doigts : le risque tombe à zéro. Malgré tout, Marianne tient à vous montrer l'autre robe. VOUS RESTEZ [[82]] VOUS FUIEZ [[90]]Vous vous endormez au soleil et heureusement, vous êtes à l'ombre. PASSEZ AU [[90]]Vous poussez la porte. Sophie est nue, sous l'eau, adossée à la paroi. Elle vous fixe en se masturbant. Ni une ni deux, vous vous déshabillez et allez baiser la blondinette que vous soulevez contre la paroi, jambes écartées pour l'enfiler. Votre démonstration de force la rend folle et vous la prenez brutalement par derrière. Surexcité, vous lui mettez un doigt dans le cul et lui murmurez que vous rêvez de la sodomiser. Dans le même état que vous, Sophie vous dit d'essayer. Vous êtes déjà à bout. Vous enfilez votre gland provoquant un gémissement douloureux de votre partenaire et après deux minuscules mouvements, vous déchargez dans son petit trou. Sophie se retourne, vous enlace, vous embrasse. Vous restez de longues minutes sous la douche à vous embrasser. Vous n'avez rien pour vous sécher et repassez vos habits tel quel. Sophie doit retrouver ses amis dans peu de temps. Vous apprenez qu'elle est plus âgée que les deux couples qu'elle accompagne. Elle a 29 ans, eux entre 18 (Françoise, celle avec les énormes seins) et 25 (Dimitri, le grand échalas). Elle vous raconte qu'elle est sortie avec Dimitri durant 6 mois quelques années auparavant et que Françoise est la cousine du petit trapu (Jules). VOUS LUI RACONTEZ CE QUE VOUS AVEZ VU AUX TOILETTES [[76]] VOUS VOUS EMBRASSEZ ET VOUS PARTEZ CHACUN DE VOTRE CÔTE [[79]]Vous revenez à votre tente. Peu après, vous déroulez un petit tapis devant celle-ci, prenez votre carte et vous installez. Vous comptez bien poursuivre votre itinéraire au plus vite. Une silhouette blonde se dirige dans votre direction d'un pas décidé. SI Sophie DEVAIT VOUS FAIRE PART D'UNE INFORMATION, PASSEZ AU [[92]] SINON, PASSEZ AU [[91]]Après quelques hésitations, vous lâchez le morceau et racontez à Sophie que vous avez surpris sa cousine et Dimitri dans les toilettes du restaurant la veille au soir. Elle n'a pas l'air surprise : "C'est la confirmation de ce dont je me doutais depuis quelques temps. Dimitri est un chaud lapin et Eloïse... Disons qu'elle est dans une phase où elle a envie de se faire sauter souvent et pas forcément par Jules." SI VOUS CONNAISSEZ ELOISE ET QU'ELLE VOUS EST SYMPATHIQUE [[77]] SI VOUS CONNAISSEZ ELOISE ET QU'ELLE VOUS EST ANTIPATHIQUE OU SI VOUS NE CONNAISSEZ PAS ELOISE [[78]] "A qui le dis-tu..." C'est sorti tout seul. Vous racontez brièvement. Sophie sourit et ne vous en veut pas. Elle dit que c'est de son âge et qu'elle a, pour le coup, très bon goût. Elle vous informe que ce soir les deux garçons ont prévu de sortir. "Je me débrouillerai pour te faire savoir si c'est toujours le cas." Vous vous embrassez tendrement et partez chacun de votre côté. PASSEZ AU [[79]]Vous dites que ça n'est pas des choses à faire entre amis et vous désapprouvez cette façon de faire. Sophie est surprise de votre réaction. Elle dit que c'est de son âge après tout et que Dimitri est un très bon coup. Vous vous embrassez et partez chacun de votre côté. PASSEZ AU [[79]]Elle ressort du paravent dans une robe courte blanche et moulante, boutonnée devant sur toute la longueur. La robe est jolie mais ne lui va pas du tout. Elle se tourne : son gros cul est à nouveau orné de lingerie de qualité. Vous adorez. Elle vous invite à de nouveaux pas de danses. Ses seins contre votre poitrine, vous commencez à bander. Elle dit : "Je trouve celle-ci bien plus sexy, non ?" VOUS RESTEZ [[83]] VOUS FUIEZ [[90]]Devant le miroir, vous cessez de danser et ouvrez deux boutons sur le haut de la robe et trois en bas : "Des seins comme les vôtres, je vous promets qu'on a envie de les voir alors montrez-les. Et pour le bas, j'adorerais entrevoir l'un de vos très jolis strings Aubade si vous osiez prendre le risque de les montrer." Marianne est émue. Un peu théâtralement, elle ouvre un à un les autres boutons de la robe et la fait tomber à terre. Ses seins sont énormes et bien plus beaux que vous ne l'imaginiez. Elle a une bouée autour du ventre et des jambes rondes. VOUS RESTEZ [[84]] VOUS FUIEZ [[90]]Marianne s'approche de vous et vous roule une pelle magnifique. Vous la plottez tant et plus avant de descendre la main dans son string. Elle vous arrête : "Ça ne sert à rien, jeune homme, il n'y a plus rien qui fonctionne de ce côté-là. Par contre, de l'autre..." VOUS RESTEZ [[85]] VOUS FUIEZ [[90]]Marianne s'agenouille et vous suce. Pas aussi bien que ce que vous attendiez d'une femme d'expérience. Elle se redresse. VOUS RESTEZ [[86]] VOUS FUIEZ [[90]]Marianne vous entraine sur le lit : "Je comprendrais tout à fait que tu ne veuilles pas me préparer mais j'aimerais bien qu'on fasse l'amour." VOUS RESTEZ ET LA PREPAREZ [[87]] VOUS RESTEZ ET LUI DEMANDEZ DE FAIRE LE NECESSAIRE [[88]] VOUS FUIEZ [[90]]Avec vous, c'est tout ou rien. Vous roulez sur la gérante, l'embrassez avant de descendre au niveau de son sexe. Vous l'invitez à se tourner et à lever son gros cul. Vous l'écartez et découvrez un petit anus rose parfaitement dessiné. Vous l'embrassez et vous y attardez avec votre langue puis vos doigts. Marianne en redemande. Vous ne passez du gel qu'en fin de préparation. Marianne vous confie qu'on ne lui avait pas fait ça depuis près de 10 ans. PASSEZ AU [[89]]Marianne vous sourit tristement et vous fait un clin d'oeil. Vous l'embrassez et vous occupez de ses seins tandis qu'elle se gode l'anus à l'aide de gel intime. Un simple "C'est bon" suffit et Marianne se met à quatre pattes. PASSEZ AU [[89]]Sophie court presque lorsqu'elle arrive devant vous. Juste un petit baiser puis elle dit : "Viens ! Vite !". Et elle entre dans votre tente. VOUS ROUSPETEZ ET LA FAITES SORTIR [[93]] VOUS LA SUIVEZ [[94]]Vous parcourez votre carte. Du coin de l'oeil, vous observez la voiture hollandaise qui manoeuvre une caravane afin de l'installer à l'emplacement qu'occupait les allemandes. Observant la scène, vous reconnaissez Justine. Elle est accompagnée d'une femme d'environ 70 ans. Un vieil homme est au volant. Tandis qu'ils s'installent, Justine vient dans votre direction et vous salue de sa voix nasillarde : "Je vous ai vu tomber tout l'heure près des sanitaires." Vous : "C'est bon, ça n'est pas grave, merci de t'inquiéter." JUSTINE EST DEJA VENUE DANS VOTRE TENTE ET VOUS AVEZ PREFERE SES SEINS [[97]] JUSTINE EST DEJA VENUE DANS VOTRE TENTE ET VOUS AVEZ PREFERE SA CULOTTE [[98]] SI JUSTINE N'EST JAMAIS VENUE DANS VOTRE TENTE [[99]] Vous placez votre teube devant son fion et la pénétrez lentement. Après une petite minute, vous l'astiquez au plus profond de son intimité. Marianne a un orgasme anal. Ça ne vous est pas arrivé souvent et vous vous retirez. Marianne vous interroge du regard. Vous vous allongez sur le lit et l'invitez à vous chevaucher. Surprise, elle vous grimpe dessus avant de vous glissez en elle. Vous lui dévorez les nibards et jouez avec eux, vous adorez. Excitée, elle a un nouvel orgasme très intense. Vous lui demandez de se tourner. Un peu technique, mais elle semble être incroyablement heureuse. Enfin, vous descendez du lit et l'attirez, couchée sur le dos, au bord de celui-ci. Vous attrapez le miroir qui est monté sur roulettes. Vous la sodomisez ainsi et orientez la glace afin qu'elle profite du spectacle. Marianne caresse sa poitrine tout en observant votre bite défoncer son si joli anus. "Tu m'as rendue folle de plaisir. A ton tour. Vas-y, encule-moi bien fort et déverse-toi en moi. Je veux te voir prendre ton pied." Vous attrapez les jambons de la gérante et la pilonnez vigoureusement et profondément. Quelques rictus vous indiquent que vous y allez un peu fort mais elle l'a demandé. Vous jouissez le plus loin possible puis ressortez et remplacez votre bite par un gode, dans le trou béant qui sert d'anus à Marianne pour continuez à la sodomiser. Elle jouit juste après. Elle vous remercie une bonne centaine de fois, il semble que vous soyez son meilleur coup depuis une décennie. Vous prenez congé d'elle. PASSEZ AU [[90]]Elle : "Je suis obligée de le faire, mais j'en ai rien à foutre de votre genou en réalité." Et elle s'en va sans un mot de plus. Vous avez envie d'aller lui couper les codes vocales, mais vous vous retenez. PASSEZ AU [[100]]Elle : "J'ai tout ce qu'il faut à l'accueil. Viens, je vais refaire ton pansement." Comment résistez à une telle demande même si celle-ci vous arrache les tympans ? Vous vous levez et accompagnez la jolie brune. Vous passez par l'accueil mais entrez dans une pièce latérale dont Justine ferme à porte à clef. Elle vous embrasse et vous installe dans un fauteuil à roulettes en cuir. La pièce est blanche. Des dessins enfantins ornent les murs, il y a des bandes-dessinées dans un coin. A côté de vous, une table de soin comme on en trouve chez les médecins. Au fond se trouvent un petit réfrigérateur et une armoire, tous deux fermés l'aide de cadenas que Justine ouvrent. Elle sort le nécessaire pour refaire votre pansement. Passant des gants, elle ouvre avec précaution un sachet stérile et enlève votre pansement avec précaution, nettoie la plaie et en refait un, plus petit. Pendant qu'elle travaille, elle vous raconte sa formation d'infirmière, certes interrompue, mais qui lui offre la possibilité de faire ce genre de petites opérations. Vous embrassant une nouvelle fois, elle jette le tout, ferme les cadenas et sort de la pièce par une autre porte en vous demandant de patienter. VOUS RESTEZ [[101]] VOUS FUIEZ ET RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[100]]Vous : "C'est bon, ça n'est pas grave, merci de t'inquiéter." Elle : "Je suis obligée d'insister. Ma mère veut que je vois toutes les personnes qui se sont blessées à l'intérieur du camping. Aussi, j'aimerais voir votre blessure." Vous retirez votre pansement, elle observe la plaie et dit :" "Ok, elle est bien nettoyée et commence à cicatriser. Vous pouvez venir à l'accueil quand vous voulez pour le faire refaire. J'ai une formation d'infirmière." Dans votre tête passe la douce image de la jeune fille habillée en infirmière et il vous faut quelques secondes pour répondre. "Oui, oui, ok. Si nécessaire, je viendrais." Elle vous salue et s'en va. PASSEZ AU [[100]]Sophie ressort, surprise. Vexée, elle vous salue d'un hochement de tête et s'en va. Vous la rappelez mais n'obtenez qu'un magnifique bras d'honneur. Vous vous rasseyez en maugréant. PASSEZ AU [[91]]Sophie vous attire sur la couche. "Jules et Dimitri sortent effectivement ce soir, restaurant à 21h mais ils partiront avant pour l'apéro." Tout en disant cela, elle s'est agenouillée à côté de vous et ouvre votre bermuda. Elle poursuit : "Nous, on a envie de passer la soirée sur la plage. On va acheter des salades, des grillades et un grill jetable en aluminium. On aurait besoin d'un homme pour s'occuper du grill..." Elle vous regarde et prend votre bite encore à moitié molle dans la bouche. Elle vous masturbe lentement et dit en riant : "J'ai pensé à toi." Elle suce puis branle : "Eloïse m'a dit qu'elle voyait qui tu étais. J'ai bien ri avec ce que tu m'as raconté. Mais elle est d'accord. Françoise est ok également." Vous êtes dur. La bouche de la jolie blonde vous rend décidément complètement fou. Elle accélère le mouvement, vous prend presque entièrement en bouche, votre sexe heurte le fond de sa gorge à chaque aller-retour. Elle lève la tête et en vous branlant très énergiquement, elle ajoute : "Je n'ai pas beaucoup de temps..." Et elle reprend sa fellation avec autant de vigueur qu'avant puis en masturbant le bas de votre queue. Vous explosez dans sa gorge. Elle tousse, rit, re-tousse, avale, tousse une nouvelle fois. "Je ne l'ai pas vu arriver !" VOUS ACCEPTEZ SON INVITATION [[96]] VOUS DECLINEZ SON INVITATION [[95]]Sophie rayonne littéralement. Elle vous saute dessus et vous embrasse. Profitant de votre chiffre encore un peu dur, elle l'enfonce dans son sexe et se redresse en vous promettant que vous pourrez y venir bien plus longtemps durant la soirée. Elle en profite pour échanger son numéro de téléphone avec vous. Elle se retire, se lève et s'en va. Il est clair que vous ne pourrez pas partir le lendemain matin comme vous l'espériez. Mais bon, vous êtes en vacances tout de même. PASSEZ AU [[91]]Sophie est incroyablement déçue. Vous lui expliquez que vous souhaitez partir tôt le lendemain matin pour continuer votre randonnée et qu'il ne serait pas judicieux de passer la soirée en si bonne compagnie. Elle insiste un peu, au moins manger avec elles. Mais vous vous connaissez : si vous y allez, vous ne partirez pas. Elle accepte votre décision. Vous échangez vos numéros de téléphone et elle vous quitte. PASSEZ AU [[91]]Assis devant votre tente, vous continuez à observer discrètement les retraités s'installer. Des experts. PASSEZ AU [[115]]Vous attendez quelques minutes avant que la porte ne s'ouvre à nouveau : Justine entre, vêtue d'une blouse d'infirmière qui n'a jamais vu d'hôpital, d'un petit couvre-chef orné d'une croix rouge. Dans un grand sourire, elle s'exclame : "Dans toute salle de soins, il y a une infirmière !" Et elle glousse de son rire affreux. Vous fuiriez si elle n'était pas si jolie et excitante. Elle passe devant le buffet qui dissimulait ses jambes et vous vous apercevez que le costume ne couvre même pas les jarretelles attachant ses bas résilles blancs. Ses talons compensés sont immenses et elle ne semble pas très à l'aise avec. Elle vient vous embrasser avant de se tourner et de se baisser jambes tendues, en riant, découvrant ses fesses nues. "C'est un peu cliché, non ?" "CARREMENT, MAIS TU ES TRES EXCITANTE !" [[102]] "ABSOLUMENT PAS. LE COSTUME TE VA TRES BIEN !" [[103]]Elle rit à nouveau. Vous vous dites que c'est le prix à payer. Se penchant cette fois sur votre bermuda, la brunette commence à vous sucer. Puis, venant à côté de vous, elle vous invite à déboutonner sa blouse et semble prendre un malin plaisir à vous voir le faire en tremblant. Tenant les deux pans de la blouse fermés, elle se place un mètre devant vous et l'ouvre lentement. Vous vous masturbez doucement. Ses gros seins sont légèrement tombants, aux aréoles un peu foncées à votre goût et elle a déjà d'assez gros tétons pour son âge. La blouse tombe à terre et la jeune femme en porte-jarretelles s'installe gaillardement sur votre perche tendue. Ondulant dessus, elle vous explique en murmurant (ce qui rend sa voix bien moins désagréable) qu'elle porte ce costume et ces chaussures pour la première fois et qu'elle est ravie que ça soit avec vous. Vous caressez et gobez ses seins. Elle jouit alors que vous mordillez son téton droit. Elle se lève, se tourne et glisse à nouveau sur vous. Après plusieurs va-et-vient, elle s'allonge sur vous, remonte ses jambes et, tandis que vous prenez à nouveau ses seins entre vos mains, murmure dans le creux de votre oreille : "Tu avais déjà baisé une fille aussi jeune que moi ?" Vous répondez par la négative. Elle gémit et poursuit : "Tu aimes les porte-jarretelles ? C'est aussi la première fois que j'en mets." Vous lui dites que vous adorez. Vous la sentez très excitée. Vous main droite quitte sa poitrine et descend à son sexe. Votre queue est bien plantée dedans et vous commencez à caresser son clitoris. Elle gémit encore, vous enjoigne à poursuivre. Haletante, elle souffle : "Je... je voulais te dire... Ce que tu m'as fait hier... J'ai... j'ai adoré ! On me l'avait jamais fait." Elle jouit pour la seconde fois. Vous vous levez et vous l'invitez à se coucher sur le dos, sur la table. Vous restez assis dans le fauteuil devant elle, et tandis qu'elle relève ses jambes, vous entamez un inspection en règle de son petit trou tel un gynécologue pervers. Au fur et à mesure de vos caresses, le rectum de la brunette se détend. Elle apprécie particulièrement votre langue la pénétrant ainsi. Aspirant ensuite simultanément son clitoris, vous la faites jouir avec deux de vos doigts plantés dans son fion. Elle est désormais parfaitement "sodomisable". VOUS LE LUI FAITES REMARQUER [[104]] VOUS APPROCHEZ VOTRE SEXE DE SON ANUS [[105]]Elle rit jusqu'à ce qu'elle remarque votre air réjoui mais sans ironie. Elle insiste : "C'est carrément cliché comme tenue, comme pose, vous ne trouvez pas ?" Vous : "Non, pas du tout, j'aime beaucoup !" Elle : "Arrêtez de vous foutre de moi." Elle se fâche : "Je mets ce costume, ces talons pour la première fois et vous vous foutez de moi. Je pensais que vous étiez un mec bien. Allez, sortez. Et surtout, paluchez-vous bien en repensant à mon petit cul." Stupéfait, vous sortez de la pièce et retournez à votre tente. PASSEZ AU [[100]]Vous cessez vos caresses, elle en redemande. Vous lui dites qu'elle est très détendue et que vous pourriez y mettre autre chose que les doigts et la langue. Elle se redresse sur ses coudes, mordille sa lèvre inférieur dans un sourire coquin et timide et vous demande d'essayer, tout doucement. Vous pénétrez son vagin humide puis diriger votre verge vers son anus. Vous passez le gland, elle halète. Vous commencez à aller et venir en caressant ses seins. Justine gémit et se redresse lentement. Vous vous embrassez avec passion. Surexcité de déflorer son cul, vous êtes vite au bout et n'allez pas tarder à jouir lorsque... PASSEZ AU [[106]]Alors que vous allez pénétrez son cul... PASSEZ AU [[106]]La poignée de la porte tourne. Vous vous retournez, Justine se lève. Fermée à clef, la porte ne s'ouvre pas. Marianne tambourine à la porte : "Justine, tu es là ?". Paniqués, vous ne savez que faire. Justine souffle : "Elle a une autre clef !". Ramassant sa blouse, elle court dans l'autre pièce, celle où elle s'est changée. VOUS LA SUIVEZ [[107]] VOUS VOUS RASSEYEZ DANS LE FAUTEUIL, LE PANSEMENT BIEN EN VUE [[108]]Justine est au bord des larmes : "Il ne faut pas qu'elle me voit ainsi, elle va me tuer !". La pièce est un réduit dans lequel se trouve un petit bureau avec une chaise à l'entrée, une grande armoire et une dizaine de transats empilées au fond. Question cachette, c'est dans l'armoire ou derrière les chaises. Vous ouvrez vivement l'armoire : pleine à craquer d'une montagne de divers objets. Le choix est fait. Vous attrapez le tas de transats, le tirez vers vous et aidez Justine à franchir l'obstacle qu'il n'est pas possible de contourner, puis vous l'escaladez à votre tour. Par chance, les matelas des transats se trouvent derrière et vous parvenez à les coucher, rendant votre très étroite cache soudainement plus confortable. Marianne vient d'entrer dans la pièce d'à côté et appelle sa fille. Vous vous asseyez, le dos collé au mur pour être en partie dissimulé par l'armoire. Justine prend place entre vos jambes et s'adosse à votre torse. Ses larmes coulent sur vos avant-bras dont vous entourez la jeune fille qui vous murmure : "Protège-moi...". Quand Marianne entre dans la pièce, vous retenez tous deux votre respiration. Marianne sort. Expiration, inspiration. Marianne entre à nouveau, s'approche de l'armoire. Vous pensez que tout est fichu. Elle l'ouvre, y prend quelque chose, la referme et sort de la pièce et de la salle de soin. Vous entendez la clef dans la serrure. Pourtant, vous ne bougez pas et tendez l'oreille. Deux, peut-être trois minutes. Vous murmurez : "Je crois qu'elle est belle et bien partie." Justine fond en larmes. Vous poussez un peu les chaises pour avoir un peu plus de place et embrassez le cou de la jeune fille qui se calme peu à peu. Elle sourit désormais : "J'ai eu tellement peur ! Merci, merci, mille fois mercis d'avoir réagi si rapidement." Vous : "Je n'avais pas le choix. Et ça s'avère plutôt confortable comme cachette et une fois nettoyé, ça pourrait être un coin bien discret pour y venir avec ton copain." Elle : "Effectivement, oui. Je vais laisser les transats ainsi et donner un coup de balai." Vous : "J'en connais un qui va être ravi." Elle : "En attentant, c'est toi qui est là..." Elle lève le menton pour vous embrasser tandis que vous prenez ses gros seins à pleines mains. Vous plaisantez : "Je crois que vous avons été interrompu." SI VOUS LA SODOMISIEZ AVANT L'ENTREE DE MARIANNE [[109]] SI VOUS ALLIEZ LE FAIRE [[110]]Marianne entre et se tourne immédiatement vers vous. Le pansement bien en vue, vous grimacez un peu. Elle s'en inquiète immédiatement : "Oh non ! Mon cher Florent ! Que vous est-il arrivé ?" Vous lui racontez et monopolisez autant que possible la parole, expliquant en détail votre chute et vous en rajoutez des tonnes. Jusqu'à ce que Justine refasse son apparition. Soulagé, vous dites à Marianne que Justine a préféré refaire votre pansement au propre. Elle se montre visiblement très satisfaite de l'initiative de sa fille. Vous aimeriez qu'elle s'en aille, mais elle semble attendre le départ de Justine... qui n'a pas l'intention de bouger. Vous vous levez alors, saluez les deux femmes et quittez la pièce sans vous presser. Mais personne ne court à votre suite et vous arrivez à votre tente après un passage par les sanitaires. PASSEZ AU [[100]]Justine se tourne, vous embrasse et vient à califourchon sur vous. "Je n'y crois pas. C'était tellement agréable. Avec mon ex, nous avions essayé plusieurs fois, mais j'avais toujours eu très mal dès la pénétration. Là, c'était parfait." Vous faites la moue : "Je pense malheureusement que le passage n'est plus ouvert désormais." Elle, malicieuse : "On va voir ça." Et elle lève les fesses en dirigeant votre vi bien dur à l'entrée de son petit trou. Elle tente à plusieurs reprises de glisser dessus. En vain. Forçant le passage, elle s'enfonce sur votre gland avec un rictus de douleur. Vous lui dites de ne pas insister. Elle : "Je suis tellement déçue. J'avais vraiment envie de te faire plaisir." Elle prend votre sexe entre ses doigts et vous masturbe doucement. Vous la laissez faire et la regarder tendrement. Vous l'aimez bien au fond malgré sa voix de crécelles et son rire de dindon. Vous lui montrez comment vous donner du plaisir et elle est une élève appliquée. JUSTINE VOUS MASTURBE [[112]] JUSTINE SE MASTURBE [[111]]Justine se tourne, embrasse votre torse et descend jusqu'à votre sexe qu'elle prend dans sa bouche. Elle vous suce vraiment bien, bien mieux que la veille dans votre tente. Néanmoins, vous faites la fine bouche : vous étiez à un centimètre de la prendre par le cul et cela vous contrarie un peu. Vous la relevez, la repoussez sur le matelas et pénétrez entre ses jambes ouvertes. Vous passez votre frustration à travers des coups de rein bien vigoureux dont Justine semble raffoler. Relevant ses jambes sur vos épaules, vous pilonnez son sexe et, au moment de jouir, vous vous retirez pour mieux éjaculer sur ses seins et son ventre. Justine rit : "Tu m'as défoncée." Vous l'aidez à franchir à nouveau les chaises. Vous prenez congé de la jeune femme et retournez à votre tente. PASSEZ AU [[100]]Elle vous masturbe désormais divinement bien. Vous lui dites d'accélérer et de bien serrer votre bite avec les doigts. Parfaitement exécuté. Vous éjaculez sur votre ventre et votre bas-ventre puis remerciez la jeune fille qui rougit. Passant au dessus de votre sexe, elle vient s'asseoir sur votre sperme et s'y frotte lentement. Vous vous embrassez longuement. Vous l'aidez ensuite à franchir à nouveau les chaises. Vous prenez congé de la jeune femme et retournez à votre tente. PASSEZ AU [[100]]"J'aimerais te regarder te masturber." Justine sourit, recule et s'assieds en face de vous. Les yeux plantés dans les vôtres, elle caresse lentement son entrejambe et ses seins dont elle fait rouler les tétons entre ses doigts. En bas, sa main parcourt son sexe qui n'a plus aucun secret pour vous tant elle a les jambes écartées. De votre côté, vous vous branlez, excité que vous êtes en la regardant. Actionnant de plus en plus vivement son petit bouton, elle gémit avant que son corps ne soit parcouru de plaisir. Elle continue de se caresser alors que vous accélérez drastiquement le rythme. Elle vous regarde en souriant puis s'approche, se baisse et passe ses seins autour de votre membre. Il ne faut que deux petits mouvements de sa part pour que vous vous déversiez sur ses mamelles. Justine est tout contente. Vous l'aidez à franchir à nouveau les chaises. Vous prenez congé de la jeune femme et retournez à votre tente. PASSEZ AU [[100]]Vous rentrez dans votre tente et envisagez la soirée à venir. SI VOUS AVEZ ACCEPTEZ L'INVITATION DE SOPHIE [[116]] SI VOUS L'AVEZ REFUSEE OU SI VOUS NE SAVEZ PAS QUI EST SOPHIE [[200]] Parfumé, chemise, bermuda, lunettes de soleil, vous voilà parti en direction de la plage. Vous passez à proximité du mobile-home de Sophie et ses amis, mais il est vide. Effectivement, les trois filles sont à la plage et sont visiblement plus que ravies de votre arrivée. Vous roulez une pelle à Sophie et faites la bise aux deux autres, non sans un clin d'oeil à Eloïse. Une adorable table de fortune est dressée. Sophie vous tend une bière et vous allumez le grill en aluminum. Sophie est vêtue d'un débardeur vert pastel moulant à fines bretelles et ne porte pas de soutien-gorge. D'ailleurs, elle a vite fait de vous faire remarquer qu'elle ne porte pas de culotte non plus sous sa petite jupe plissée blanche. Eloïse porte un top étroit à bretelles en jeans et vous vous demandez si les quatre boutons plantés verticalement entre ses seins servent vraiment à le fermer. En bas, elle a opté pour un short court, beige, qui semble dessiner les formes de ses fesses. Vous vous réjouissez qu'elle se lève. Françoise est habillée d'un chemisier jaune suffisamment transparent pour dévoiler un soutien-gorge raffiné du même coloris. Mais sans offrir la possibilité d'en voir trop. Très joli. En bas, elle a mis une jupe longue bleu marine, visiblement stretch. Elle aussi, vous vous réjouissez qu'elle aille faire quelques pas. En dehors de vous quatre, il y a assez peu de monde sur la plage, peut-être une dizaine de personnes au maximum. Alors que vous mettez les premiers morceaux de viande à griller, Françoise se lève pour aller aux toilettes. Stretch. Cambrée, fesses rondes. Vous ne vous en étiez pas rendu compte à la piscine. Quel cul fabuleux ! Alors qu'elle s'éloigne, Sophie se lève à son tour : "J'y vais aussi.". A peine a-t-elle disparu derrière un buisson qu'Eloïse vous saute dessus : "Ma cousine n'a que ton prénom dans la bouche depuis ce matin et vu comme elle parle de toi, vous n'avez pas fait que jouer au tennis.". Elle vous embrasse et se frotte à votre sexe quand vous entendez une voix derrière vous : "On ne peut pas vous laisser deux minutes tout seuls." Sophie. Eloïse se redresse, stupéfaite. Sophie, toute fière de son effet, s'agenouille à vos côtés et prend sa cousine par le cou : "Il embrasse super bien, tu ne trouves pas ?" Eloïse est assise à califourchon sur vos cuisses et vous roulez une pelle à sa cousine. Puis à elle. En quelques minutes, Eloïse est au courant de tout, du match de tennis et de la suite, du passage dans la tente et surtout, elle apprend que sa cousine sait pour elle et Dimitri. Mais avant qu'elle ne dise quoi que ce soit, Sophie dit : "Tu as raison, fais tes expériences. Mieux vaut les faire maintenant qu'après le mariage et les enfants." Elle ajoute, malicieuse : "Et puis Dimitri, il a une belle queue et il sait l'utiliser." Eloïse rit puis caresse votre entrejambe : "Et il n'est pas le seul." Ça sent le brûlé. Au centre du grill, une côtelette carbonise. Immangeable, elle est exclue de la fête. Vous servez les autres côtelettes, Eloïse les salades et Sophie le rosé. Françoise revient des toilettes. Vous mangez tranquillement et finissez la troisième bouteille avec le dessert, de petites salades de fruits. En quelques minutes, tout est ensuite débarrassé et vous ne gardez que les boissons. Vous remerciez les filles pour l'invitation et... VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[145]] VOUS PROPOSEZ UN JEU [[117]]Vous allez manger et trainez un peu au bar. Marianne vous tient la jambe et vous préféreriez voir sa fille. Mais elle brille par son absence. Finalement, vous retournez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]De retour dans votre tente, vous constatez qu'il n'est pas si tard. Néanmoins, vous êtes fatigué. Vous allez faire votre toilettes. Vous vous allongez ensuite dans votre tente et prenez la décision de partir dès le lendemain matin. Vous n'aurez plus rien à faire au camping de toute façon. A 4h du matin, votre réveil sonne. Vous faites votre paquetage. Dans la boite aux lettres de l'accueil, vous laissez une enveloppe trop garnie. Marianne a vos coordonnées si elle souhaite vous joindre. Vous repartez à l'aventure. A 7h, au milieu de la première escalade du jour, vous jetez un coup d'oeil en contrebas au camping. Sympa. FIN DE L'HISTOIRESur le principe, les filles sont d'accord, mais quel jeu ? ACTION-VERITE [[118]] STRIP POKER [[119]]Le jeu commence sur beaucoup de vérité et peu d'action. L'action est constitué de retrait de vêtement. Vous perdez votre chemise et surtout Françoise aussi. Vous restez bouche béé devant les obus moulés dans le soutien-gorge jaune de la jeune femme qui rougit. Eloïse et Sophie vous charrient. Tout le monde rit et vous en êtes à la cinquième bouteille. Après un dizaine de tours, vous êtes en boxer; Eloïse a gardé le haut mais enlevé son short; Françoise est en soutien-gorge et string jaunes et Sophie, seins nus, ne porte que sa jupe. Côté révélations, vous avez appris que les trois filles sucent et qu'elles adorent les cunnilingus. Eloïse a pratiqué la sodomie avec trois de ses ex et est déjà sortie plusieurs fois avec un porte-jarretelles sous une robe ou une jupe. Françoise a fait l'amour au milieu de stade de foot de son village. Pas de sodomie, ni de fellation complète, elle n'a jamais porté de lingerie fine. Enfin, Sophie aime sortir sans dessous et ne serait pas contre une nuit à trois. Elle aime les mecs bien membrés et elle a un porte-jarretelles et une guêpière qu'elle n'a mis qu'en privé. Il commence à faire nuit et la température baisse doucement. Bien éméchée, Sophie propose un bain de minuit alors qu'il n'est que 22h30. VOUS ACCEPTEZ [[120]] VOUS REFUSEZ [[138]]Vous proposez le célèbre jeu de cartes, mais Françoise ne sait pas jouer. Les deux autres préfèrent renoncer à jouer et puis en fait, elles ont surtout envie de boire et de rigoler. La soirée est sympa mais moins coquine que vous l'imaginiez. Il commence à faire nuit et la température baisse doucement. Bien éméchée, Sophie propose un bain de minuit alors qu'il n'est que 22h30. VOUS ACCEPTEZ [[120]] VOUS REFUSEZ [[138]]Vous voyez Françoise devant la porte. Elle vous voit et s'approche en souriant : "Les cousines sont ivres mortes. Elles dorment sur les banquettes." Vous : "Et toi, pourquoi es-tu sortie ?" Elle : "Pour voir si tu étais encore là. J'ai été très touchée de tes égards envers moi durant la soirée et je voulais te remercier." Vous êtes surpris, cela vous paraissait naturel. C'est ce que vous dites à Françoise. Elle sourit : "C'est que tu dois être un homme bien alors." Vous riez et répondez : "Peut-être. Je t'avoue tout de même que je mourrais d'envie de te voir nue. Mais pas sans ton accord." Elle sourit largement, visiblement très satisfaite de votre réponse et dit timidement : "J'ai un petit service à te demander : j'ai envie d'aller aux toilettes, mais j'ai un peu peur d'aller seule jusqu'aux sanitaires. Tu peux m'accompagner ?" Vous riez et partez avec elle. Elle va entrer dans les toilettes et vous jette un regard d'envie. VOUS LA SUIVEZ [[136]] VOUS L'ATTENDEZ [[137]]"Tu n'es pas drôle. Ou alors timide." Sophie est un peu déçue, mais Françoise est de votre côté, pas emballée à l'idée de se baigner toute nue. Finalement, l'idée est abandonnée. La fraicheur faisant son arrivée, Sophie propose de continuer la soirée au mobile-home. VOUS ACCEPTEZ [[126]] VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[145]]Sophie n'a pas attendu votre réponse pour enlever sa jupe. Elle court nue et se jette dans l'eau. Les deux autres hésitent. Vous vous approchez d'Eloïse et commencez à déboutonner son top. Elle vous regarde en souriant. Vous le lui retirez, elle se lève, ôte son string et court dans l'eau. Françoise refuse d'y aller. Les cousines l'appellent. VOUS DEGRAFEZ SON SOUTIEN-GORGE [[121]] VOUS PROPOSEZ UN ARRANGEMENT [[123]]Françoise se fâche. Ça la gêne et votre attitude la blesse. Vous enlevez votre boxer et allez dans l'eau. Françoise s'habille et s'en va. Les cousines sortent de l'eau et la suivent. Seul dans le lac, puis seul sur la plage, vous avez l'air fin. VOUS ALLEZ AU MOBIL-HOME DES FILLES [[122]] VOUS RETOURNER A VOTRE TENTE [[145]]"Tu vas dans l'eau en dessous et je te les enlève là-bas." Votre plus beau sourire a raison de la résistance de Françoise. Vous l'aidez à se lever et lui proposez d'enlever votre boxer. Vous bandez comme un cheval mais elle ne se démonte pas. Ainsi, main dans la main, vous rejoignez les cousines qui applaudissent. Dans l'eau, vous dégrafez le soutien-gorge et retirez le string de Françoise et les rapportez sur la plage. De retour dans l'eau, vous embrassez Sophie puis Eloïse. Françoise fait de gros yeux. Eloïse dit qu'il faut s'amuser, vous embrasse à nouveau et vous laisse caresser ses seins. Mais il fait froid. Sophie sort, Eloïse suit. Françoise se gêne. Vous sortez à votre tour. Les cousines appellent Françoise. VOUS VOUS MÊLEZ A L'APPEL [[124]] VOUS AIDEZ FRANÇOISE [[125]] Elles sont à l'intérieur. Vous tapez à la porte. Sophie vient vous ouvrir et vous passe un savon avant de vous fermer la porte au nez. Vous avez tout gagné et PASSEZ AU [[145]]"Allez, viens, ne sois pas timide !" Françoise reste dans l'eau. Il lui faut plusieurs minutes pour finalement sortir, un bras sur sa poitrine, l'autre sur son sexe. Elle est frigorifiée et plus personne ne rit. Elle se sèche mais ne parvient pas à se réchauffer. Elle n'a d'autre solution que de retourner au mobile-home. Les cousines et vous la suivez. Congelée, Françoise se couche dans son lit pour faire remonter la température de son corps. Mais elle s'endort. Les cousines refusent de retourner à la plage et ne veulent pas faire de bruit dans le mobil-home puisque Françoise y dort. La soirée est fichue. Vous sortez un moment, pensant être rejoint par l'une ou l'autre des cousines. PASSEZ AU [[132]] Vous prenez le linge de Françoise et entrez dans l'eau. Tandis que vous le tenez ouvert, vous détournez le regard. La brunette s'extrait du lac et vient se pelotonner dans la douce étoffe. Vous passez votre main autour de ses épaules et la raccompagnez jusqu'aux cousines. Dans le regard de Françoise, vous lisez beaucoup de gratitude mais pas que ça. Sophie propose de continuer la soirée au mobile-home. VOUS ACCEPTEZ [[126]] VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[145]]Le mobile-home est plus vaste que vous l'imaginiez. Il est composé de deux petites chambres, d'une kitchenette et d'une table à manger rectangulaire entourée de deux banquettes confortables. On peut y manger aisément à six. Les filles escamotent la table dans le plancher. Sophie vous explique qu'en resserrant les deux banquettes, on forme un lit : c'est là qu'elle dort. En attendant, vous vous installez dans une banquette, un verre à la main et Sophie à vos côtés. En face, Eloïse et Françoise. Vous attaquez la sixième bouteille de la soirée. Eloïse et Sophie sont ivres. Vous trinquez. Sophie est chaude comme la braise. Elle vous embrasse à pleine bouche, caresse votre entrejambe et vous murmure à l'oreille qu'elle a envie de vous sucer. Eloïse et Françoise parlent et rient ensemble, sans manquer de regarder le manège de la blonde. Vous répondez à Sophie... DE FAIRE CE QU'ELLE A ENVIE [[127]] DE CESSER [[128]]"On est entre nous, fais ce que tu veux." Vous souriez, Sophie aussi. Lentement, elle déboutonne votre bermuda et sort votre queue. Un dernier baiser et elle se penche dessus pour commencer sa fellation. Eloïse et Françoise écarquillent les yeux. Votre regard croisent celui d'Eloïse : elle en a envie, cela ne fait aucun doute, mais elle ne bouge pas. Après quelques minutes, Sophie se redresse et se tourne vers les deux filles : "Il y en a une qui prend le relai ?" Trois secondes de battement avant qu'Eloïse ne se lève. S'asseyant de l'autre côté, elle se met à son tour à vous sucer tandis que vous roulez une immense pelle à Sophie en lui cassesant les seins. Sophie se penche à nouveau sur votre chibre. Eloïse lui laisse la place et les cousines vous sucent chacune à leur tour. Fabienne observe toujours. Elle n'ose pas et pas question de la forcer. Sophie va la rejoindre. Elle ne lui dit rien mais elle a libéré une place. Fabienne se lève et vient la prendre. A son tour, elle se penche sur votre bite et la suce avec Eloïse. En face, Sophie se masturbe puis elle écarte largement les jambes. VOUS RESTEZ ASSIS ET CONTINUEZ A VOUS FAIRE SUCER PAR ELOISE ET FABIENNE [[142]] VOUS VOUS LEVEZ ET PENETREZ SOPHIE [[143]]"Arrête, on n'est pas tout seuls." Sophie cesse et boit à petites gorgées sans dire un mot. D'ailleurs, les échanges sont rares. La soirée n'a pas survécu au retour au mobil-home. Au bout d'un moment, lassé, vous vous levez, saluez les filles, les remerciez un nouvelle fois et quittez le mobil-home. Dehors, vous attendez un moment à proximité. SI SOPHIE SORT [[129]] SI ELLISE SORT [[130]] SI FRANÇOISE SORT [[131]] SI PERSONNE NE SORT [[132]] Sophie sort, titubante. Elle vous voit et vient vers vous. Elle n'a pas aimé la façon dont vous l'avez rembarrée. Vous vous excusez. Elle vous embrasse. Elle vous dit qu'elle est morte de fatigue, ivre et qu'elle va aller se coucher. VOUS LUI PROPOSEZ DE PASSER LA NUIT DANS VOTRE TENTE [[133]] VOUS LA SALUEZ [[134]]Eloïse sort et regarde alentours. Elle vient vers vous et vous embrasse. Vous avez très envie d'elle. PASSEZ AU [[135]]Personne n'en sort. Déçu, vous prenez le chemin de votre tente. PASSEZ AU [[145]]Françoise est surprise de vous voir retenir la porte des toilettes. Vous entrez avec elle. Ses yeux marquent soudain un peu d'inquiétude. Vous essayez de l'embrasser, elle vous repousse. "Non, non, tu gâches tout. Tu es comme tous les autres en réalité." Surpris, vous lâchez prise et sortez. Vous l'attendez néanmoins. Elle sort, les yeux tristes. Vous la raccompagnez à proximité de son mobil-home sans un mot. Elle vous remercie et vous salue. Vous rentrez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]Françoise sort et va se lavez les mains. Vous prenez l'autre allée pour retourner à son mobile-home et passez devant votre tente. Vous tentez votre chance. PASSEZ AU [[135]]"Tu viens dormir avec moi ?" Elle sourit mais refuse : "Nous partons demain matin et je suis vraiment très fatiguée. Par contre, j'ai très envie de te voir à ton retour à Genève et de passer quelques nuits avec toi." Elle vous embrasse tendrement. VOUS INSISTEZ [[135]] VOUS ACCEPTEZ SA DECISION [[134]]Vous saluez la belle blonde et retournez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]"Viens un moment dans ma tente." Elle hésite quelques secondes : "Ok, mais pas longtemps." Main dans la main, vous allez dans votre tente et vous glissez à l'intérieur. VOUS ETES AVEC SOPHIE [[139]] VOUS ETES AVEC ELOISE [[140]] VOUS ETES AVEC FRANÇOISE [[141]]Sophie n'attend pas. Elle ouvre votre bermuda et commence à vous sucer. Intense et profonde, sa fellation vous excite particulièrement et vous avez envie de lui rendre la pareille. Elle enlève son débardeur avant que vous ne l'allongiez sur votre couche. Vous la léchez avec vivacité et elle jouit rapidement, vous suppliant de venir en elle. Vous la pénétrez et ondulez entre ses reins. La belle blonde gémit, caresse sa poitrine, halète avant un nouvel orgasme. Vous vous allongez sur elle, embrassez son cou, non sans continuer vos mouvements de hanches. Sophie vous exhorte de continuer comme vous le faites, son plaisir est le votre. Elle jouit pour la troisième fois. "J'adore faire l'amour avec toi, tu me donnes tellement..." Vous êtes flatté et vous répondez que le plaisir est réciproque. Malicieuse, elle vous demande pourquoi. Vous répondez sur l'envie manifeste de partager, d'échanger, de se donner du plaisir et de l'intensité des rapports avec elle. Elle semble ravie. Vous ajoutez : "Et tu suces divinement bien." Elle : "Il parait." Vous : "On te l'a déjà dit ?" Elle : "Oui, plusieurs fois. J'adore le faire, c'est peut-être pour ça." Surexcité, vos coups de rein deviennent plus vigoureux et la blonde prend son pied pour la quatrième fois juste avant que vous atteigniez le nirvana à votre tour. Vous restez quelques minutes lovés l'un contre l'autre avant qu'elle ne se rhabille. Avant de partir, vous convenez de vous revoir à Genève. Vous sortez. Un dernier baiser passionné et elle s'en va. PASSEZ AU [[145]]Vous vous embrassez. Vous déboutonnez le top en jeans et dévoilez sa magnifique poitrine que vous vous empressez de goûter. Simultanément, Eloïse ouvre votre bermuda et masturbe doucement votre sexe. Elle s'y penche et vous commence à vous pomper. Vous vous allongez. Elle est agenouillée perpendiculairement à vous pour effectuer sa fellation. Vous caressez ses fesses, glissez la main sous le short tendu. Elle rapproche ses fesses de vous et vous pouvez ainsi les caresser de vos deux mains. Alors qu'elle se redresse, vous lui dites : Vous : "Tu as des fesses sublimes." Elle : "Tu es le premier à me dire ça. En général, c'est mes seins que l'on complimente." Vous : "Et bien moi, je préfère tes fesses." Tandis que vous vous redressez, elle se met à quatre pattes devant vous. Ce cul moulé dans le short étroit vous rend fou. Le tissu est tellement tendu que vous apercevez, sur le haut, la ficelle qui plonge dans la raie de la brune à la coupe de garçonne. Vous faites lentement glissez le short et le retirez. Vous caressez doucement ce magnifique postérieur. Eloïse semble surprise de l'attention que vous portez à son arrière-train. Elle rit : "Je n'ai vraiment pas l'habitude qu'on s'intéresse autant à mon cul." Vous vous penchez, écartez le string et glissez votre langue de haut en bas de sa raie. Elle gémit. Vous léchez son sexe, y introduisez votre langue, remontez à sa anus et faites de même. Revenant à son minou, vous actionnez son petit bouton de votre pouce. La belle jouit. Elle se redresse, vous vous allongez et elle glisse sur votre teube, à califourchon sur vous, mais toujours tournée. Vous êtes subjugué par ce fion qui va et vient, de haut en bas, d'avant en arrière. Eloïse écarte ses fesses de ses mains, se penchant un peu en avant. Vue imprenable sur son anus que vous caressez de votre pouce. "J'ai envie d'y venir." Elle : "J'y compte bien." Se tournant face à vous, elle prend les commandes de l'ébat et vous obéissez à ses demandes avant de la regarder monter jusqu'à un bel orgasme. Elle s'allonge sur vous, en sueur, vous l'embrassez. Un simple mouvement de vos hanches déclenche un nouvel décharge électrique à travers le corps de la brune. Cela se répètera trois fois. Eloïse se remet ensuite à quatre pattes et vous la prenez en levrette. Vous en raffolez. Vous ralentissez puis vous vous retirez. Vous préparez l'anus de la belle qui pratiquera pour la première fois sans gel intime. Beaucoup de salive et vous entrez. Pas simple mais elle vous demande d'insister gentiment. Petit à petit, le passage s'ouvre et vous pouvez aller et venir doucement. Vous êtes de toute façon tellement excité de la prendre par derrière que vous n'avez pas besoin d'aller plus vite pour jouir. C'est d'ailleurs ce qui arrive. Vous vous retirez alors et vous allongez en prenant Eloïse dans vos bras. Elle vous embrasse : "C'est plus douloureux quand ça ne glisse pas bien." Vous riez tous les deux. Elle ajoute, un peu provocante : "Ça doit être la différence entre être sodomisée et être enculée." Vous l'embrassez. Elle dit qu'elle a envie de vous revoir. Vous échangez vos numéros de téléphone et promettez de vous revoir à Genève. Elle se rhabille sans remettre son string. Vous sortez. Un dernier baiser passionnée et elle s'en va. PASSEZ AU [[145]]Vous avez les mains moites. Françoise semble aussi impressionnée que vous, c'est tout ce qui vous rassure. Reste que c'est elle qui fait le premier pas en s'approchant de vous pour vous embrasser. La douceur de ses lèvres n'a d'égale que celle de la peau de son épaule que vous caressez du bout des doigts. Vous n'osez pas la toucher. La beauté de cette fille de 18 ans vous met dans vos petits souliers. Elle vous repousse sur la couche et s'allonge sur vous. Baisers. Françoise redresse ensuite le buste et vous déboutonnez son chemisier en tremblant. Toute en timidité, elle dégrafe son soutien-gorge. Vous attirez les bretelles vers vous. Mon Dieu ! Même sans soutien-gorge, les deux gros globes restent hauts, dressés et tendus vers vous. Vous posez une main hésitante sur son sein gauche. Quelle fermeté ! Françoise se penche doucement vers vous et vous goûtez à l'offrande. Vous en jouiriez presque. Françoise se frotte doucement sur votre sexe et déboutonne votre bermuda. Glissant sur votre corps, elle embrasse votre torse, votre ventre. Devant votre boxer, elle sourit, hésitante. "Je ne l'ai fait qu'à Dimitri." Cependant, elle sort votre sexe, le masturbe deux fois avant de l'embrasser. Elle le prend tout doucement en bouche puis, en confiance, vous gratifie d'une belle fellation avant de s'allonger à côté de vous. Vous mettant au-dessus d'elle, vous embrassez son corps. Son ventre est particulièrement sensible. Vous enlevez sa jupe puis, lentement, son string jaune. Sa chatte est couvert d'un petit triangle noir corbeau finement taillé. Françoise semble très stressée mais se détend après les premiers baisers intimes. Vous vous appliquez particulièrement et emmener lentement mais sûrement la jeune femme à l'orgasme. Vous remontez entre ses jambes, son inquiétude remonte. "Je... je n'ai pas envie de le faire." Vous vous allongez à côté d'elle : "Aucun problème." Elle sourit, émet un petit rire et souffle. Elle vous embrasse à pleine bouche, roulant alors sur vous et se frottant à votre sexe. Elle ne meurt d'envie, c'est sûr. Vous posez les mains sur ses hanches et la guidez dans une simulation : Françoise ondule de haut en bas comme si elle glissait sur votre sexe. Elle a chaud, vous aussi. Vous la couchez à nouveau, elle rit, revenez sur elle. Votre sexe contre le sien, vous vous allongez sur elle, tendrement. Vous ne pouvez plus vous passer de ses baisers. Vous l'attirez vers vous et lui dites de se mettre à quatre pattes. Si les fesses d'Eloïse étaient formidables, celles de Françoise sont sublimissimes. D'une rondeur quasi parfaites, hautes, ses fesses sont fabuleusement mises en valeur par une cambrure parfaitement scandaleuse. Sans parler de ses cuisses finement musclées. Vous glissez votre sexe sous le sien et entamez une pseudo levrette. Vos haches claquent contre son postérieur auquel vous êtes fermement accroché. Fin de "l'acte". Françoise se tourne et vous vous couchez l'un contre l'autre. Elle prend votre sexe en main et vous masturbe avant de vous sucer à nouveau. Extrêmement bien, longuement. Vous arrivez au bout et le lui dites. Elle vous finit à la main. Nouveaux baisers. Elle doit y aller. Avant de sortir, elle vous fait une confidence : elle n'a pas encore osé pratiquer la levrette. Vous sortez. Un dernier baiser passionnée et elle s'en va. PASSEZ AU [[145]]Vous ne bougez pas. Les deux filles vous pompent divinement bien et puis, vous aimez regarder Sophie se mastruber, ça vous excite. La belle blonde se tourne et s'agenouille sur la banquette. Son cul est très ouverte et là, vous ne pouvez résister. Vous vous levez et enfoncez votre bite dans la vulve humide de Sophie. Derrière vous, Eloïse se lève et vient vous caresser les fesses. Dans le creux de l'oreille, elle murmure : "Vas-y ! Elle m'a dit qu'elle adore quand tu la prends bien fort !" Vous l'embrassez : "Montre-moi tes seins..." Eloïse déboutonne son haut et vous vous empressez d'embrasser ses gros seins tout en secouant sa cousine qui gémit de plus en plus. Eloïse s'agenouille à côté de Sophie, dans la même position. Vuos vous retirez de Sophie et vous agenouillez derrière Eloïse dont vous arrachez quasiment le short pour lui bouffer le cul et la chatte. VOUS LA PRENEZ EN LEVRETTE COMME SA COUSINE PRECEDEMMENT [[144]] VOUS LA SODOMISEZ SANS MENAGEMENT [[146]] VOUS VOUS OCCUPEZ DE FRANÇOISE [[147]]Vous vous levez et glissez dans la belle blonde. Vous la limez très agréablement sans vous rendre compte que vous avez plaqué les deux autres un pau abruptement. C'est seulement quand vous les voyez entrez dans une des chambres que vous comprenez que vous avez merdé. Tant pis, il est trop tard. Et puis, vous n'êtes pas tout seul. Vous faites jouir la belle blonde avant de venir à votre tour. Sophie vous demande de rester encore. Vous accpetez. Ensemble, vous faites le lit et remettez ça tranquillement. Sophie n'étant pas du genre discrête, vous voyez Eloïse débarquer furax de la chambre : les gémissements de sa cousine l'empêchent de dormir. Vous finissez votre histoire sans bruit et promettez de vous revoir à Genève. Vous retournez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]Vous relevant, vous court-circuitez en la voyant dans cette postition et la pénétrez vivement. Surexcité, vous jouissez en trois aller-retours. Résultat des courses : - Eloïse frustrée - Sophie jalouse - Françoise laissée pour compte Les deux dernières vous saluent et passe dans une chambre. Eloïse aimerait bien remttre ça tout de suite, mais vous n'êtes pas illico en état de fonctionnement et elle n'est pas patiente. Finalement, vous la saluez et rentrez à votre campement. PASSEZ AU [[145]]Son cul. Une obsession. Vous beuguez et enfoncez votre trique dans l'anus de la brunette qui crie. Vous revenez à la réalité. Vous l'avez blessée et elle fond en larmes. Elle est consolée par sa cousine et vous ne savez pas quoi faire d'autre que vous excusez. Vous avez l'air malin tout nu et tout dur, vu sa situation. Sophie vous traite de con et de pervers tandis que Françoise vous met à la porte. Bravo. PASSEZ AU [[145]]Françoise était restée assise. Vous vous approchez d'elle. Elle sourit, gênée. Vous vous agenouillé devant elle et passez lentement vos mains sous sa jupe. Elle ne dit rien et vous lui retirez son string jaune. Vous passez alors la tête sous sa jupe. Françoise écarte les jambes et vous la gratifiez d'un long cunni. A ses joues rouges et son sourire quand vous ressort la tête, vous comprenez qu'elle a apprécié. Vous vous asseyez à côté d'elle et vous vous embrassez. Sophie vient et s'assied à califourchon sur vous puis glisse sur votre trique. Françoise retire son chemisier et son soutien-gorge. Mon Dieu ! Même sans soutien-gorge, les deux gros globes restent hauts, dressés et tendus vers vous. Vous posez une main hésitante sur son sein gauche. Quelle fermeté ! Françoise se penche doucement vers vous et vous goûtez à l'offrande. Eloïse vient de l'autre côté et caresse votre torse. Sophie a un orgasme. Elle se retire et invite Françoise à prendre sa place. Vous aimeriez qu'elle vienne de dos. Elle s'installe et s'allonge rapidement sur vous. Vous la plottez comme un damné tout en embrassant Eloïse à pleine bouche. Sophie, debout, regarde Françoise onduler sur votre verge. Lentement, elle s'agenouille entre vos jambes et gobe vos testicules. Un pied géant. Quand Françoise fatigue, vous prenez le relai et c'est désormais vous qui astiquez le vagin de la jeune femme. Sophie caresse alors le clitoris de Françoise qui, surprise, gémit bruyamment et demande à Sophie de... continuer. Elle poursuit avec ses doigts puis avec sa langue. Françoise gémit, halète bruyamment. Elle est alors transpercée d'un formidable orgasme. SUREXCITE, VOUS ACCELEREZ LE MOUVEMENT ET JOUISSEZ DANS LE VAGIN DE FRANÇOISE [[148]] VOUS VOUS RETIREZ DE FRANÇOISE [[149]] La sensualité, le charme, les formes de Françoise, ce doux vagin, ces énormes seins, tout cela a raison de votre résistance. Vous accélérez encore vos va-et-vients. Françoise prend un pied gigantesque et vous giclez en elle. Haletante, elle est au paradis et vous aussi. Eloïse, par contre, est plutôt contrariée. Sophie fait un peu la moue. Eloïse vous salue à peine et va dans sa chambre. Sophie reste encore un peu, mais constatant que vous n'en avez que vous Françoise, elle rejoint sa cousine. Françoise veut remettre ça mais vous n'êtes pas apte. Vous lui dites en riant qu'elle est une "belle petite salope" mais vous obtenez l'effet inverse de celui escompté : Françoise se vexe et s'en va. Vous vous retrouvez la bite à l'air et pleine de foutre au milieu du salon. Vous n'avez plus qu'à retournez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]Françoise vous roule une immense pelle. Puis vous roulez la même à Eloïse, qui remplace Françoise à califourchon sur vous. Elle glisse sur votre bite quelques instants, mais pas longtemps. Elle a envie d'autre chose. Eloïse se couche en travers de la banquette. Vous relevez ses jambes et préparez succintement son sphincter. Elle est impatiente et vous dit de faire vite. Vous vous redressez et placez votre queue contre son anus. Vous y entrez. Lentement mais sûrement, vous gagnez en profondeur et en amplitude. Françoise et Sophie sont bouche béés et vous embrassez la blonde à qui vous demandez de s'asseoir sur le dossier de la banquette. Ainsi, tout en sodomisant sa cousine, vous pouvez lécher sa vulve en vous penchant en avant. C'est parfait. Un peu inconfortable, Eloïse demande à changer de position et elle se met à quatre pattes. Vous invitez Françoise à prendre votre sexe et à le diriger dans le petit trou d'Eloïse. Hésitante et gênée, elle effectue tout de même la manoeuvre et vous remettez en mode Piston. Ce cul vous rend vraiment fou. Vous ralentissez et insistez sur la profondeur. Sans forcer, vous allez toujours plus loin, jusqu'à atteindre le bout de la hampe. Eloïse gémit doucement, Françoise n'en revient pas et Sophie sourit. Vous ressortez lentement de son cul et vous asseyez. Eloïse vient sur vous et vous glisse entre ses fesses, cette fois. Cette fois, c'est Sophie qui est surprise de l'activité vive et ample de sa cousine sur votre sexe. Il est vrai qu'elle ne donne pas sa part au chien et vous ne vous souvenez pas qu'une femme ait été plus vigoureuse qu'Eloïse dans cette position. Il ne fait aucun doute que la brunette doit pratiquer la chose au minimum de manière hebdomadaire. Vous êtes au bout. VOUS LE DITES AVANT DE JOUIR [[150]] VOUS EJACULEZ AU FOND DU CUL D'ELODIE [[151]]Eloïse s'assied et vous vous levez en vous masturbant juste ce qu'il faut pour vous maintenir à la limite. Les cousines veulent dans la bouche, Françoise sur ses seins. Vous accélérez quelques secondes et giclez deux jets chargés dans les bouches ouvertes de Sophie et Eloïse avant de vous tournez vers Françoise pour trois petits jets. Elle vous prend ensuite entre ses gros obus. Vous êtes au paradis, c'est clair. Vous regardez ces trois filles magnifiques avec qui vous venez de jouer. Elles sont parfaites. Il est l'heure de les saluer. Françoise vous embrasse longuement, faisait sans cesse tourner sa langue dans votre bouche. Elle espère vous revoir à Genève. En riant, elle vous dit qu'elle attend jusqu'à la fin de l'été pour essayer la levrette. Si vous la rappelez d'ici là, vous serez le premier. Vous tenez le pari. Eloïse vous embrasse à son tour. Elle vous souhaite bonne chance pour la fin de votre randonnée. Si vous n'avez rien de spécial à faire un soir à Genève, dit-elle, vous pouvez l'appeler et elle trouvera certainement le moyen de se libérer. Sophie et vous sortez du mobil-home tandis que Françoise et Eloïse partent dans leur chambre. Vous lui promettez de l'appeler dès votre retour à Genève. Elle a très envie de passer une soirée "ou deux, ou plus" avec vous. Vous riez et la provoquez un peu : "D'ici la fin de l'été, je te sodomise comme j'ai sodomisé ta cousine ce soir." Elle rit, sans y croire. "Je veux bien réessayer, mais je ne pense pas que ça soit mon truc." Vous vous embrassez Sophie. VOUS RETOURNEZ A VOTRE TENTE [[145]] VOUS LUI LECHEZ LES SEINS [[152]]Sodomiser Eloïse est une expérience fabuleuse et vous la laissez vous chevaucher encore pour vous emmener à l'orgasme. Vous explosez dans son cul et la belle, à bout de souffle, se couche sur vous en vous disant que c'était la plus formidable expérience sexuelle de sa vie. Mais la tête de Sophie vous indique qu'elle en voulait aussi. Elle s'en va. Françoise vous embrasse un dernière fois et dit qu'elle est vraiment trop fatiguée. Dans la chambre. Eloïse n'en peut vraiment plus. Elle dort debout. Vous l'emmenez dans sa chambre, la coucher et puis, il ne vous reste plus qu'un chose à faire : retournez à votre tente. PASSEZ AU [[145]]Vous léchez à nouveau les seins de Sophie. Elle dit : "Tu viens de rester dur pendant près d'une demi-heure, avec trois femmes, tu jouis et quoi, vingt minutes après, tu es déjà à nouveau disponible." Sophie s'agenouille et commence à vous sucer quand soudain, les deux garçons font leur apparition. Sophie cesse mais ils ont tout vu. Ils rient et disent à Sophie de ne pas se gêner pour eux. Elle rougit et répond du tac au tac. Vous les saluez. Jules dit à Sophie : "On a bien visé hier dans la piscine !" Tout le monde éclate de rire. Dimitri demande si les filles dorment. Sophie dit qu'elle ne sait pas mais que plus tôt dans la soirée, elles avaient très envie de faire des cochonneries. Ils entrent. Sophie attend quelques secondes et repend sa fellation. Elle ne voit pas Dimitri et Jules qui la regardent par la fenêtre. Ils rient en levant le pouce à votre attention. La lumière s'eteint. Vous dites à Sophie de se lever et l'entrainez doucement derrière le mobil-home. Deux fenètres, les deux chambres. Vous devez choisir : JULES ET ELOÏSE [[153]] DIMITRI ET FRANÇOISE [[154]]Vous choisissez la fenètre de la cousine et de son copain. Sophie n'est pas très chaude car c'est sa cousine et Jules n'est pas du tout son type. Eloïse le suce lentement et il la prend en missionnaire. Elle est tellement fatiguée qu'elle est à la limite de s'endormir. Ce n'est même pas excitant. Jules éjacule puis Eloïse se tourne et s'endort définitivement. Nul et cela vous a fait débander. Sophie est désolée et très fatiguée. Vous vous reverrez à Genève. PASSEZ AU [[145]]Sophie valide votre choix avec enthousiasme. Elle dit que Dimitri l'avait parfois faite grimper aux rideaux. Vous riez. Vous constatez que le grand échalas blond est ma foi assez bien taillé et plutôt bien membré. Sophie n'en manque pas une miette. Dedans, Françoise le suce avant de venir à califourchon sur lui. Ses gros seins battent la mesure et vous enfournez Sophie juste devant vous. Françoise se couche et Dimitri la pénétre puis la prend assez vigoureusement. Elle semble apprécier. Vous allumez Sophie : "Une partie à trois avec Dimitri..." Elle : "Mmmmh... J'adorerais le sucer, là, maintenant, pendant que tu me prends..." Vous : "Et à quatre, avec Françoise ?" Elle, une pointe de jalousie : "Tu l'aimes bien, hein ?" Vous : "Regarde-là..." A l'intérieur, Dimitri demande visiblement à Françoise de se mettre à quatre pattes mais elle refuse, ce qui vous fait particulièrement plaisir. Il la prend finalement en chien de fusil et vous êtes aux premières loges pour "admirer" la verve de Dimitri pistonner le vagin de Françoise. Sophie, qui se masturbe également, prend quelques secondes pour répondre : "C'est vrai qu'elle en dégage, elle a un charme fou. Et je suis envieuse de ses lèvres, de ses seins et de son cul !" Dimitri est au bout. Il s'agenouille entre les jambes de Françoise et éjacule par saccades importantes sur son bas-ventre. Sophie jouit : "Mmmh... Quel gâchis..." Sophie se retire de votre hampe, se tourne vivement et s'agenouille en vous gobant la queue. Elle vous suce comme une damnée, un vrai aspirateur, vous n'en revenez pas. Vous vous laissez aller et déchargez à nouveau dans sa bouche. Vous vous éloignez sans bruit des fenêtres et faites quelques pas en direction de votre tente. Vous vous embrassez à pleine bouche. Vous lui dites : "On reste encore 15-20 minutes ensemble et je te prends à nouveau." Elle rit. "Non, là, je suis trop fatiguée. Mais je dois dire que ça laisse entrevoir de sympathiques perspectives pour Genève." Vous : "Avec Dimitri aussi ?" Elle : "Pourquoi pas..." Vous : "Et en trio avec Françoise ? Tu l'as léchée tout à l'heure !" Elle, un peu gênée : "C'est vrai... Je ne sais pas ce qui m'a pris..." Vous : "C'était très très excitant." Elle met un terme à la discussion en vous embrassant. Vous ne voulez pas qu'elle parte et posez vos mains sur ses fesses, sous sa jupe. Elle rit. "Allez... Arrête... A Genève, tu pourras faire ce que tu veux." Sourire coquin de votre part. Vous passez votre majeur dans la raie de ses fesses et l'introduisez doucement dans son petit trou. "Tout ce que je veux là aussi ?" Elle ne répond pas. Vous lui faites sucer le majeur de votre autre main et l'enfonccer à la place du sec. Bien profond. Les yeux clos, elle gémit avant de vous demander d'arrêter : "A Genève..." Dernier baiser et vous repartez chacun de votre côté. PASSEZ AU [[145]]