Vous êtes Florent, vous avez 39 ans. Grand, svelte, des cheveux bruns souvent en bataille, un peu ténébreux, on ne peut vraiment pas dire que vous manquez de charme. Grâce notamment à vos yeux verts qui ont toujours fait la fierté de votre Maman. Vous aimez l'indépendance que vous confère votre statut de célibataire, mais il vous arrive tout de même de vous sentir un peu seul. Vous aimez votre boulot, vous êtes un sportif amateur touche-à-tout... En définitive, vous avez peu de défauts. Car vous pourriez êtes un sale con, mais non : vous êtes ce qu'on appelle "un type bien" et vous amis louent votre altruisme, votre fidélité et votre sens de l'humour. Le genre parfait. Allez au [[1]]Quand votre réveil sonne ce jeudi matin, vous ouvrez les yeux et comme d'habitude, vous appuyez sur le bouton renvoyant le véritable début de votre journée huit minutes plus tard. Lorsque cela sonne à nouveau, vous vous asseyez dans votre lit. Quelques étirements bienvenus et vous allez directement à la salle de bains. Il vous est en effet impossible de débuter une journée sans votre sacro-sainte douche. Vingt minutes plus tard, en peignoir, vous regardez le sucre fondre au fond de votre tasse de thé en le touillant lentement. Vous vous demandez également si vous avez envie d'aller travailler ou non. Et si vous faisiez un break ? Vous allez au [[Travail]] Vous restez à la [[Maison]] Vous vous trouvez parfois trop consciencieux, car malgré votre motivation en berne, vous êtes à votre place de travail moins d'une heure plus tard. Vous vous rendez compte que la journée va être longue lorsque vous commencez à compter les minutes qui vous séparent de la pause matinale. Vous vous y rendez à 9h30. Dans la petite cafétéria, vous retrouvez des collègues. Vous y restez un certain temps et vous vous retrouvez seul avec Elsa, l'assistante de la comptabilité. Avec son carré blond, Elsa vous a toujours fait l'effet d'un champignon. D'un très joli champignon de 42 ans, cela dit, et très joliment vêtu ce matin : un chemisier étroit et cintré, qui laisse deviner sa très honnête poitrine, et une jupe droite suffisamment courte pour dévoiler ses jambes galbées et musclées. Elsa se lève et prend la direction de son bureau en disant : - Pfff, je dois encore descendre tous ces cartons aux archives... Passez au [[3]] si vous lui proposez de l'aider Passez au [[5]] si vous retournez jouer au Solitaire dans votre bureauAllez, votre motivation pour aller au bureau ce matin est au moins aussi élevée que celle de vous cuisiner des épinards à midi. Vous détestez les épinards. Vous cherchez sur votre smartphone le numéro de votre chef et prenez votre voix la plus faiblarde pour lui annoncer votre incapacité à venir travailler aujourd'hui. La conversation ne dure que quelques secondes. Il n'est pas du genre à chercher la petite bête et en raccrochant, vous avez tout de même un peu mauvais conscience de laisser tomber vos collègues, mais ce sentiment s'envole au moment où vous cliquez sur le bouton démarrant votre console de jeu. Vous jouez durant une heure, mais à vrai dire, vous vous faites vite chier. Et surtout, votre libido vous dicte d'arrêter de jouer. En fait, oui, vous avez envie de sexe. Si vous allumez votre ordinateur pour vous masturber, passez au [[2]] Si vous décidez d'aller draguer au centre commercial voisin, passez au [[6]]Toujours en peignoir, vous allumez votre ordinateur et surfez sur vos sites de photos coquines préférés. Vous avez une nette préférence pour les jeunes amatrices à forte poitine, mais vous n'avez absolument rien contre les belles quadra bien rasées. Les photos défilent, votre imagination fait le reste. Votre sexe est tendu, rouge et chaud. Vous faites durer le plaisir, mais cette petite blonde à quatre pattes est tout de même dotée de seins exceptionnels. Vous giclez dans le papier toilettes puis vous allez vous nettoyer. Vous n'avez pas vu le temps passer. Il est midi. Passez au [[98]]Marie-Laure est restée mariée près de quinze ans avec votre cousin. Ils ont divorcé depuis plus de dix ans, mais elle est restée proche de votre famille. Alors que votre cousin a rencontré une autre femme, Marie-Laure ne s'est jamais montrée en compagnie d'un autre partenaire. Vous l'aviez toujours appréciée, tant par sa nature souriante, ouverte que par sa beauté discrète. Et à 49 ans, Marie-Laure est une très belle femme. Quatre mois plus tôt, vous aviez croisé Marie-Laure en ville, passé la journée avec elle et cela s'était terminé chez elle pour une souper puis dans son lit. Marie-Laure s'était montrée incroyablement hésitante et maladroite. Mais comme le vélo, cela ne s'oublie pas. Vous aviez passé la nuit avec elle et vous aviez fait l'amour à trois reprises. Pour Marie-Laure, c'était une première avec un homme depuis douze ans, depuis votre cousin. Vous aviez alors appris que Marie-Laure avait eu plusieurs relations avec des femmes depuis le divorce. Depuis cette nuit-là, vous avez revu Marie-Laure à cinq reprises et elle vous a comblé. Vous avez une relation régulière avec elle. Elle ne veut absolument pas s'engager, mais elle vous dit apprécier votre compagnier et d'avoir à nouveau des relations hétérosexuelles. Ce qui ne l'empêche pas de continuer à avoir des relations homosexuelles. Vous l'appelez. Elle s'arrête, vous fait signe de la main et dit : - Je suis hyper pressée. Appelle-moi. Et elle repart en direction de la sortie. Passez au [[8]] si vous la suivez Passez au [[62]] si vous attendez la bruneVous vous habillez certes rapidement, mais en prenant un soin particulier à votre tenue. Il est 9h30 quand vous quittez votre appartement. Dix minutes de voiture suffisent pour atteindre le centre commercial. Il faut beau quoiqu'un peu frais. Vous hésitez sur le lieu à fréquenter. Passez au [[40]], si vous entrez dans le gigantesque supermarché Passez au [[42]], si vous optez pour la grande enseigne de prêt-à-porter Passez au [[44]], si vous choisissez le magasin de sportVous vous levez et courrez derrière Marie-Laure qui a déjà atteint sa voiture. Vous l'interpellez. Elle ouvre la porte, s'interrompt et vous sourit. Vous l'embrassez et lui dites : - Où courres-tu comme ça ? - J'ai rendez-vous chez le dentiste. - Et pas le temps de me saluer ? Vous posez vos mains sur ses hanches. Elle rougit. - Je... Je n'avais pas envie que tu me voies dans cette tenue. Marie-Laure porte un pantalon et un pullover. - Désormais, ça me gêne un peu de te voir ainsi vêtue. - Pourquoi ? - Parce que lorsqu'on se voit, j'aime m'habiller bien, pour toi et aussi pour moi. Vous passez vos mains sur ses fesses. - Pourtant, ce pantalon te fait un cul d'enfer. Elle vous sourit, vous ajoutez : - Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu. - Je suis surbookée en ce moment. Je t'appelle, sans faute. Vous devez faire un choix car vous apercevez la brune qui sort du centre commercial avec son caddie. Vous demandez un avant-goût à Marie-Laure, au [[12]] Vous prenez congé de Marie-Laure et partez vers la brune, au [[64]]Alors que Marie-Laure s'installe au volant, vous commencez à déboutonner votre pantalon. La voiture est dans un coin du parking, face à un sous-bois. Marie-Laure ne vous remarque pas immédiatement ce que vous faites. Quand elle se tourne, elle crie : - Qu'est-ce que tu fabriques ?!? - J'ai une envie soudaine. - Arrête ! Mais tout le monde te voit, là ! Elle ferme la porte en prenant soin de ne pas coincer votre oiseau. La bite à l'air, vous la regardez partir au [[66]] Vous faites le tour de la voiture et vous installez sur le siège passager [[68]]Sans caddie, mais muni d'un panier, vous parcourez les allées du supermarché. Vous faites vraiment quelques courses. Pour autant, ce sont les femmes que vous croisez qui vous intéressent réellement. Le matin, en semaine, il y a principalement deux types de femmes : les retraitées et les mamans. Autant dire que c'est principalement la seconde catégorie qui attire votre attention. Vous repérez plusieurs jeunes femmes à votre goût. Il y a tout d'abord cette blonde, fine, cheveux au carré. Vêtue d'un jeans et d'un manteau long, elle ne vous calcule même pas alors que vous tournez autour d'elle au rayon cosmétique. Dommage, car sa silhouette ne vous déplaisait pas. Vient ensuite une femme un peu forte. Un visage rond, quelquonque, des cheveux noirs ondulés et détachés. Ce qui vous attire, c'est ce top bleu au décolleté plongeant. Vous aperçevez un soutien-gorge noir. Elle s'excuse pour que vous la laissiez passer et se penche pour prendre une produit ménager. Vous matez discrètement son large fessier et vous vous imaginez volontiers la prendre en levrette. Soudain, elle se tourne vers vous et vous demande : - Excusez-moi. Vous pourriez me donner le produit là-haut ? Vous lui donnez la bouteille et elle vous remercie d'un large sourire. Vous en profitez pour entamer la discussion [[46]] Vous la regardez partir en espérant trouver mieux [[48]]Vous entrez dans le magasin. Celui-ci est vaste et très peu fréquenté. Seules deux femmes qui discutent au rayon des vêtements pour enfants seraient suffisamment jolies pour être abordées, mais elles sont absorbées par leur discussion. Vous constatez également qu'il y a peu de vendeuses, peut-être quatre pour tout le magasin. D'ailleurs, il n'y a qu'une caisse d'ouverte. Alors que vous surveillez une jeune vendeuse non loin des cabines d'essayage, vous entendez une voix familière dans votre dos : - Tu es la dernière personne que je m'attendais à voir ici un jeudi matin. Vous vous tournez. Marie-Laure. L'ex-femme de votre cousin avec qui vous entretenez une relation purement sexuelle depuis quelques mois. Passez au [[78]]Vous vous dirigez d'un pas décidé vers le magasin de sport. C'est en y pénétrant que vous vous souvenez soudain que vous avez une randonnée avec des amis, agendée au week-end suivant. Et vos chaussures ont rendu l'âme l'an passé. Direction, le rayon Rando au [[102]]"Vous faites souvent vos courses ici ? Il me semble vous connaitre." Elle sourit à nouveau et vous répond sèchement : "Tu n'as pas autre chose à foutre un jeudi matin ?" Elle vous tourne le dos et s'en va. Dégoûté et humilié (deux autres femmes ont ri en entendant la réponse), vous abandonnez vos courses au milieu du rayon et quittez rapidement le supermarché. Passez au [[50]]Vous souriez à votre tour à la jeune femme et la regardez s'éloigner. Vous espérez ne pas regretter plus tard de ne pas l'avoir abordée car vous auriez volontiers passé un moment avec ce bon gros cul qui quitte désormais votre allée. Vous prenez du bicarbonate de soude. Vous flânez encore dans les rayons sans que votre radar ne s'arrête sur d'autres femmes. Ô, bien sûr, il vous a orienté vers cette sexagénaire si élégante. Mais lorsqu'elle s'est tournée vers vous et qu'elle a souri, son charme édenté a brisé tout net votre élan. Vous commenciez à désespérer quand vous êtes arrivé au rayon frais. Et là, alléluia ! A votre gauche, le nez dans les yoghurts pour enfants, une brune à cheveux raides, queue de cheval et lunettes cerclées de noir. Environ 1m70, un chemisier blanc qui semble légèrement transparent, un pantalon marron qui moule un cul absolument divin et des ballerines blanche. Vous lui donnez 35 ans. A droite, à la recherche d'un fromage, une blonde aux cheveux remontés en un chignon lâche. Des seins énormes comprimés dans un débardeur qui semble trop petit. Une jupe trapèze, du nylon sur ses jambes et des talons hauts. Plus petite (environ 1m60), vous pensez également qu'elle est plus jeune. Vous vous dirigez vers la brune et les yoghurts [[52]] Vous vous dirigez vers la blonde et le fromage [[54]]Au milieu du centre commercial, tournant la tête à gauche et à droite, vous vous souvenez soudain que vous avez une randonnée en montagne prévue pour le week-end à venir et que vos chaussures ont rendu l'âme l'automne dernier. D'un pas décidé, vous vous dirigez vers le magasin de sport [[102]]Vous vous approchez de la brune et faisez mine de choisir des yoghurts à côté d'elle. Du coin de l'oeil, vous la voyez vous jeter un regard... puis un second, beaucoup plus appuyé. Vous prenez des yoghurts à la fraise et lui demandez : - Excusez-moi. Est-ce que vous connaissez ces yoghurts ? Je suis assez difficile en général. Elle sourit, vu qu'il s'agit de yoghurts pour enfants. - Mes enfants les apprécient. Mais pour vous, ceux-ci conviendront mieux. Elle prend d'autres yoghurts à la fraise ailleurs dans le rayon. Vous la regardez : - Ce sont vos préférés ? Elle rit. - J'aime bien, oui. Vous hochez la tête. - Ok, je les prends. Je vous fais confiance. Surtout si je peux vous inviter à boire un café. Son sourire s'estompe juste un instant. Vous comprenez que ce genre d'initiative ne lui est guêre familière. Gênée, elle rougit et bafouille : - Ecoutez, j'ai bientôt fini... Je dois encore allez à au magasin en face... et... - Et ? Accordez-moi le café et je vous offre ce que vous devez acheter au magasin. Elle sourit. - Non, je n'oserai pas. - Mais pour le café. Elle hésite. Vous sentez qu'elle a envie. - Ok. Mais rapide. Vous vous rendez à la caisse. La brune vous a dit qu'elle avait encore une ou deux courses à acheter. Vous payez et allez vous installer au café. De votre table, vous aperçevez les caisses. Soudain, une silhouette connue se dirige vers la sortie et passe devant vous. Marie-Laure, l'ex-femme de votre cousin. Vous interpellez Marie-Laure [[60]] Vous attendez la brune [[62]]La blonde se redresse alors que vous vous approchez d'elle. Mieux, elle vous sourit immédiatement. Impossible de ne pas regarder ses seins, vraiment très impressionnants. Mais cela ne semble pas la déranger. Vous prenez une boite devant elle et en faites volontairement tomber une autre. - Oh mince ! La blonde se penche et le ramasse. Elle vous le tend : - Vous la prenez ? - Non, non, une me suffit. Mais vous devriez le goûter, il est excellent. Elle regarde la boite. Dans son dos, vous voyez la brune s'éloigner et fantasmez sur son postérieur. Votre regard revient sur la blonde. Et sur ses seins. Elle grimace : - C'est du lait de vache. Je suis intolérante au lactose. Pendant qu'elle repose la boite dans le rayon, vous vous lancez : - Si vous n'êtes pas intolérante à la caféine, je vous invite volontiers à en prendre une dose. Elle sourit très largement à votre blague. Elle regarde ensuite autour d'elle et vous dit à voix basse : - Si vous aviez été là jeudi passé, j'aurais certainement accepté. Mais aujourd'hui, mon mari m'accompagne. Il est là-bas, en train de choisir des aubergines. Vous jetez un coup d'oeil aux fruits et légumes. Un homme agé remplit un sac en plastique. Vous froncez les sourcils. - Votre mari, c'est celui avec le pull bleu marine, le v... le plus petit ? - Le vieux, c'est ce que vous alliez dire. Oui, c'est lui. - Vous me faites marcher ? - Non. D'ailleurs, je suis prête à prendre un café avec vous jeudi prochain. Vous la regardez. Ses yeux semblent sincèrement regretter son refus. Qui plus est, le petit vieux s'approche de vous avec son caddie. La blonde y pose un fromage et embrasse le papi sur les lèvres. - Chéri, tu n'as pris que les aubergines. Je t'avais dit de prendre aussi des carottes et des courgettes. Le petit vieux s'éloigne à nouveau. Vous tentez le tout pour le tout au [[56]] Vous abandonnez la partie au [[58]]Vous vous tournez vers la blonde : - Vous êtes divienement belle et extrêmement attirante. J'ai envie de vous. Là. Tout de suite. Accompagnez-moi dehors ! Elle se mordille la lèvre inférieure en rougissant. - Vous êtes séduisant et l'idée de vous suivre m'excite beaucoup. Mais je ne peux pas faire ça à Jean. Vous regardez alentours. Vous êtes seuls dans le rayon. Vous prenez la main de la blonde et la posez sur votre entrejambe. - Vous me plaisez énormément. Elle caresse sans hésiter. - Oh mon Dieu ! Troublée, elle bafouille ensuite, en retirant sa main : - Non, s'il vous plait... Arrêtez, pas ici ! Je vais en parler à Jean. - Pardon ? - Oui, il faut que j'en parle à mon mari. Vous savez, à son âge, il n'est plus très actif. Ce qui l'excite, c'est de me regarder faire l'amour à d'autres hommes. Vous restez bouche béé. La blonde vous fait un petit sourire gêné, comme si elle avait dit une énorme bêtise. Elle dit doucement : - Je suis désolée si cela vous choque et je comprendrais que vous vous en alliez. Vous vous en allez [[58]] Vous restez [[70]]Vous n'inistez pas et dites à la blonde : - Alors peut-être à jeudi prochain. - Oui. A jeudi prochain. Elle rejoint son homme et après avoir pris les yoghurts, vous vous prenez conscience que vous avez oublié votre chocolat en poudre. De retour à la caisse, la brune a disparu. Un peu énervé, vous allez boire un café. Tout seul. Puis vous quittez le supermarché. Passez au [[50]]Vous observez la brune au loin pousser un très volumineux chariot. Les courses pour le mois, certainement. Galant, vous vous levez pour l'aider et l'entrainez vers le petit café du centre commercial. Vous vous installez. Elle dit : - Je n'ai pas beaucoup de temps, à cause de certains aliments que je dois rapidement congeler. - Aucune problème. Les cafés arrivent vite. Vous conversez avec la brune et apprenez qu'elle se prénomme Muriel et qu'elle est maman de trois enfants scolarisés. Son mari travaille à l'étranger et ne rentre que les week-ends. Pendant que vous discutez avec elle, vous l'observez autant que possible et vous êtes partagé sur la suite à donner à ce petit rendez-vous. Muriel est certes une belle femme mais elle n'est pas un canon non plus. Son visage est doux, ses yeux verts magnifiques, mais son sourire qui dévoile ses gencives vous déplait. Si ses fesses vous avaient subjugué, vous ne pouvez pas en dire autant de sa poitrine qui semble bien menue. Muriel a tous, mais absolument tous les attributs de la mère de famille parfaite, de l'épouse aimante et dévouée, de la femme qui fait passer ses enfants, son mari, sa famille avant sa propre personne. Vous l'imaginez quasiment asexuée, ne vivant l'amour physique que pour le plaisir de son mari. Mais vous ne pouvez pas vous empêcher d'imaginer Muriel, avec sa queue de cheval, ses lunettes et ce chemisier blanc un peu transparent, en coquine incandescente. L'espace d'un instant, vous la voyez en secrétaire lubrique, suçant votre queue sous votre bureau. Vous faites-vous des idées ? Vous hésitez. Passez au [[4]] si vous proposez votre aide à Muriel pour emmener le caddie jusqu'à sa voiture Passez au [[10]] si vous prenez congé de Muriel en la remerciant d'avoir accepter votre invitationVous aidez la brune à pousser son lourd caddie jusqu'à sa voiture et transvidez le contenu dans le coffre. C'est après que ça se gâte. La brune vous a vu courir après Marie-Laure et cela semble lui avoir vraiment déplu. A ses yeux, vous n'êtes désormais qu'un coureur de jupons. Elle vous remercie un peu sèchement et vous souhaite une bonne journée. Vous n'avez même pas eu le temps de réagir qu'elle s'en va déjà. Penaud, vous revenez dans au centre commercial au [[50]]Elle s'en va, vous lui faites signe et au moment où vous tournez les yeux en direction de la brune, celle-ci est en train de vous regarder de loin. Vous la voyez monter rapidement dans son gros 4x4 et disparaitre dans le sillage de Marie-Laure. Il faut dire que vous avez bien l'air con, la bite à l'air au milieu du parking. Vous entrez à nouveau dans le centre commercial et passez au [[50]]- Tu es incorrigible ! Marie-Laure sourit, se penche sur votre entrejambe et commence à vous sucer. Elle avait timidement repris les fellations lors de vos deux premiers rendez-vous. Au troisième, elle vous avait pompé comme un déesse et avait avalé, allant même jusqu'à avouer avoir été quasiment "accroc" à la fellation lorsqu'elle avait "autour de 18-20 ans" et avoir sucé "entre 120 et 130 mecs différents en 2 ans". Depuis, Marie-Laure vous fait régluièrement jouir dans sa bouche et cette fellation sur le parking du centre commercial ne fait pas exception. Ravi, vous ironisez : - Tu diras à ton dentiste de ne pas s'étonner s'il y a des dépôts blanchâtres. Elle éclate de rire. - Mince, j'avais complètement oublié. File, il faut que j'y aille ! Vous sortez de la voiture et elle s'en va. Vous retournez au café. La brune n'y est pas. Vous regardez alentours. Personne. Vous attendez quelques instants et passez au [[50]]- Je ne vais nulle part sans vous. La blonde vous sourit et vous fondez. Elle vous glisse : - J'aurais été toute triste que vous me quittiez. Elle fait signe au papi qui s'approche de vous avec les aubergines. Elle l'embrasse à nouveau et lui dit : - Mon chéri, ce Monsieur va nous accompagner à la maison pour un spectacle. Le mot semble être un code entre eux et le visage du papi s'illumine alors. Il se tourne vers vous et dit : - Vous allez faire l'amour avec ma femme ? Vous ferez ça bien, hein ! Je vous surveillerai, moi ! Pas comme l'autre la dernière fois, là ! Une grande brute, celui-là ! Vous savez, il lui a fait mal quand il l'a sodo... La blonde le coupe d'un coup : - Oui, oui, oui, tu as déjà raconté ! On va y aller, d'accord ? La blonde va alors chercher un caddie rempli de packs d'eau qu'elle peine à pousser. Vous l'aidez à atteindre la caisse. Pendant que la caissière scanne les produits, vous vous tenez derrière ce couple mal assorti en regardant le super cul de la blonde dans lequel vous vous réjouissez de pénétrer. Vous passez à votre tous à la caisse et vous vous retrouvez derrière. Votre smartphone tinte. Il s'agit d'un message vocal de Marie-Laure, l'ex-femme de votre cousin avec qui vous entretenez une relation purement sexuelle depuis quelques mois. Vous écoutez : - Coucou Florent. Qui sont cette blonde et ce papi ? Si jamais, je suis dans la boutique de prêt-à-porter derrière toi et je m'apprête à faire quelques essayages. Est-ce que je t'attends ? Allez au [[72]] si vous demandez à la blonde où se trouve leur voiture et poussez leur caddie Allez au [[74]] si vous plantez la blonde et le papi pour rejoindre Marie-Laure La blonde vous sourit adorablement. Marie-Laure attendra. Vous poussez le caddie jusqu'à la voiture du couple qui se situe à l'extrémité du parking. La blonde ouvre le coffre et vous commencez à décharger le packs d'eau. Soudain, vous sentez quelque chose de froid contre vos lombaires. La voix du papi vous glace : - Si tu bouges, je te tue. En face de vous, la blonde vous gratifie d'un sourire qui n'est plus du tout adorable. Sans un mot, elle plonge la main dans la poche arrière de votre pantalon et sort votre carte de crédit. - Le code. Et le bon. Vous n'avez pas des heures pour réfléchir. De toute façon, à quoi bon mentir ? La blonde s'éloigne avec votre carte. Vous envisagez alors de surprendre le papi, mais celui-ci vous fait agenouiller derrière la voiture et braque son pétard sur votre crâne. Moche. La blonde revient quelques minutes plus tard. Il vous a semblé que cela durait des heures. Le papi vous invite à vous relever lentement. La blonde remet votre carte de crédit dans votre porte-monnaie. Elle dit : - Limite à 5'000 atteinte. Vous calculez qu'elle a retiré près de 4'900 francs sur compte. Encore moche. Mais elle ne vous laisse pas le temps de compter plus longtemps et vous assène un coup de genou dans les parties qui vous plie en deux et vous coupe le souffle. Le papi vous pousse dans le fossé. Le couple monte dans la voiture et s'en va. Il vous faut plusieurs minutes pour parvenir à vous relever. Titubant, vous vous dirigez vers votre véhicule. Votre siège n'a jamais été aussi accueillant. Vous roulez jusqu'à chez vous et le numéro [[98]]La plan "Blonde et papi" excitait votre curiosité. Mais la gourmandise de Marie-Laure et sa proximité emportent votre choix. Vous prenez un air désolé et indiquez au couple que vous avez une urgence. Sans prendre le temps de les laisser répondre, vous vous dirigez vers une porte du centre commercial... ... pour mieux rentrer par une autre et vous diriger directement vers le magasin de prêt-à-porter. Le magasin est vaste et vous déambulez à l'intérieur à la recherche de Marie-Laure. Vous entendez alors sa voix dans votre dos. Vous vous tournez. Passez au [[78]]Vous passez à la douche. Vous mangez un oeuf sur le plat. Vous partez au travail. Passez au [[29]]Vous vous faites la bise puisque vous êtes dans un lieu publique. Marie-Laure est resplendissante. Vous vous souvenez qu'elle rentre de vacances. Elle porte un débardeur blanc et un pantalon orange moulant. Marie-Laure est restée mariée près de quinze ans avec votre cousin. Ils ont divorcé depuis plus de dix ans, mais elle est restée proche de votre famille. Alors que votre cousin a rencontré une autre femme, Marie-Laure ne s'est jamais montrée en compagnie d'un autre partenaire. Vous l'aviez toujours appréciée, tant par sa nature souriante, ouverte que par sa beauté discrète. Et à 49 ans, Marie-Laure est une très belle femme. Quatre mois plus tôt, vous aviez croisé Marie-Laure en ville, passé la journée avec elle et cela s'était terminé chez elle pour une souper puis dans son lit. Marie-Laure s'était montrée incroyablement hésitante et maladroite. Mais comme le vélo, cela ne s'oublie pas. Vous aviez passé la nuit avec elle et vous aviez fait l'amour à trois reprises. Pour Marie-Laure, c'était une première avec un homme depuis douze ans, depuis votre cousin. Vous aviez alors appris que Marie-Laure avait eu plusieurs relations avec des femmes depuis le divorce. Depuis cette nuit-là, vous avez revu Marie-Laure à cinq reprises et elle vous a comblé. Vous avez une relation régulière avec elle. Elle ne veut absolument pas s'engager, mais elle vous dit apprécier votre compagnier et d'avoir à nouveau des relations hétérosexuelles. Ce qui ne l'empêche pas de continuer à avoir des relations homosexuelles. Dans le magasin, vous provoquez Marie-Laure : - Je ne savais pas que cette enseigne faisait partie des lieux que tu fréquentes. Elle sourit et répond : - Elle n'en faisait pas partie jusqu'à ce que je rencontre Karin. D'un discret coup de menton, elle vous indique une vendeuse blonde à la coupe au carré assez strict, à l'air sévère. - Nous sortons ensemble depuis l'automne passé. Elle a 45 ans, elle a deux enfants de 10 et 6 ans et elle est séparée depuis 4 ans. Je te présente ? Passez au [[80]] si vous dites à Marie-Laure que vous préférez l'accompagner aux cabines d'essayage pour la voir dans la jupe qu'elle tient à la main Passez au [[82]] si vous acceptez que Marie-Laure vous présente KarinMarie-Laure se dirige vers les cabines d'essayage et vous entrez dans l'une d'elle. A l'intérieur, Marie-Laure et vous vous embrassez, mais il y a quelque chose que cloche. Elle retire son pantalon et passe immédiatement la jupe. Celle-ci est un peu large à votre goût. Alors que vous posez la main sur ses fesses, elle réagit : - Non. - Pourquoi non ? Marie-Laure ne répond pas tout de suite. Elle remet son pantalon avant de se redresser et se tourner vers vous. - Je voulais te présenter Karin, c'était l'occasion rêvée. Elle est la seule à savoir que j'ai une relation avec un homme, en l'occurrence toi. Elle était curieuse de savoir qui tu étais. Tu m'as déçue. - On peut y aller maintenant. - C'est trop tard, Florent. Je n'ai plus envie. Elle prend son sac à main et vous dit : - Je te rappelle. Et elle sort. Vous restez comme un con dans la cabine puis vous sortez. Aucune trace de Marie-Laure, ni de Karin. Vous sortez du magasin. Allez au [[50]]- Je suis également curieux de la connaitre. Dans un grand sourire, Marie-Laure vous prend par le bras et vous entraine en direction de Karin. Quand la blonde se tourne vers vous, dire que vous n'êtes pas emballé est une euphémisme. Regard triste, mâchoire large, Karin esquisse néanmoins un sourire agraéble lorsqu'elle apprend votre identité. Avec un accend allemend prononcé, elle s'adresse ensuite à Marie-Laure : - Je voulais t'appeler, j'ai reçu ta robe. - Oh, c'est vrai ? Tu l'as ici ? - Oui, elle est derrière. Avec tout le reste. - La tienne aussi ? - Oui, oui, tout est là. Marie-Laure s'adresse à vous : - Karin et moi avons une amie commune, Sabrina, et nous sommes invitées à son mariage le mois prochain en Toscane. Nous avons décidé de porter la même robe, en vert pour Karin et en rouge pour moi. Parlant à nouveau à Karin : - Je peux la voir ? - Oui, viens avec moi. Vous attendez les deux femmes à l'entrée de la zone des cabines d'essayage. Elles reviennent quelques instants plus tard. Marie-Laure vous demande : - On aimerait ton avis sur la tenue, Florent. Tu préfères la voir sur Karin ou sur moi ? Vous souriez. - Les deux ? - Il manque une paire de chaussures malheureusement. Vous choisissez Karin [[84]] Vous choisissez Marie-Laure [[86]]Les deux femmes sourient largement et échangent un regard complice. Karin prend un sac et entre dans une cabine. Marie-Laure vous prend la main et vous embrasse : - Merci de l'avoir choisie elle et pas moi. - Pourquoi ? - Ce n'est pas facile pour elle. Elle travaillait dans une banque et elle a été licenciée peu après la séparation avec son mari. Elle a été obligée d'accepter ce job pour nourrir ses enfants. En allant chercher les sacs, elle m'a dit qu'elle mourrait d'envie de passer la robe. Je pense qu'avoir le regard d'un homme sur elle la comblera. Vous vous embrassez. Vous passez les mains sur les fesses de Marie-Laure et les caressez. - J'ai envie de toi. - Mmmh... Moi aussi. Vos langues roulent, vous bandez et Marie-Laure plaque son bas-ventre contre contre sexe. Vous avez désormais bien chaud et Karin sort de la cabine. Cette robe manches courtes est toute simple mais elle lui va à merveille. Discrètement décolletée en V, cintrée sous la poitrine, elle est évasée en dessous, jusqu'aux genoux. Elle s'approche de vous. - Tu es sublime ! J'adorerais être ton cavalier pour ce mariage. Elle rougit et vous remercie. Marie-Laure confirme votre excellente impression et vous glisse, malicieuse : - Et tu n'as pas tout vu. Elle interroge Karin du regard et cette dernière acquiesce. Marie-Laure soulève discrètement la robe pour vous montrer le porte-jarretelles. Vous vous exclamez : - Ça fait aussi partie de la tenue ? - Oui. On portera les mêmes dessous. De la même couleur que la robe. Vous accompagnez Karin devant la cabine, car elle veut se revoir dans le miroir. Marie-Laure lui dit à quel point elle est belle. Karin rougit à nouveau et entre dans la cabine. Avant de fermer la porte, elle demande : - Marie-Laure, peux-tu m'aider à défaire la fermeture Eclair ? Alors que Marie-Laure est en retrait, vous n'avez qu'un pas à faire pour entrer dans la cabine et descendre la fermeture Eclair. Vous entrez [[92]] Vous attendez que Marie-Laure bouge [[94]]Vous regardez Marie-Laure : - Tu sembles pressée de l'essayer et je ne résiste pas à l'envie de la voir sur toi. Marie-Laure vous sourit, vous embrasse, puis Karin lui donne un sac et une paire de chaussures. Vous restez seul avec Karin. Celle-ci ne pipe mot. Vous demandez : - Il y a longtemps que vous travaillez ici ? - Deux ans. - Et avant ? - J'étais au chômage. - Vous avez toujours travaillé dans la vente ? - Non. Avant, je travaillais dans une banque. - Ah ! Et pourquoi avoir changé de domaine ? - J'ai été licenciée puis en fin de droit au chômage. Je n'ai pas eu le choix. Passablement cassante, Karin n'a visiblement pas envie de poursuivre la conversation. D'ailleurs, elle se met à ranger des vêtements. Quelques instants plus tard, Marie-Laure sort de la cabine. Cette robe manches courtes est toute simple mais elle lui va à merveille. Discrètement décolletée en V, cintrée sous la poitrine, elle est évasée en dessous, jusqu'aux genoux. Elle s'approche de vous, adoptant une démarche de mannequin sur un podium. Vous riez. - Tu es sublime ! J'adorerais être ton cavalier pour ce mariage. Elle vous embrasse. - Et tu n'as pas tout vu. Marie-Laure soulève discrètement la robe pour vous montrer son porte-jarretelles. Vous vous exclamez : - Ça fait aussi partie de la tenue ? - Oui. On portera les mêmes dessous. De la même couleur que la robe. Vous vous tournez alors vers Karin pour avoir son avis, mais cette dernière est toujours en train de ranger des vêtements. Marie-Laure lui demande : - T'en penses quoi, Karin ? - Pas mal, oui. Ou comment plomber l'ambiance. Marie-Laure insiste : - Il y a un problème ? - Non, non. Karin part au milieu des cabines d'essayage. Marie-Laure la suit. Vous observez les deux femmes qui discutent à voix basse. Vous n'entendez rien mais Karin se met à pleurer et Marie-Laure l'entraine derrière les cabines. Vous attendez 5, 10, 15 minutes. Le temps commence à vous paraitre long. Après 20 minutes, vous en avez ras le bol. Vous allez voir ce qu'il se passe [[88]] Vous quittez le magasin [[50]]Au fond du couloir, après la dernière cabine, il y a un passage dissimulé derrière un rideau épais. Vous vous y faufilez et jetez un oeil derrière la cabine. Vous apercevez alors Karin sans pantalon, le chemisier ouvert sur un soutien-gorge blanc. Assise jambes écartées sur une pile de carton, elle semble prendre beaucoup de plaisir au cunnilingus que lui délivre Marie-Laure. Penchée en avant, cette dernière est dans une position incroyablement excitante. Karin vous aperçoit et vous lance un regard noir. Elle se caresse la poitrine avant de dégainer un splendide majeur dans votre direction. Vous intervenez [[90]] Vous vous en allez [[50]]C'en est trop. Vous avancez en direction des deux femmes et Marie-Laure cesse son cunnilingus. Elle se redresse et vous regarde. Il semble que vous tombiez mal. Elle vous attire à distance de Karin. - Je suis désolée, Florent. Il y a un... problème. - Pardon ? - Je ne peux pas t'expliquer maintenant. Il faut que tu nous laisses. - Quoi ? - Ne fais pas d'histoires, s'il te plait. Je t'appelle, sans faute. Et elle vous laisse en plan pour retourner vers Karin. Vous n'en revenez pas. Vous quittez le magasin [[50]]Vous prenez les devants et posez la main sur la fermeture Eclair. Celle-ci coince un peu et vous devez faire attention à ne pas abîmer la robe. Vous parevenez alors à lentement ouvrir le zip. Quand vous levez les yeux dans le miroir, vous croisez le regard de Karin. Est-elle surprise par votre initiative ? Ou est-ce de l'envie que vous y lisez ? Vous tentez votre chance en l'embrassant dans le cou [[100]] Vous vous excusez et sortez de la cabine [[96]]Marie-Laure a attendu quelques secondes. Mais sans réaction de votre part, elle entre dans la cabine et descend la fermeture Eclair de la robe de Karin. Celle-ci en ferme vivement la porte. Marie-Laure vous accompagne vers la sortie de la zone d'essayage en hochant la tête. Elle vous sourit et elle dit : - Elle n'attendait que toi, mon grand... - Quoi ? - Elle voulait que ça soit toi qui tire sur sa fermeture Eclair ! Comme tu peux être naïf parfois ! - Mais... je... - La connaissant, elle va faire la gueule en sortant. Tu devrais t'en aller. - Mais non, mais tu rigoles ? - Non, pas vraiment. Je t'appellerai. Marie-Laure vous embrasse et retourne vers la cabine. Dépité, vous sortez du magasin [[50]]- Je suis désolé. Vous tirez la porte derrière vous. Karin ferme le verrou. Marie-Laure vous accompagne vers la sortie de la zone d'essayage en hochant la tête. Elle vous sourit et elle dit : - C'est à cause de moi que tu ne l'as pas baisée ? - Quoi ? - Elle était chaude comme la braise et tu l'as laissée en plan. - Mais... je... - La connaissant, elle va faire la gueule en sortant. Tu devrais t'en aller. - Mais non, mais tu rigoles ? - Non, pas vraiment. Je t'appellerai. Marie-Laure vous embrasse et retourne vers la cabine. Dépité, vous sortez du magasin [[50]]Vous embrassez Karin dans le cou. Elle soupire et son visage s'illumine d'un sourire. Vous entendez la porte de la cabine qui se ferme. Vos mains descendent sur les flancs de Karin qui respire désormais très rapidement. Remontant le long de son ventre, vos mains se posent doucement sur ses seins. Vous la pelotez lentement, tandis qu'elle murmure des "Ja... Jaaa...". Elle ne porte pas de soutien-gorge et vous pincez sans difficulté ses tétons, ce qui la fait frémir de plaisir. Très excitée, Karin frotte doucement ses fesses contre votre membre tendu. Elle se tourne alors et s'agenouille devant vous tout en fermant la porte de la cabine à clef. Tremblante, elle peine à ouvrir votre pantalon et vous devez le déboutonner vous-même. Mais une fois votre bite à l'air, plus besoin de votre aide : après avoir gober votre sexe, elle vous suce avec une frénésie quasi incontrôlable. Quelle énergie ! Vous posez votre main sur sa tête pour calmer ses ardeurs et Karin ralentit son infernale cadence. Elle se redresse ensuite et vous embrasse passionnément. Vous la poussez ensuite lentement contre la paroi de la cabine. Karin quitte un string blanc, pose un pied sur le tabouret et remonte sa robe. Vous découvrez son minou, blonde et très densément poilu. Elle se caresse en vous regardant enfiler une capote. Vous vous approchez d'elle. Elle prend votre sexe et le dirige dans le sien. Un mouvement de hanches vous introduit en elle. Elle halète. - Fais doucement. Ça fait cinq ans que je n'ai pas eu de relations. Vous l'embrassez et souriez. - Sans faire de fellations non plus ? - Là, ça fait plutôt six ans... Vos allers-retours lents et profonds rendent votre partenaire folle de plaisir. Elle colle son bas-ventre contre le votre et jouit quelques instants plus tard en réfreinant un cri. Vous cessez vos va-et-vient et serrez Karin dans vos bras. Elle en est émue. - Merci... Merci Florent... Se détachant de vous, elle vous repousse doucement pour se tourner face au mur de la cabine. La robe tombe à ses pieds. Elle n'est plus vêtue que de son porte-jarretelles et ses talons. Vous regardez l'appétissant cul qu'elle vous offre. Vous voulez prendre votre temps. Vous venez derrière Karin et glissez votre membre dans la raie de ses fesses. La blonde ondule des hanches. Lentement, vous l'amener alors face à une autre paroi de la cabine : celle du miroir. Karin pose ses mains de part de d'autre de celui-ci alors que vous vous introduisez en elle. Vous la prenez d'abord tranquillement en variant de temps en temps les angles de pénétration. Karin vous regarde dans la glace. Vous vous penchez vers son oreille : - Que penses-tu de la femme dans le miroir ? - Elle prend beaucoup de plaisir, elle se sent revivre. - Physiquement ? - Pas trop mal. Elle a encore une belle poitrine, mais ses fesses sont un peu larges et molles. Et puis, elle n'est pas du tout rasée ! Sourires partagés. Après un silence, elle demande : - Tu en penses quoi, toi ? - Un visage qui mériterait plus de sourire, une poitrine exceptionnelle, mais un cul... - Quoi ? - Un cul fabuleux. Vos coups en hanches suivants sont plus secs, plus forts. Karin gémit. Vous lui demandez : - Et sa tenue ? Elle sourit. - De lointains souvenirs... - Pourquoi ? - Un ex adorait les porte-jarretelles. Je savais que si j'en portais un, nous allions faire l'amour, c'était systématique. - Ton mari ? - Non. Il n'aimait pas trop. Je n'en ai jamais porté avec lui. Ça fait plus de vingt ans que je n'en avais pas mis. - Je suis comme ton ex alors. - Je sais ce qu'il me reste à faire si on est amené à se revoir. Vous souriez. - Pourquoi "si" ? On va se revoir. Vous l'embrassez dans le cou après avoir contemplé l'immense sourire de Karin. Vous prenez alors la blonde avec plus d'intensité et de fougue. Vous baisez ses fesses et vous tenant fermement à ses hanches. Elle halète et la discrétion de votre ébat diminue sérieusement alors que vous pilonnez son vagin comme une bête avant de jouir. Vous vous retirez et vous asseyez sur le tabouret, vidé. Karin se redresse avant vous. Elle retire le porte-jarretelles et remet ses vêtements de vendeuse. Elle sort et vous dit de l'attendre. Vous retirez la capote. Vous attendez là une dizaine de minutes puis Karin revient. - Je commençais à penser que tu m'avais oublié. - Excuse-moi, j'ai été prendre une douche rapide. Karin a ramené des lingettes et elle se charge elle-même de nettoyer votre sexe. Ses caresses vous font déjà de l'effet et vous durcissez un peu. Elle sourit. Lâchant la lingette, elle vous masturbe. Oh, vous êtes loin d'être à votre top, mais cela suffit à Karin pour vous reprendre dans sa bouche. Juste pour le plaisir. Elle se relève ensuite et vous vous rhabillez. Vous vous embrassez avant de sortir et échangez vos numéros de téléphone. Vous revenez dans le magasin comme si de rien n'était. Vous prenez discrètement congé de Karin et sortez du magasin. Votre téléphone tinte. Message de Marie-Laure. "je suis rentree. j'espere que vous vous etes faits plaisir ;-) appelle-moi un de ces jours. gros bisous" Passez au [[50]] Vous vous retrouvez devant un mur de chaussures. Basses ou montantes, rigides ou souples, un farandole de couleurs, vous en avez presque la tête qui tourne. Comme vous n'êtes pas un randonneur fou, vous envisagez un paire de chaussures souples et confortables. Néanmoins, votre légendaire fragilité des chevilles vous pousse à opter pour un modèle montant. Alors que vous comparez mentalement les modèles que vous avez vous les yeux, vous entendez : - Je vous que je ne suis pas la seule à hésiter ! Vous vous tournez et regardez la jeune femme assise sur le banc. Vous n'aviez même pas fait attention à elle en arrivant dans le rayon. Ce rouquine au visage constellé de taches de rousseur vous regarde en riant. Vous lui donnez à peu près votre âge et lorsqu'elle finit de rire, vous aperçevez alors ses magnifiques yeux bleus ciel. C'est quand vous baissez les yeux que cela se gâte : ses cuisses semblent imposantes tout comme ses fesses, dissimulées derrière un pullover noué à la taille. Elle est en train d'enfiler une paire de chaussures. Vous souriez et engagez la conversation [[106]] Vous souriez et continuez vos comparatifs [[108]]Vous avez peur que votre imagination vous joue des tours. Surtout, vous avez envie de revoir encore un peu ce très joli cul entrevu au rayon des produits laitiers. Alors que Muriel regarde discrètement sa montre, vous lui dites : - Je ne voudrais pas vos surgelés se réchauffe. Elle sourit, un peu gênée que vous ayez remarqué son coup d'oeil. Vous ajoutez : - Est-ce que je peux vous aider à transporter votre caddie dans votre voiture. Muriel hoche la tête. Elle est touchée par votre sollicitude. - Je ne peux pas refuser. J'ai un peu mal au dos et ce caddie pèse une tonne. Vous poussez alors le lourd engin et tentez de mater l'arrière-train de la brune. Elle vous guide jusqu'à sa voiture, un vieux bus familial japonais. Si son fessier fait frissonner votre entrejambe alors qu'elle ouvre le coffre du véhicule, mais ledit véhicule vous donne des sueurs froides. Vous transvidez le contenu du caddie dans le coffre puis vous le refermez sous les yeux de Muriel. Ses lunettes font désormais très "vieille fille" à vos yeux. Elle vous dit : - J'ai honte de vous demander ça, mais pourriez-vous m'accompagner chez moi pour passer les sacs à la maison ? La question qui tue. Vous acceptez [[14]] Vous refusez [[16]]Vous mesurez le risque de coucher avec une planche comme étant très important. Muriel vous parait fade en réalité. Vous avez néanmoins apprécié le café avec elle. Sans excuse bidon, vous la remerciez pour avoir accepté votre invitation et lui avoué sincièrement avoir passé un bon moment en sa compagnie. Elle rougit en se levant. Vous vous faites la bise. Elle sent la vanille. Vous avez tout de même mauvaise conscience de la laisser partir avec un caddie si lourd. Vous l'emmenez ainsi jusqu'à sa voiture, un vieux bus familial japonais, qui ne fait que confirmez votre décision. Vous revenez ensuite dans le centre commercial, au [[50]]Vous acceptez mais vous ne faites pas le fier. Dans quelle galère vous êtes-vous embarqué ? Muriel vous remercie chaleureusement : - Je n'habite pas loin, rassurez-vous. Vous me suivez ? Vous n'êtes pas garé loin. Sur la route, derrière Murielle, vous vous demandez si vous ne devez pas prendre la poudre d'escampette. Mais bon, vous avez une parole. Vous contournez le village voisin pour accéder à une zone pavillonnaire. La route monte un peu et vous atteignez un portail en bois que Muriel ouvre à l'aide d'une télécommande. Parking pour trois voitures, box fermé pour une voiture et un maison sur deux étages. Vous laissez Muriel se garer en marche arrière. Vous ouvrez le coffre et vous saisissez de deux gros sacs que vous emmenez à la cuisine en contournant la maison. Le jardin est de bonne taille sans être immense non plus. Une jolie terrasse borde la cuisine. A l'intérieur, les volumes sont importants et la décoration est légère et agréable. Vous posez les sacs sur le plan de travail. Vous allez chercher les deux derniers sacs. Quand vous revenez à la cuisine, vous apercevez Muriel qui se saisit d'un pack d'eau. Au moment de le soulever, elle crie en se tenant les reins. Vous vous approchez. - Ça va ? - Je crois que je me suis fait un lumbago. - Asseyez-vous. - Non, impossible. Courbée par la douleur, elle prend appui sur le plan de travail et reste ainsi en grimaçant. Vous lui proposez un verre d'eau puis rangez les produits frais au frigo et au congélateur. Cela vous prend trois minutes. - Vous êtes adorable, Florent. Vraiment. Le reste peut attendre. Je suis vraiment désolée pour ça. Je vais vous raccompagner. Elle essaye de se redresser, mais n'y parvient pas. Quasiment à angle droit, elle prend votre bras, décidée à vous accompagner à la porte. Passez au [[18]] si vous vous sentez enfin débarrassé de ce mauvais pas. Passez au [[20]] si vous vous préoccupez de son étatLe mensonge s'impose cette fois : - J'ai malheureusement rendez-vous dans quelques minutes au centre médical. Ça aurait été avec joie, mais là, je suis vraiment coincé. Muriel n'en prend pas ombrage. - Ce n'est pas grave, je ferai plusieurs voyages. Elle s'approche de vous et vous fait la bise. - Merci pour le café et pour ce coup de main. Ce fut un plaisir. Vous la remerciez également et le regardez monter dans le véhicule. Elle s'en va. Vous retournez dans le centre commercial, au [[50]]Un tour de rein qui a bon dos ! Un aubaine ! - Laissez, Muriel, je connais le chemin. Vous saluez la brune, montez dans votre voiture et quittez la maison sans le moindre regret. Vous retournez au centre commercial au [[50]]- Muriel, je ne peux pas vous laisser comme ça. - Je vais prendre un anti-inflammatoire et masser un peu, ça va aller. - Vous ne préférez pas que je m'en occupe ? Muriel s'arrête et vous regarde. - Je vous ai déjà demandé de m'aider à transporter mes courses, vous allez croire que j'exagère. - Où est la crème ? Demi-tour. Muriel vous indique le tiroir concerné. Dans la même position qu'avant, Muriel sort doucement le chemisier de son pantalon. Vous avez néanmoins eu le temps de regarder ses fesses avec envie. Muriel tient son chemisier sous sa poitrine. Vous déposez un grosse noix de crème au milieu du dos de la brune. Elle a surtout mal sur les côtés. Vous commencez à masser. Au début, vous n'appuyez pas tellement. Comme ce n'est pas très tendu, vous appuyez un peu. Muriel gémit de plaisir. - Oh oui ! C'est tellement agréable ! Mmmh... Vous souriez et imaginez qu'elle pourrait presque dire la même chose si vous étiez en train de la pénétrer. - Un peu plus bas. J'ai mal plus bas. Mais plus bas, il y a la ceinture du pantalon. Vous le lui faites remarquer. - Attendez... Muriel déboutonne son pantalon et le descend légèrement. Vous massez la zone lombaire quelques instants, procurant toujours autant de plaisir à la brune. Sans que vous ne touchez le pantalon, vous remarquez que celui-ci descend petit à petit. Bientôt, vous êtes capable de dire que Muriel porte une culotte blanche. Puis alors que Muriel effectue un petit mouvement d'assouplissement, le pantalon tombe sur ses chevilles. Elle dit : - Oh ! Mon Dieu ! Vous vous baissez pour le remonter mais Muriel vous arrête : - Non, laissez ! Ce sera plus simple pour masser. Vous relevez alors les yeux, le cul de Muriel devant vous. Passez au [[22]] si vous vous relevez et continuez le massage Passez au [[24]] si vous embrassez ses fessesVotre massage semble faire du bien à Muriel et vous le faites durer quelque peu. Quand vous terminez, il semble qu'elle parvienne à se redresser un peu plus. Pendant qu'elle fait de courts mouvements, vous vous lavez les mains. Elle dit : - C'est un peu mieux. Cependant, sa position n'incite guêre à l'optimisme. Vous demandez : - Il serait préférable d'aller chez le médecin, non ? Je peux vous y emmener. - Vous êtes adorable, mais je pense qu'un après-midi de repos suffira. Muriel se redresse un peu, se tourne et semble vouloir vous accompagner à la porte. Elle fait la moue. - Je crois que je vais encore avoir besoin de vous. Vous voulez bien me retirer mes chaussures et mon pantalon ? Je regardez ses pieds. Effectivement, ce n'est déjà pas évident d'être cassée en deux, alors si, en plus, il faut marcher comme un pingouin ! Vous vous penchez, retirez les talons puis le pantalon. Mais si cela libère les jambes de Muriel, la marche reste difficile. Accorchée à votre bras, elle avance péniblement. Vous avez mal pour elle. - Vous êtes vraiment sûr que ça va aller ? - Dès que je serai couchée, ça ira mieux. - Je vous accompagne au canapé ? - Non, je vais m'allonger dans la chambre d'ami, là, à droite. Comme ça, je suis proche de l'entrée. - Maintenant ? - Oui, s'il vous plait. A la porte d'entrée, vous bifurquez à droite et entrez dans une chambre sobre, dôtée d'un lit double et d'une armoire. Vous amenez Muriel jusqu'au lit. Elle s'y allonge avec précaution. - C'est très sympa de votre part, Florent. Merci beaucoup. - De rien. J'espère que vous allez vite vous rétablir. Vous quittez la pièce et ouvrez la porte d'entrée. Alors que vous la franchissez, vous entendez : - Florent ! Vous pouvez m'amener mon portable ? Passez au [[50]] si vous faites mine de pas avoir entendu, montez dans votre voiture et retournez au centre commercial Passez au [[104]] si vous demandez à Muriel où est-ce qu'il se trouveVous embrassez ce cul si appétissant. - Mais que faites-vous ?! Vous n'avez pas le temps de répondre. Mais vous prenez conscience qu'un simple tube de crême peut être une arme redoutable. D'un simple geste du bras, Muriel vient heurter votre tempe avec le tube. Côté bouchon. Vous voyez des étoiles et vous vous affalez au sol. Muriel vous verse de l'eau dessus et dit : - Quittez cette maison immédiatement sans quoi j'appelle la police. Je connais votre prénom et votre numéro de plaque d'immatriculation. Vous vous relevez péniblement. Votre cerveau vaseux vous indique d'obéir. A vrai dire, vous n'avez pas d'alternative. Vous vous dirigez vers la porte et montez dans votre voiture. Vous rentrez chez vous [[98]]- Dans mon sac à main, sur le plan de travail. Vous le cherchez dans le sac. Vous criez. - Je ne le trouve pas ! - Dans une poche extérieure ! L'objet en main, vous revenez vers la chambre. Vous entrez et découvrez Muriel nue lascivement allongée sur le côté. Un corps fin, des jambes galbées, de jolis petits seins et une importante touffe noire. - J'ai envie que vous restiez encore un moment. Alors que vous vous approchez du lit, Muriel glisse vers vous. Son mal de dos semble s'être envolé. Elle déboutonne votre pantalon. - Dès que je vous ai vu au supermarché, j'ai eu envie de vous. Elle sort votre sexe et vous masturbe en souriant. - Et désolée pour le petit sketch du mal de dos. Elle vous gobe. Dire que vous la preniez pour une vieille fille ! Il y a des années qu'on ne vous avait pas pomper avec autant d'énergie et d'intensité. Vous retirez votre haut. Tout en vous suçant, Muriel vous regarde avec appétit. Vous êtes aux anges. Elle cesse sa fellation et vous invite à la rejoindre sur le lit. Nu, vous vous allongez. Elle prend un capote dans la table de nuit, la déroule sur votre membre et s'empale directement dessus. Là encore, Muriel vous étonne. Elle donne tout. Brûlante de désir, elle glisse sur votre queue en caressant son corps. Les yeux mi-clos, elle explose d'un violent orgasme qui la fait crier. Muriel vous fait ensuite rouler et vous attire entre ses jambes. Vous vous redressez, regardez son minou touffu avant de vous pencher sur elle. Elle dit : - Mon mari me baise tellement peu que j'ai perdu l'habitude de m'épiler. Vous commencez à aller et venir en elle. Muriel gémit doucement, halète, remonte en température. Elle jouit à nouveau. Elle a ensuite une attitude qui laisse à penser qu'elle a envie de vous voir jouir. Mais vous désirez la combler encore. Elle a un autre orgasme, puis encore un. Ses yeux expriment son plaisir, son désir. Nouvel jouissance. Elle dit : - Je ne me souviens pas qu'un homme m'ait fait prendre autant de plaisir. Vous êtes au bout. Au moment de jouir, vous vous retirez et éjaculez sur la sombre toison. Muriel rit et vous attire sur elle. Vous n'avez échangé aucun baiser. Vous passez aux toilettes et vous rhabillez. Muriel vous attend dans le hall d'entrée. Etreinte. Vous n'en saurez pas plus sur cette femme surprenante. Vous vous faites la bise et vous quittez la maison. Comblé, vous rentrez directement chez vous au [[98]]Après tout, vous êtes venus ici pour draguer, non ? Vous répondez : - Bah, je ne m'y connais pas du tout et j'ai une rando ce week-end. La rousse rit et se lève après avoir mis les deux chaussures. - Ce n'est pas vraiment compliqué et il y en a pour tous les budgets. Elle vous montre le rayon et vous fait un topo. Vous riez : - Vous travaillez ici, ma parole ! Elle écalte de rire. - Non, mais parfois, quand j'entends les conseils donnés, je me dis que j'aurais largement ma place. Vous aimeriez jeter un coup d'oeil dans son chemisier à carreaux, mais il est trop boutonné pour révéler quoi que ce soit. Mais le regard de la rouquine vous rend tout mièvre. Vous lui expliquez vos attentes et elle pose la main sur une paire d'un bleu électrique. - Ce sont celles-ci qu'ils vous faut alors. Tandis que vous cherchez votre taille, la jeune femme fait quelques pas avec ses chaussures. Elle pose nonchalament sur le banc, le pullover qu'elle portait à sa taille. Jetant un coup d'oeil, vous êtes alors surpris par la taille vraiment importante de son fessier et de ses cuisses. Vous prenez votre paire de chaussures et les essayez [[110]] Vous demandez conseil à la rouquine à propos de la taille [[112]]Elle a peut-être de beaux yeux, mais c'est bien tout ! Vous vous emparez d'une paire de chaussures, les plus belles selon vous, et vous asseyez suffisamment loin d'elle pour ne pas qu'elle s'adresse à vous. Coup de chance, les chaussures vous vont à merveilles. Vous les remettez dans le carton et passez à la caisse. Vous êtes tellement content de votre achat que vous préférez rentrer et vous masturber devant des sites cochons. Passez au [[98]]Coup de chance, les chaussures vous vont à merveilles. Vous les remettez dans le carton et remerciez la rouquine pour son conseil. Vous la laissez un peu en plan, mais vous êtes tellement content de votre achat rapide que vous passez à la caisse et rentrer chez vous pour vous masturber devant des sites cochons. Passez au [[98]]Vous vous approchez de la rousse avec votre modèle en taille 45. - Je dois prendre ma taille ou un peu plus grand ? - Je vous conseille un peu plus grand, à cause des chaussettes épaisses ou si vous devez ajouter une semelle pour plus de confort. Vous cherchez le 46. Quand vous vous redressez, la jeune femme s'est rassise pour retirer ses chaussures. Alors qu'elle est penchée pour les délacer, vous passez derrière elle et ne pouvez refreiner un coup d'oeil dans la zone qui s'est dénudée, entre son chemisier et son jeans. Une ficelle. Formant un Y très ouvert, le string noir de votre voisine vous fait frémir le caleçon et vous imaginez alors ce très gros cul avec un string aussi fin. Ça vous excite. Vous essayez vos chaussures à côté de la rousse [[114]] Ça vous dégoûte. Vous essayez vos chaussures à distance de la rousse [[110]]Vos chaussures vous vont comme un gant. En vous levant, vous avez l'impression d'être dans des pantoufles. Quelle incroyable sensation ! - Elles sont parfaites ! Merci pour votre conseil ! - J'ai aussi trouvé la paire qu'il me faut, mais je vous ai dit que je pouvais travailler ici ! Elle rit, vous aussi. Vous repassez tous deux vos chaussures de ville. Vous vous apprêtez à passer à la caisse quand la rousse dit : - J'ai un service à vous demander. - Oui ? - Je pars marcher avec un groupe d'une dizaine de personnes parmi lesquelles un homme qui me plait beaucoup. Je pense... je crois qu'il n'est pas tout à fait indifférent et en fait, je dois acheter quelques vêtements et j'aimerais un avis masculin. Alors si vous avez encore un moment... Merde, elle n'a qu'à demander à un vendeur. Allez au [[116]] Dis avec ces yeux-là, vous craquez. Allez au [[118]]Vous mentez sur votre emploi du temps et vous lui dites que vous êtes désolé. Mais vous n'avez pas du tout envie de vous tapez un défilé de mode montagnarde par un modèle qui ressemble plus à un culbuto qu'à un mannequin. Direction la case [[98]], soit la caisse, puis votre domicile, où vous vous branlez devant un défilé de lingerieVous accompagnez la rousse, qui se prénomme Lauriane, dans le rayon parallèle. Vous la laissez choisir ses vêtements. Elle dit avoir plusieurs tenues à son domicile, mais elle veut en racheter "au moins deux". Vous ne vous préoccupez pas vraiment de regarder ce qu'elle choisit. Un moment devant des leggings et les tops, puis avançant dans le rayon, Lauriane se retrouve face aux shorts et aux débadeurs. Les bras chargés, vous vous dirigez ensuite vers les cabines d'essayage. Lauriane y entre et vous attendez dehors. Elle ouvre ensuite le rideau. Elle porte un leggings trois-quarts noir et un top manches courtes orangé. Comme il n'y a qu'un miroir dans la cabine, Lauriane vous invite à entrer. Derrière elle, vous vous regardez dans la glace verticale. Elle dit : - Qu'en pensez-vous ? Sincèrement ? - La couleur du top vous va particulièrement bien. - Ça, ok. Mais plus... plus... intimement ? Vous riez à l'adverbe. Elle aussi. - Le top met joliment votre poitrine en valeur. Il n'est pas décolleté, mais il moule bien vos seins. Elle rit, rougit et ferme le rideau. Elle dit, en baissant la voix : - Merci, c'est exactement ce que je voulais entendre. Je le prends. Puis elle ajoute : - Et le leggings ? - Le noir est discret et étouffe les détails. Elle fait la moue. - Si votre copine marchait devant vous en montagne ? - Je regretterais qu'elle n'ait pas pris une autre couleur. Elle sourit. - J'ai bien fait de le prendre en blanc alors. S'asseyant sur le tabouret, Lauriane retire le leggings noir sans aucune gêne et passe le blanc. A part ses grosses cuisses, vous n'avez rien vu, mais... ... vous préférez trouver une excuse pour quitter les lieux. Pas le leggings blanc ! Après avoir payé, vous rentrez chez vous au [[98]] ... vous aimez ce côté effronté. Vous restez au [[120]]- C'est mieux en blanc ? - Disons que c'est l'opposé : on voit tout. - C'est trop ? Too much ? En disant cela, Lauriane a relevé son top. Dans le miroir, vous faites plus que deviner son string et la forme des lèvres de son minou qui s'imprime dans le tissu stretch. Pire, vous restez sans voix quand elle se tourne, poussant les fesses en direction du miroir. Son cul, son string, tout apparait à la lumière du spot qui semble dirigé, telle une lueur divine, directement sur son gros derche. - Alors, votre avis ? All-in. - Je ne pourrais pas faire dix mètres derrière vous. - Ah bon ? - Non. Au premier buisson, je vous emmène derrière et je vous baise. Deux secondes de blanc. Une éternité. Puis Lauriane éclate de rire. Ouf. Quand elle se calme, elle dit : - Bon, alors je prends le noir ? - C'est préférable. Le blanc, c'est effectivement trop. Et puis, c'est salissant. Lauriane rit à nouveau en mettant le leggings noir de côté. - Bon, la suite. Vous me laissez quelques minutes ? Vous allez attendre hors de la cabine au [[122]] Vous contestez au [[124]] Vous sortez de la cabine et attendez quelques minutes. Quand le rideau se rouvre, Lauriane en sort, rhabillée. En vous dirigeant vers la caisse, Lauriane vous explique que les deux shorts qu'elle avait pris étaient trop court pour l'un et trop moulant pour l'autre. Elle vous remercie de l'avoir aidée à choisir sa tenue et file dès qu'elle a fini de payer. De votre côté, vous vous consolez avec la caissière, qui, à défaut d'être jolie, est dôtée d'une poitrine démesurée. Vous rentrez vous masturber en pensant à ces deux obus au [[98]]- Ah ? Cette fois, je dois sortir ? Lauriane sourit. - Vous restez à vos risques et périls ! - Je vous rappelle que vous me demandez de mater vos seins et vos fesses. Elle rit franchement. - A travers les vêtements, c'est différent. Vous vous regardez ensuite sans un mot puis vous vous asseyez sur le tabouret. - Je reste. Elle sourit à nouveau mais de manière plus gênée, et elle commence à retirer son leggings. Le top descend sous ses hanches. Elle va passer un short. Vous intervenez : - Le t-shirt. - Quoi le t-shirt ? - Et bien, enlevez-le, non ? Lauriane vous regarde, ne sachant si vous bluffez ou non. Se redressant, elle retire le top orangé. Coordonnés, le soutien-gorge et le string noirs arborent la même petite fleur blanche. Le string est plus large et plus grand que vous ne l'imaginiez. Ses seins sont comme vous les imaginiez : pas gros, mais bien ronds, comme deux petites pommes plantées de part et d'autre de sa poitrine. Ils seraient parfaits dans la paume de votre main. Lauriane reprend le short en main, vous souriez et faisant "non" de la tête. - Je ne peux pas essayer ce short ? - Pas avant de vous être tournée. Regard de défi, cette fois-ci. Une attitude qui semble plaire à Lauriane qui reprend le dessus : - Voyez-vous, mon cher, le dernier homme à avoir vu mes fesses en pleine lumière est désormais marié et il a une fillette de 3 ans. Vous contournez le piège avec le sourire. - Vous êtes sa maitresse ? Elle sourit à son tour. - Vous m'avez très bien compris. Vous insistez au [[126]] Vous laissez tomber au [[128]]- J'ai très bien compris, oui. Mais je ne suis pas comme ces gentlemens qui ont acceptés que vous éteigniez la lumière. La tête de Lauriane ! Vous prenez le short entre vos mains et le lui tendez. Lentement alors, Lauriane fait un tour sur elle-même et vous restez bouche bée devant la musculature de son cul. Son postérieur est juste incroyable. A faire passer celui de Kim Kardashian pour anorexique mais saillant de muscles parfaitement dessinés. Si sa taille et sa largeur rebutent à travers des vêtements, sa forme à nu est absolument parfaite. Vous avez même pu suivre le trajet du string du haut en bas de la raie de ses fesses. Fantastique ! En un instant, la rouquine vient de passer de la case "Mouais..." à la case "Mon Dieu comme j'ai envie de te baiser !". Cependant, Lauriane prend votre sourire niais pour l'ironie de celui qui a réussi à la faire céder. Son regard se remplit de tristesse. Vous vous empressez de dire : - En fait, non, je n'avais pas compris. Désormais, je sais pourquoi je suis le nouvel homme le plus chanceux au monde. Elle vous interroge du regard. Vous poursuivez. - Votre modestie vous empêchait de montrer cette merveille. - Arrêtez de vous foutre de moi ! Vous vous levez. - Lauriane, regardez-moi dans les yeux ! Ne vous méprenez pas : je suis réellement émerveillé par l'esthétique parfaite de votre fessier. Il semble que Lauriane vous croit. Mais sa mine ébétée ne vous rassure pas. Ses yeux vont et viennent. Déboussolée, émue, elle sourit pour finalement... se jeter dans vos bras. Rit-elle ? Pleure-t-elle ? A vrai dire, votre attention est surtout projetée sur les fesses de Lauriane qui se reflète dans le miroir depuis qu'elle est dans vos bras. En pleine confiance, vous posez les mains sur cet auguste postérieur [[132]] Emu, vous embrassez affectueusement la tête de la rouquine [[130]]Vous regrettez soudain que Lauriane ne soit pas disposée à continuer à jouer. Elle avait pourtant accepter le fait que vous restiez dans la cabine. Déçu, vous la regardez à peine passer ce short bien trop court. D'ailleurs, elle le remarque si rapidement qu'elle le retire sans attendre. Et sans se tourner. Il en est de même pour le second short. Elle se rhabille et ne semble pas remarquer votre frustration. En vous dirigeant vers la caisse, Lauriane vous remercie de l'avoir aidée à choisir sa tenue et s'en va dès qu'elle a fini de payer. De votre côté, vous vous consolez avec la caissière, qui, à défaut d'être jolie, est dôtée d'une sublime bouche, large et ourlée. Vous rentrez vous masturber au [[98]] en imaginant une fellation de la caissière.Vous déposez un baiser sur la tête de la jeune femme. Ses fesses dans le miroir, sa poitrine contre votre ventre, vous ne pouvez réfreiner votre désir et vous commencez à bander. Impossible que Lauriane ne le remarque pas, vous avez la bite plaquée contre son ventre... Lentement alors, Lauriane s'agenouille, ouvre votre pantalon et prend votre membre entre ses lèvres. Mon Dieu que cela est bon ! En regardant en bas, vous avez la tête de la jeune femme qui va-et-vient sur votre chibre; devant, le miroir et le reflet du dos de Lauriane... Vous vous embrassez quand elle se relève. Vous prenez une capote dans votre veste et la glissez sur votre queue. Vous embrassez Lauriane qui se tourne ensuite contre la paroi. Ecartant son string, vous vous introduisez en elle. Aviez-vous seulement imaginé un jour prendre un fion aussi large et musclé que celui-ci ? Non, inimaginable. Vous prenez un pied pas possible à honorer Lauriane et les gémissements étouffés de cette dernière vous laisse à penser que le plaisir est partagé. Un peu trop rapidement à votre goût, vous jouissez. Lauriane, elle, semble ravie. Vous vous embrassez et vous la faites asseoir sur le tabouret de la cabine. A votre tour ensuite de vous agenouiller. Entre les jambes largement ouvertes de Lauriane, vous goûtez à sa vulve chaude et trempée. Vous faites monter la pression, mais la laisser trois fois à la limite de la jouissance. La quatrième fois est la bonne et le corps de Lauriane est parcouru de violents spasmes de plaisir. Quelques minutes plus tard, vous quittez ensemble la cabine. Lauriane vous a laissé son numéro de téléphone. Absolument enchanté par votre passage au centre commercial, vous décidez que vous n'avez plus rien à y faire et rentrez chez vous au [[98]]De son dos, vous posez les mains sur ses fesses. Oh, vous avez le temps de toucher à sa peau, mais c'est à peu près tout. Lauriane vous repousse brutalement. Votre tête heurte la paroi, provoquant un bruit pas possible. Vous voyez les étoiles. Dans le brouillard, vous apercevez Lauriane qui prend ses affaires et qui sort de la cabine. Vous n'êtes pas en mesure de bouger. Quelques instants plus tard, un homme entre dans la cabine et prend de vos nouvelles. Il vous aide à vous redresser. - Que s'est-il passé ? Vous mentez. - J'ai perdu d'équilibre... Vous vous redressez. - Ça va, ça va. - Vous êtes sûr ? - Oui, c'est bon. Un peu sonné, vous reprenez votre voiture et rentrez chez vous au [[98]]Elsa semble vraiment surprise de votre proposition. Elle refuse, dit qu'elle a l'habitude. Vous insistez et elle finit par accepter. Il faut en effet mettre ces cartons sur l'étagère du haut. Les archives sont en fait un réduit poussiéreux et encombré. Vous remarquez immédiatement que certains cartons et classeurs pourraient être détruits et vous en faites part à Elsa qui répond qu'elle n'a pas le temps de s'en occuper et qu'une majorité des documents qui se trouvent ici appartient à votre département. Vous prenez note de vous en occuper au plus vite. Vous vous frayez un passage et Elsa vous indique où poser les cartons. Elle vous les passe un à un. Vous êtes en train de déposer l'avant-dernier quand vous entendez un cri et un bruit de chute : le dernier carton s'est ouvert et un classeur est tombé sur Elsa puis par terre. La belle blonde est pliée en deux par la douleur. Vous sautez de votre escabeau et vous agenouillez devant elle. Le classeur lui est tombé en pointe sous la clavicule. La douleur est si vive qu'elle en pleure. Vous courrez aux toilettes, trempez un mouchoir en tissu et accourez vers Elsa. Elle s'est relevée. Vous lui tendez le mouchoir. Elle s'essuie le visage puis fait de courts mouvements de bras. Elle a mal mais elle peut le bouger. Elle va manifestement mieux et vous remontez à vos bureaux [[5]] Vous lui demandez si vous pouvez tout de même regarder sa clavicule [[9]]Démotivé et amorphe, vous retournez à votre place. Vous faites le strict minimum et vous le faites vite et bien. Dès que vous êtes libéré de vos tâches professionnelles, vous prenez votre air le plus concentré pour lire la presse quotidienne sur le net. Vers 11h45, votre collègue Mélissa demande à la cantonade les projets de chacun pour la pause de midi. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[21]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[25]]Elsa accepte votre proposition. Vous tapotez doucement sur l'os horizontal. Elsa ne dit rien. Bon signe. Elle dit avoir une douleur vive où le classeur l'a heurtée et vous demande de regarder. Pour ce faire, elle ouvre deux boutons de son chemisier. Vous tirez sur le tissu, mais ce n'est juste pas suffisant. Elsa en ouvre un troisième. Un long hématome rouge, comme une parenthèse fermante. Vous posez le mouchoir dessus sur le haut de la rougeur. Vos doigts sont sur la bretelle violette de son soutien-gorge. Elsa reprend des couleurs et plaisante de sa mésaventure : - J'ai des lancées jusqu'au bout du sein ! Vous lui dites que l'hématome descend assez bas. Elle regarde et en aperçoit la second moitié. Déboutonnant une quatrième fois son chemisier, Elsa applique le mouchoir sur le bas de la rougeur. Elle semble aller mieux. Mais sait-elle qu'elle dévoile son sein ? Oui, car elle dit en riant : - Tout va bien ! Je suis aux archives, en soutien-gorge devant mon collègue ! Vous riez et répondez : - En tout cas, je préfère te voir ainsi. A peine avez-vous fini la phrase que vous en comprenez le double-sens. Elsa rit et ne vous rate pas : - Tu veux dire en meilleure santé ou à moitié nue ? Vous souriez et prenez le temps de répondre : - En meilleure santé, certainement. Pour le reste, je ne peux que regretter que tu utilises "à moitié nue" au sens figuré. Vous souriez, tout fier de votre tirade. Elsa devient écarlate et bafouille un "Merci". Passez au [[7]] si vous profitez de son trouble pour déboutonner le reste de son chemisier Passez au [[11]] si vous n'en rajoutez pasVous ouvrez un à un, lentement, les boutons. Elle ne dit rien, respire plus rapidement. Vous dégagez ses épaules et découvrez tout son buste et le soutien-gorge. Vous faites ensuite tomber les bretelles du soutien-gorge et le chemisier tombe à terre. Vous rapprochant d'elle, vous passez vos mains derrière son dos et dégrafez le soutien-gorge qui tombe lui aussi. Apparaissent devant vous deux gros seins bronzés aux larges aréoles, certes tombants quelque peu, mais d'une taille que vous n'imaginiez pas si importante. Vous passez vos mains sur ses seins et commencez à la peloter. Vous murmurez : - Là, nous sommes d'accord : tu es à moitié nue. Vous l'embrassez. Elle est sans réaction. Puis, doucement, ses mains montent à votre torse, ouvre votre chemise. Elle embrasse votre torse en gémissant avant de se coller à vous. Vous avez une gaule monumentale, mais elle ne semble pas vouloir s'en occuper. Elle embrasse à nouveau votre poitrine. Vous prenez sa bouche et cette fois, elle répond à votre baiser. Puis elle dit : - J'ai déjà dépassé toutes les bornes et suffisamment de remords. Respectueux, vous n'insistez pas et passez au [[13]] Vous embrassez à nouveau Elsa [[15]]Il est clair qu'Elsa a été troublée par votre remarque. Vous regrettez quelques instants plus tard votre manque de promptitude et de vivacité d'esprit. Elsa se remet doucement et referme son chemisier. Elle vous remercie d'avoir pris soin d'elle et vous sortez des archives pour rejoindre votre bureau. Démotivé et amorphe, vous faites le strict minimum et vous le faites vite et bien. Dès que vous êtes libéré de vos tâches professionnelles, vous prenez votre air le plus concentré pour lire la presse quotidienne sur le net. Vers 11h45, votre collègue Mélissa demande à la cantonade les projets de chacun pour la pause de midi. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[21]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[25]]Vous dites à Elsa : - Je comprends. Tu es une femme sublime, Elsa, et je meure d'envie de coucher avec toi. Si tu le désires également... - J'en ai envie également. Rien qu'à voir la belle trique dans ton pantalon, je mouille comme une adolescente devant Brad Pitt ! Mais je ne dois pas... Pourtant, vous vous embrassez puis vous ouvrez votre pantalon qui tombe à vos chevilles. Votre boxer est déformé par votre braquemard. Vous regardez Elsa qui sourit. Puis vous baissez votre boxer. La quadragénaire lance un juron. Dans un premier temps, cependant, elle ne bouge pas. Vous échangez un regard puis elle tend timidement une main tremblante jusqu'à votre pénis. Elle le touche enfin, le caresse du bout des doigts, comme si elle en évaluait la douceur. Vous sentez son hésitation. Vous caressez sa main et l'amenez autour de votre gourdin [[17]] Vous la laissez faire, malgré votre furieux envie de coucher avec elle [[19]]- Ça suffit, Florent ! Le ton ferme vous bloque et vous faites machine arrière. Elle a beau sourire ensuite, vous vous sentez coupable. Penaud, vous refermez votre chemise. Vous remontez ensemble à votre étage et vous reprenez le travail. Démotivé et amorphe, vous faites le strict minimum et vous le faites vite et bien. Dès que vous êtes libéré de vos tâches professionnelles, vous prenez votre air le plus concentré pour lire la presse quotidienne sur le net. Vers 11h45, votre collègue Mélissa demande à la cantonade les projets de chacun pour la pause de midi. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[21]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[25]]Vous prenez la main d'Elsa et la posez sur votre queue. Elle l'enserre, monte et descend à deux reprises puis stoppe. - Halala ! Tu vas me faire faire des bêtises ! Allez, on s'en va ! Elle remet son soutien-gorge et son chemisier et vous n'avez pas d'autre choix que de remettre votre pantalon. Avant de sortir de la pièce, elle vous enlace tendrement. - Merci de t'être occupé de moi ainsi. Ça m'a touchée. Et pour le reste, ce sera notre petit secret, ok ? Elle rit en voyant votre mine déçue. - Allez, arrête ! Si tu n'as rien de prévu, on peut manger ensemble à midi. - Je ne sais pas... - Tu as jusqu'à midi pour te décider. Elsa dépose un baiser sur votre joue et ouvre la porte. Vous remontez chacun dans votre bureau. Démotivé et amorphe, vous faites le strict minimum et vous le faites vite et bien. Dès que vous êtes libéré de vos tâches professionnelles, vous prenez votre air le plus concentré pour lire la presse quotidienne sur le net. Vers 11h45, votre collègue Mélissa demande à la cantonade les projets de chacun pour la pause de midi. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[21]] Vous dites que vous êtes déjà pris et vous écrivez un mail à Elsa [[23]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[25]]Doucement mais sûrement, Elsa passe ses doigts autour de votre verge et bientôt, elle la tient fermement et vous masturbe. Pour ce que vous savez d'elle, elle a rencontré son mari à 17 ans et vous vous demandez alors combien de bites elle a branlées ainsi au cours de sa vie. Quand elle vous jette un coup d'oeil coquin, qu'elle passe sa mèche derrière son oreille et qu'elle commence à vous sucer, vous vous faites la même réflexion à propos de la fellation. Mais après quelques instants, vous vous demandez si votre dard n'est pas le second qu'elle pompe. Car elle ne fait pas ça bien, pas bien du tout. Vous devez même vous concentrer pour ne pas débander. Heureusement, cela ne dure pas. Elsa se redresse en souriant et vous vous embrassez à pleine bouche. En confiance, vous relevez sa jupe et caressez ses fesses. Ronde mais un peu molles. Vous passez alors votre main devant et la glissez dans son string. Elle est trempée. Vous commencez à la doigter. En appui contre une étagère, Elsa est de plus en plus excitée. Curieux, vous en profitez : - On dirait que tu as aimé sucer ma bite... - Mmmmh... Oui... - Tu as toujours aimé ça, non ? - Non... - Non ? - Je n'aime pas... Elle gémit de plus en plus fort et... vous ralentissez vos caresses jusqu'à ce qu'elle vous supplie du regard pour que vous les repreniez. Vous rappuyez sur ton petit bouton et relancez la montée. Elsa halète de plus en plus et crie soudain, tandis que son corps se raidit. Vous laissez néanmoins votre main dans son string. Vous l'embrassez. Ses yeux disent encore et vous tentez le coup. Elsa prend son pied et commence à remonter en température. Elle vous murmure à l'oreille : - Ta main... Plus bas... Vous obéissez et descendez un peu votre main le long de ses lèvres. - Encore plus bas... Votre main est sous son entrejambe. Elsa vous serre alors tout contre elle et dit : - Caresse derrière... Vous n'êtes pas sûr d'avoir bien compris et ne bougez pas. Elle sussure dans le creux de votre oreille : - Mets moi le doigt dans le cul... Votre main est trempée de mouille et vous introduisez rapidement votre majeur dans l'anus de la blonde qui prend son pied. - Un autre... Votre index rejoint votre majeur, avant qu'Elsa ne réclame l'annulaire. Votre poignet vous fait souffrir, mais c'est le cadet de vos soucis. Après quelques instants, Elsa vous glisse un "Je suis prête" qui vous donne des frissons. Elle se détache de vous, vous retirez vos doigts et Elsa s'agenouille par terre, les coudes posés sur un carton de factures. Vous relevez sa jupe et découvrez l'anus ouvert et rougi. Vous descendez le string et posez votre gland contre le petit trou avant de vous y enfoncer. Vous ne vous agenouillez pas, vous vous accroupissez derrière elle. Elsa vous jette un coup d'oeil et sourit, un peu perverse. Vous êtes surpris par la rapidité avec laquelle l'anus d'Elsa s'est dilaté et votre sexe y glisse entièrement. Cela vous excite énormément. Vous faites votre maximum pour tenir, mais vous avez rarement pris votre pied ainsi. Soudain, Elsa crie. Nouvel orgasme. Son anus se reserre quelques instants autour de votre queue et vous éjaculez. Vous vous retirez et reprenez votre souffle. Elsa se redresse et vient vous embrasser. - Je n'aime pas sucer, non. On m'a forcé quand j'avais 15 ans et je ne l'avais pas refait depuis. Sur la tête de mes enfants. Par contre, j'aime la sodomie. Elle éclate de rire tandis que vous soufflez encore. - Depuis longtemps ? - Depuis que je suis avec mon mari. Il m'y a initiée. Elle me regarde de souriant et ajoute : - Tu m'as fait jouir dès la première fois. Lui, il lui a fallu près de vingt ans. Elsa vous fait jurer de garder tout ce qu'il s'est passé dans le local pour vous et de reprendre une relation de travail normale, car il ne se passera plus rien. Vous n'en saurez pas plus sur les moeurs d'Elsa. Revigoré par cet évènement, vous revenez motivé dans votre bureau et abattez un travail considérable. Vers 11h45, votre collègue Mélissa demande à la cantonade les projets de chacun pour la pause de midi. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[21]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[25]]Barbara va rentrer chez elle. Marine mange avec une autre collègue de la boite. Richard doit aller faire une course. Mélissa vous propose : - On va acheter un sandwich et on va sur le banc ? "Le banc" est en réalité un vaste tronc d'arbre couché sur lequel plusieurs collègues de l'entreprise ont l'habitude de prendre leur pause lors des beaux jours. - Oui, pourquoi pas... En réalité, cette possibilité ne vous enchante guère, car si vous vous entendez très bien avec vos collègues directs, il y a plusieurs personnes dans l'entreprise qui sont à même de vous gâcher votre pause. Et vous n'avez vraiment pas envie de les y croiser. A midi, vous partez tout de même avec Mélissa, cette grande brune au physique de camionneuse, qui a débuté l'année précédente dans votre équipe. Enfin, "camionneuse", vous êtes un peu dur. Certes, Mélissa n'est pas toute fine et sa grande taille ne joue pas en sa faveur. Un peu large d'épaules, un poitrine assez menue, des hanches larges, la seule partie du corps de Mélissa qui trouve grâce à vos yeux est sa bouche large aux lèvres charnues. Vous vous êtes tout de suite entendu avec elle alors que son fort caractère lui vaut quelques inimités dans l'entreprise. Mélissa est mariée depuis trois ans et vous savez qu'elle aimerait avoir un enfant. Elle en a parlée dès son arrivée dans votre département. Après avoir pris un sandwich dans une épicerie, Mélissa vous propose d'aller au banc. Vous acceptez au [[45]] Vous lui proposez d'aller vous balader dans la campagne environnante au [[47]]Elsa vous répond quelques secondes plus tard, comme si elle attendait votre message. Elle vous propose de vous retrouver à 12h15 au parking, à sa voiture. Vous acceptez et passez au [[85]] Vous refusez et annoncez à Mélissa que vous n'avez rien de prévu [[21]] Vous refusez et annoncez à vos collègues que vous êtes pris [[25]]Vous avez juste envie d'être seul durant la pause de midi. C'est votre côté un peu "ours". Parfois, vous avez juste envie d'être seul pour lire la presse sur votre téléphone mobile. Vous allez donc acheter un sandwich et revenez vous installer dans une salle de conférence de l'entreprise. Vous optez pour celle qui est meublée d'un canapé. Vous faites même une micro-sieste. Vous revenez à votre poste à 13h30 et passez au [[27]]De retour à votre place, vous regardez les minutes avancer bien trop lentement. Seule lueur dans votre après-midi : la pause à 15h. Ensuite, rebelote jusqu'à l'heure du départ. Mais qu'est-ce qui vous a pris de venir aujourd'hui ? Vers 17h30, votre collègue Babara demande à la cantonade si quelqu'un souhaite aller boire un verre. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[41]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[43]]Vous regrettez être venu au travail dès votre arrivée. Vous vous rendez compte que l'après-midi va être long lorsque vous commencez à compter les minutes qui vous séparent de la pause. Vous vous y rendez à 15h. Dans la petite cafétéria, vous retrouvez des collègues. Vous y restez un certain temps et vous vous retrouvez seul avec Elsa, l'assistante de la comptabilité. Avec son carré blond, Elsa vous a toujours fait l'effet d'un champignon. D'un très joli champignon de 42 ans, cela dit, et très joliment vêtu aujourd'hui : un chemisier étroit et cintré, qui laisse deviner sa très honnête poitrine, et une jupe droite suffisamment courte pour dévoiler ses jambes galbées et musclées. Elsa se lève et prend la direction de son bureau en disant : - Pfff, je dois encore descendre tous ces cartons aux archives... Passez au [[33]] si vous lui proposez de l'aider Passez au [[31]] si vous retournez jouer au Solitaire dans votre bureauDe retour à votre place, vous regardez les minutes avancer bien trop lentement jusqu'à l'heure du départ. Mais qu'est-ce qui vous a pris de venir juste pour la demi-journée ? Vers 17h30, votre collègue Babara demande à la cantonade si quelqu'un souhaite aller boire un verre Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[41]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[43]]Elsa semble vraiment surprise de votre proposition. Elle refuse, dit qu'elle a l'habitude. Vous insistez et elle finit par accepter. Il faut en effet mettre ces cartons sur l'étagère du haut. Les archives sont en fait un réduit poussiéreux et encombré. Vous remarquez immédiatement que certains cartons et classeurs pourraient être détruits et vous en faites part à Elsa qui répond qu'elle n'a pas le temps de s'en occuper et qu'une majorité des documents qui se trouvent ici appartient à votre département. Vous prenez note de vous en occuper au plus vite. Vous vous frayez un passage et Elsa vous indique où poser les cartons. Elle vous les passe un à un. Vous êtes en train de déposer l'avant-dernier quand vous entendez un cri et un bruit de chute : le dernier carton s'est ouvert et un classeur est tombé sur Elsa puis par terre. La belle blonde est pliée en deux par la douleur. Vous sautez de votre escabeau et vous agenouillez devant elle. Le classeur lui est tombé en pointe sous la clavicule. La douleur est si vive qu'elle en pleure. Vous courrez aux toilettes, trempez un mouchoir en tissu et accourez vers Elsa. Elle s'est relevée. Vous lui tendez le mouchoir. Elle s'essuie le visage puis fait de courts mouvements de bras. Elle a mal mais elle peut le bouger. Elle va manifestement mieux et vous remontez à vos bureaux [[31]] Vous lui demandez si vous pouvez tout de même regarder sa clavicule [[35]]Elsa accepte. Vous tapotez doucement sur l'os horizontal. Elsa ne dit rien. Bon signe. Elle dit avoir une douleur vive où le classeur l'a heurtée et vous demande de regarder. Pour ce faire, elle ouvre deux boutons de son chemisier. Vous tirez sur le tissu, mais ce n'est juste pas suffisant. Elsa en ouvre un troisième. Un long hématome rouge, comme une parenthèse fermante. Vous posez le mouchoir dessus sur le haut de la rougeur. Vos doigts sont sur la bretelle violette de son soutien-gorge. Elsa reprend des couleurs et plaisante de sa mésaventure : - J'ai des lancées jusqu'au bout du sein ! Vous lui dites que l'hématome descend assez bas. Elle regarde et en aperçoit la second moitié. Déboutonnant une quatrième fois son chemisier, Elsa applique le mouchoir sur le bas de la rougeur. Elle semble aller mieux. Mais sait-elle qu'elle dévoile son sein ? Oui, car elle dit en riant : - Tout va bien ! Je suis aux archives, en soutien-gorge devant mon collègue ! Vous riez et répondez : - En tout cas, je préfère te voir ainsi. A peine avez-vous fini la phrase que vous en comprenez le double-sens. Elsa rit et ne vous rate pas : - Tu veux dire en meilleure santé ou à moitié nue ? Vous souriez et prenez le temps de répondre : - En meilleure santé, certainement. Pour le reste, je ne peux que regretter que tu utilises "à moitié nue" au sens figuré. Vous souriez, tout fier de votre tirade. Elsa devient écarlate et bafouille un "Merci". Passez au [[37]] si vous profitez de son trouble pour déboutonner le reste de son chemisier Passez au [[39]] si vous n'en rajoutez pasVous ouvrez un à un, lentement, les boutons. Elle ne dit rien, respire plus rapidement. Vous dégagez ses épaules et découvrez tout son buste et le soutien-gorge. Vous faites ensuite tomber les bretelles du soutien-gorge et le chemisier tombe à terre. Vous rapprochant d'elle, vous passez vos mains derrière son dos et dégrafez le soutien-gorge qui tombe lui aussi. Apparaissent devant vous deux gros seins bronzés aux larges aréoles, certes tombants quelque peu, mais d'une taille que vous n'imaginiez pas si importante. Vous passez vos mains sur ses seins et commencez à la peloter. Vous murmurez : - Là, nous sommes d'accord : tu es à moitié nue. Vous l'embrassez. Elle est sans réaction. Puis, doucement, ses mains montent à votre torse, ouvre votre chemise. Elle embrasse votre torse en gémissant avant de se coller à vous. Vous avez une gaule monumentale. Elsa s'agenouille lentement devant vous, semblant faire durer le plaisir en déboutonnant votre pantalon et en descendant votre boxer. Un sourire illumine sont visage en découvrant votre membre qu'elle se met à masturber doucement puis elle embrasse et gobe votre bite. On vous avait déjà bien pompé, mais là, c'est le top. Elsa s'occupe de votre sexe comme rarement une femme l'a fait. Tout en variation, la belle blonde vous fait passer par tous les états du plaisir. Ces deux gorges profondes successives, la voir insister pour enfoncer son chibre tout au fond de sa gorge, vous n'en revenez pas. Elsa vous suce tellement bien que vous montez très naturellement en excitation. Elle n'a pas besoin de vous masturber, pas besoin d'accélérer, non. Elle dicte son rythme, la durée de la fellation et le moment où vous jouissez. Vous explosez dans sa bouche et vous remarquez qu'Elsa ne vous avale pas immédiatement. Quelques instants plus tard, elle se relève : - Je crois que je t'appellerai dorénavant quand j'aurais des cartons à descendre ! Vous riez. Elle poursuit. - J'ai envie de ça depuis que tu es arrivé dans la boite. Vous l'embrassez. - Tu m'as rendu fou. - J'adore ça. - Sucer ? - Oui. - Ton mari doit être comblé. - Il se sait privilégié. Nouveau baiser. - Et moi aussi, désormais. Elsa sourit. - Je n'ai jamais considéré que sucer était tromper. Là-dessus, elle vous fait un clin d'oeil et se rhabille. Respectueux, vous remontez avec elle et retournez dans votre bureau au [[31]]Il est clair qu'Elsa a été troublée par votre remarque. Vous regrettez quelques instants plus tard votre manque de promptitude et de vivacité d'esprit. Elsa se remet doucement et referme son chemisier. Elle vous remercie d'avoir pris soin d'elle et vous sortez des archives pour rejoindre votre bureau. Démotivé et amorphe, vous faites le strict minimum et vous le faites vite et bien. Dès que vous êtes libéré de vos tâches professionnelles, vous prenez votre air le plus concentré pour lire la presse quotidienne sur le net. Vers 17h30, votre collègue Babara demande à la cantonade si quelqu'un souhaite aller boire un verre Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[41]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[43]]Mélissa et Marine déclient la proposition. Elles ont des obligations et doivent rentrer. Richard doit récupérer son fils chez sa tante. Vous vous retrouvez seul avec Barbara. - Je n'ai rien de prévu, ça me dit bien. Cette situation vous ravi et vous êtes impatient de prendre l'apéro avec la petite quadra brune, qui a de solides arguments à faire valoir, à commencer par une formidable poitrine dont vous rêvez de connaitre les mensurations. Ensuite, il y a ce visage poupin et ce petit cul juste parfait. Il y a aussi cette petit robe noire qu'elle porte aujourd'hui, agréablement décolleté et moulante à souhait. Enfin, il y a cette séparation avec son mari après dix-neuf ans de mariage et vingt-deux ans de vie commune. A 43 ans, Barbara n'a connu que lui depuis sa majorité. A 17h45, vous quittez l'entreprise et passez au [[67]]Vous éteignez votre PC quelques instants plus tard. Vous saluez ceux qui restent à la cantonade et descendez au parking reprendre votre voiture. Chez vous, vous larvez comme un rat mort devant la télévision. Vous vous faites une pizza, buvez du Coca et regardez un match de foot. Vous avez honte, putain, un vrai beauf ! FINBon gré mal gré, vous vous rendez sur le banc avec Mélissa et comme prévu, quelques taches de votre boite sont déjà là. Blagues de mauvais goût, rires gras, cela vous agace rapidement. Vous avez beau tout faire pour vous concentrer sur Mélissa, rien n'y fait. Votre pause est gâchée et vous ne vous attardez pas. Mélissa n'est pas plus ravie que vous et elle s'excuse même de vous avoir emmené manger là. Vous revenez à votre poste à 13h30 et passez au [[27]]Vous partez sur un chemin entre les champs et rapidement, vous vous retrouvez au calme. Vous marchez lentement étant donné que vous mangez en même temps. Vous papotez essentiellement du travail avec Mélissa. Une fois vos sandwiches avalés, elle vous demande : - Et alors, toi, toujours pas de nouvelle copine ? Vous êtes surpris par sa demande. Même si vous vous entendez bien, Mélissa ne s'est jamais intéressée à votre vie privée, même si elle sait que vous êtes divorcé. - Heu... non. Calme plat. Elle rit. - Bah, tu as raison de prendre ton temps. Je ne me fais pas de souci pour toi. - Ah bon ? Pourquoi ? Il vous semble qu'elle rougit un peu. - Tu es très bel homme, Florent. Tu trouveras sans problème une autre partenaire. Cet aveu vous laisse sans voix. Vous observez Mélissa du coin de l'oeil. Son visage est soudain plus grave. Vous êtes soudain un peu inquiet. - Florent, il faut que je te demande quelque chose. Bingo ! Vous ne dites rien. - Tu sais qu'on aimerait avoir un enfant, Fabrice et moi. Mais ça ne marche pas. Ça fait deux ans qu'on essaye. On a fait des tas de tests. Pour moi, ça va. Elle marque une pause avant de poursuivre. - Pour Fabrice, c'est pas bon. En gros, son taux de bons spermatozoïdes est bas. Très bas, même. La gynéco a été claire : ça peut marcher mais il y a très peu de chance. Elle nous a parlé de fécondation in-vitro, mais nous n'avons pas les moyens. Vous vous doutez alors de la demande à suivre de Mélissa. Vous avez un peu d'argent qui dort à la banque alors pourquoi ne pas lui prêter. Allez au [[51]] si vous devancez sa demande et lui dites que vous pouvez lui prêter quelques milliers de francs. Allez au [[49]] si vous ne dites rien et attendez la suite. - Tu as besoin d'argent ? Je peux volontiers t'en prêter. Mélissa vous regarde avec des yeux ronds et reste interdite quelques secondes. - C'est quand même une sacrée somme pour une FIV. - Je sais, mais je n'ai pas besoin de cette argent dans l'immédiat et je sais que tu me rembourseras petit à petit. Le cerveau de Mélissa semble travailler à toute vitesse. Puis elle vous dit : - C'est super chou de ta part. Je vais en parler ce soir à mon mari. Elle vous enlace et dépose un gros bisou sur votre joue. Vous continuez à marcher mais vous ne pouvez vous empêcher de penser que Mélissa voulait vous demander autre chose. Sa surprise au moment où vous avez proposé l'argent était réelle : elle ne s'attendait pas à ça, vous en êtes persuadé. Mais bon, ce qui est fait, est fait. Vous revenez vers l'entreprise et reprenez le travail au [[59]]- Fabrice a parlé d'adoption. Pour moi, c'est non. Elle marque assez longue pause. Puis elle s'arrête de marcher. - Florent, j'aimerais avoir ton sperme. - Hein ?!!?! Mais tu m'as dit que la fécondation n'était pas envisageable ?! - Je n'ai pas été claire, il n'est pas question de fécondation assistée : j'aimerais que tu me fécondes. Vous devez être blanc comme un linge. Mélissa vous prend la main. - Il y a quelques mois que j'y pense. Parce que tu ressembles à Fabrice, grand, brun, mince et les yeux verts. Parce que j'aime ton caractère, ton humour, ta vison des choses. Parce que si je n'étais pas en couple, je te draguerais. Mélissa passe sa main sur votre joue. Vous vous tournez vers elle. - Tu te rends compte que c'est de la folie. Qui te dit que Fabrice ne demandera pas un test ADN ? - Il ne le fera pas. Il sera trop heureux d'avoir un enfant. - Je... je dois y réfléchir. - Je suis au 14e jour de mon cycle, soit en pleine ovulation. Vous vous prenez la tête à deux mains. Vous avez déjà deux enfants et celui-ci serait de vous sans être le vôtre. Vous essayez d'y voir clair dans ce brouillard. Allez au [[53]] si vous renoncez. Vous foutre dans le pétrain pour un coup de rein, très peu pour vous. Allez au [[55]] si vous acceptez sa proposition. Peut-être que ça ne marchera pas après tout.- C'est de la folie, Mélissa. Je ne peux pas accepter une telle proposition. Je peux te prêter un peu d'argent pour la FIV si nécessaire, mais ça, c'est trop important pour le faire ainsi. Je suis touché et ému que tu aies pensé à moi. Vous l'enlacez. Mélissa sanglote. - Nous n'y arriverons jamais, Florent, jamais. - Je suis sûr que tout rentreras dans l'ordre. - Une seule fois, Florent, rien qu'une seule. Tu peux fermer les yeux si je ne te plais pas, penser à une autre, je m'en fous. - Ça n'a rien à voir, Mélissa, tu le sais bien. Les pleurs de votre collègue redoublent, mais vous restez sur votre position. Elle se calme quelques instants plus tard et vous la prenez dans vos bras. Elle dit : - Tu vois, tu es un mec bien, attentif, tendre. Laisse-moi au moins espérer. Vous réfléchissez. - Ok, si dans une année tu n'es toujours pas enceinte, on en reparlera. Elle vous saute au cou. - Merci, Florent, merci ! Vous revenez vers l'entreprise et reprenez le travail au [[59]]- Tu es folle, Mélissa, complètement folle. - Ça équivaut à un "oui" ? Vous acquiescez. Mélissa vous saute au cou et vous roule une longue pelle. Elle regarde ensuite alentours. Elle sort du chemin, part derrière un buisson, vous ne la voyez plus. Elle vous appelle. Vous la rejoignez. Mélissa est adossée à un bouleau. Elle vous embrasse à nouveau et caresse doucement votre entrejambe. Vous commencez à bander. Elle vous sourit et déboutonne votre pantalon. Vous constatez que le sien est déjà ouvert. Vous imaginez qu'elle va alors se tourner pour que vous la pénétriez, mais la grande brune se penche alors sur votre bite et commence à vous sucer. Quelques instants, vous auriez compris. Après plus trois minutes d'une intense fellation, vous vous dites que Mélissa doit également y prendre du plaisir. Et beaucoup de plaisir. La preuve, lorsqu'elle se redresse et se tourne en descendant son pantalon, vous glissez dans son vagin tel une savonnette sur le carrelage. Vous vous surprenez à prendre votre pied à baiser son gros cul. Mélissa vous demande de faire doucement et vous faites durer le plaisir. Pour votre collègue, il ne s'agit pas que de "fécondation" : elle prend son pied elle-aussi. D'ailleurs, quelques instants plus tard, elle jouit dans un gémissement dissonant. Vous accélérez le rythme et atteignez l'orgasme à votre tour. Vous vous retirez prudemment. Mélissa remonte son shorty et son pantalon puis elle se tourne. Elle a les larmes aux yeux. Elle vous enlace tendrement. - Merci ! Merci, Florent, du fond du coeur. Vous revenez sur le chemin et repartez en direction de l'entreprise. Vous dites : - J'espère que ça va marcher. Mélissa est pensive. Elle dit alors : - Florent, tu es chez toi ce soir ? Il faudrait qu'on le refasse. - Tu es vraiment dérangée, Mélissa. - Oui ou non ? - On verra en fin de journée. La brune doit se contenter de cette réponse. Vous revenez vers l'entreprise et reprenez le travail au [[57]]De retour à votre place, vous regardez les minutes avancer bien trop lentement. Seule lueur dans votre après-midi : la pause à 15h. Ensuite, rebelote jusqu'à l'heure du départ. Mais qu'est-ce qui vous a pris de venir aujourd'hui ? Vers 17h30, votre collègue Babara demande à la cantonade si quelqu'un souhaite aller boire un verre. Passez au [[63]] si vous acceptez la proposition de Barbara Passez au [[65]] si vous déclinez et allez boire un verre avec un autre ami Passez au [[61]] si vous déclinez et vous rentrez chez vous attendre MélissaDe retour à votre place, vous regardez les minutes avancer bien trop lentement. Seule lueur dans votre après-midi : la pause à 15h. Ensuite, rebelote jusqu'à l'heure du départ. Mais qu'est-ce qui vous a pris de venir aujourd'hui ? Vers 17h30, votre collègue Babara demande à la cantonade si quelqu'un souhaite aller boire un verre. Vous dites que vous n'avez rien de prévu et passez au [[41]] Vous dites que vous êtes déjà pris et passez au [[43]]Vous rentrez chez vous peu après et échangez des messages avec Mélissa. Elle sera chez vous à 18h30. En attendant, vous rangez en vitesse la maison et planquez la saleté comme vous pouvez. Bon, le salon et la chambre semblent clean, c'est l'essentiel. Le temps de prendre une douche, de vous rhabiller et vous ouvrez à Mélissa. Votre collègue porte un sac. Elle entre et vous l'invitez à passer au salon. Vous lui amenez un verre de Coca. Elle dit : - Florent, je n'ai pas envie d'un truc nul, genre on baise, tu jouis, je me casse. - J'ai cru remarquer ça à midi, oui. Mélissa sourit. - Quitte à le faire, autant prendre du plaisir, non ? - Effectivement. - Ce soir, nous allons au restaurant. Je t'invite. J'ai réservé pour 20h. - Je peux te draguer alors ? - J'adorerais. Elle rit et vous embrasse rapidement. - Je peux me doucher ? - La salle de bains est libre. Quinze minutes plus tard environ, vous entendez des talons dans votre couloir. Vous tournez la tête et découvrez Mélissa en soutien-gorge, porte-jarretelles et bas jaunes. Elle n'a pas de string, sa vulve est glabre. Maquillée, elle est méconnaissable. Vous vous levez : - Je te plains ? - Tu es sublime, Mel. Vous vous embrassez. Quelques minutes plus tard, après une belle fellation et un excitant cunnilingus, vous allez et venez dans le vagin de la brune tout en malaxant ses petits seins. Vous jouissez juste après elle. Salle de bains tour à tour, habillage dans des pièces séparées (vous lui laissez la chambre qui a un miroir) et à 19h30, Mélissa est toujours aussi sexy. Mini robe rouge moulant et décolletée. Dessous, rien. Les tétons qui pointent, la chatte dont on verrait les poils s'il y en avait, tellement la robe est courte. Des talons hauts qui la mettent à votre hauteur. Elle semble heureuse comme tout. Vous conduisez, elle guide. Vous vous dirigez vers l'extérieur de la ville. Il faut dire qu'avec cette tenue, il ne vaut mieux pas que Mélissa soit surprise avec un ami de Fabrice. Un village, un restaurant. Le parking est à 200m. Vous vous garez et sortez de la voiture. Vous faites le tour, ouvrez à Mélissa. Elle rit : - Quelle galanterie ! Il y a des années qu'on ne m'avait plus ouvert la porte de la voiture. Vous partez en direction du restaurant. Mélissa vous donne le bras. Repas excellent. Léger et fin. Vous buvez peu. Mélissa a attiré tous les regards. Vous quittez rapidement l'établissement, vers 22h. Sur le chemin menant à la voiture, vous posez la main sur les fesse de Mélissa. Elle sourit. - Je le tolère ce soir, mais c'est tout. Vous riez et en arrivant à la voiture, vous soulevez la robe et posez votre main à même la peau de ses fesses. - Si on était seul, je te prendrais bien sur le capote de la voiture. - Mmmh... Je ne l'ai jamais fait. On va ailleurs ? Pas besoin de vous le dire deux fois. Vous partez et vous vous engagez dans un chemin de votre connaissance. Isolé. Mélissa s'est penchée sur votre entrejambe et elle vous suce avec entrain alors que vous vous garez en bordure d'un bois. Quand elle cesse, vous sortez de la voiture et vous retrouvez devant celle-ci. Vous avez laissé les phares allumés. Vous retirez la robe de Mélissa et la posez sur votre capot. Baisers, nouvelle fellation. Mélissa se couche sur la voiture, relève les jambes tandis que vous soutenez son bassin avant de glisse en elle. Vous baisez quelques instants ainsi. Pas confortable, mais excitant. Vous la prenez ensuite par derrière, comme à midi contre l'arbre. Vous caressez son petit trou : - J'ai envie de te sodomiser. - Pas maintenant. Tout à l'heure. Réponse on ne peut plus excitante. Vous redoublez vos efforts et jouissez. Mélissa rhabillée, vous revenez chez vous. Directement dans votre chambre. Sur le lit, Mélissa vous confie : - Je dois te prévenir : en sodomie, j'ai de forts orgasmes et c'est un peu comme si j'éjaculais. Parfois peu, parfois beaucoup. - Je mets un protection sur le lit alors ? Entre ce qui est dit et ce qui est, il y a parfois une différence notable. Vous enculez Mélissa dans toutes les positions. Elle jouit abondamment, violemment, à plusieurs reprises, éclaboussant jusqu'à votre miroir, situé à 1m50 de votre lit. Vous jouissez tout de même dans son vagin. Quand vous prenez conscience de l'état de la chambre, vous en riez. Vous êtes tous les deux couchés dans la mouille dans Mélissa. Vous en avez partout, votre lit est trempé jusqu'au matelas et probablement bon pour la poubelle. Mélissa s'excuse : - Ça n'a jamais été ainsi, je te jure. Elle sourit : - En même temps, seul un de mes ex me sodomisait comme ça. - Pas Fabrice ? - Il n'aime pas. Il le fait parfois pour me faire plaisir. - Reste cette nuit. On recommence dans un moment. Elle rit : - Si mon mari n'était pas à la maison, je pourrais me laisser tenter. - Dommage. Tandis que Mélissa se rhabille, vous enlevez les draps du lit. Le matelas est en effet bon pour la décharge. Heureusment que vous envisagiez de le changer. A la porte, Mélissa vous roule une dernière pelle. Elle promet : - Si je suis enceinte, on repasse une soirée ensemble avant l'accouchement. Elle s'en va. Pas si mal cette journée au fond... FINMélissa et Marine déclient la proposition. Elles ont des obligations et doivent rentrer. Richard doit récupérer son fils chez sa tante. Vous vous retrouvez seul avec Barbara. - Je n'ai rien de prévu, ça me dit bien. Derrière son écran, Mélissa vous jette un regard noir. Vous préférez en effet prendre l'apéro avec la petite quadra brune plutôt que de baiser une nouvelle fois avec Mélissa. En même temps, Barbara a de solides arguments à faire valoir, à commencer par une formidable poitrine dont vous rêvez de connaitre les mensurations. Ensuite, il y a ce visage poupin et ce petit cul juste parfait. Il y a aussi cette petit robe noire qu'elle porte aujourd'hui, agréablement décolleté et moulante à souhait. Enfin, il y a cette séparation avec son mari après dix-neuf ans de mariage et vingt-deux ans de vie commune. A 43 ans, Barbara n'a connu que lui depuis sa majorité. A 17h45, vous quittez l'entreprise et passez au [[67]] Cette journée vous a pris la tête en fait. Il faut vous aérer. Vous éteignez votre PC quelques instants plus tard. Vous saluez ceux qui restent à la cantonade et descendez au parking reprendre votre voiture. Vous partez en ville en appelant trois amis pour venir boire des verres avec vous. Surtout, vous ne répondez pas à Mélissa qui vous harcèle d'appels en absence et de message. Merde à la fin ! Vous vous pétez la tronche avec vos potes et au moins, vous réussissez votre soirée. Vous allez même vous faire sucer par une prostituée avant de rentrer ! Vous avez honte, putain, un vrai beauf ! FINPlutôt qu'un bar bruyant, vous vous retrouvez dans un restaurant, vide à cette heure-là. Barbara semble toute heureuse de boire l'apéro en votre compagnie et commande deux coupes de champagne. Vous trinquez et buvez assez rapidement. Vous offrez la seconde tournée malgré les protestations de Barbara qui dit ne pas supporter l'alcool. Vous papotez de tout et de rien. Pas d'elle, ni de vous. Vous avez de la peine à savoir s'il y a matière à poursuivre la soirée. Rien ne vous indique pour l'instant qu'une éventuelle ouverture serait envisageable. Passez au [[69]] si vous préférer rentrer après l'apéro Passez au [[71]] si vous restez manger avec BarbaraDans votre voiture, vous regrettez de ne pas avoir passé la soirée avec Mélissa. A l'heure actuelle, vous seriez peut-être en train de la sauter. Ou l'auriez-vous déjà fait. Bref, non seulement l'apéro avec Barbara s'est révélé décevant, mais en plus, vous allez devoir tenter de recoller les morceaux avec Mélissa. Vous rentrez frustré et vous allez directement vous coucher. FINFinalement, vous restez manger un pizza. Bien que Barbara n'ait pas désiré de vin et refusé que vous la serviez au début du repas, elle se sert tout de même à deux reprises. Vous ne dites rien. Il est tout de même 23h passé quand vous sortez. Vous avez invité Barbara qui cherche déjà une date pour vous rendre la pareille. Avinée, elle manque de tomber en se tordant la cheville, heureusement sans mal. Vous la prenez par le bras et l'accompagnez jusqu'à sa voiture. Vous hésitez. Elle vous dit que ça va mais ça vous dérange qu'elle parte seule. Elle n'habite pas à côté, qui plus est. Passez au [[73]] si vous la laisser partir Passez au [[75]] si vous décidez de la raccompagner avec sa voitureBarbara cale immédiatement. Elle repart et vous la regardez s'éloigner, quasiment au pas. Vous avez honte de ne pas lui avoir au moins commandé un taxi. Quel rustre vous êtes parfois ! Il est trop tard pour la rattraper et vous rentrez chez vous, honteux. FINVous décidez de la ramener chez elle avec sa voiture. Vous prendrez ensuite un taxi. Elle proteste, dit que ça va, mais finit par s'asseoir sur le siège passager. Durant le trajet, Barbara ouvre sa veste. Vous en profitez pour reluquer ses balles. Elle le remarque et vous dites : - J'aime beaucoup cette robe, elle te va super bien, tu es très élégante. Elle rit, comme si elle ne vous croyait pas. Elle dit : - Puisqu'on en est dans les compliments, je dois dire que tu es vraiment craquant en costume. Tu as du succès, crois-moi. Vous devez rougir car elle éclate de rire. Vous arrivez devant chez elle, elle ouvre la porte du garage et vous y parquez la voiture. Vous vous apprêtez ensuite à appeler un taxi quand elle dit : - J'ai un peu honte que tu m'aies ramenée. Je te paierai le taxi. Vous refusez poliment. Elle se fâche un peu : - Tu m'as invitée à manger et tu m'as ramenée chez moi. Si tu ne veux pas que je paie le taxi, tu permets au moins que je t'offre un verre ? Vous acceptez au [[79]] Vous refusez au [[77]]Vous cédez et la suivez dans l'escalier. Vous entrez dans l'apparement. Le séjour est vaste, clair et décoré avec goût. Les enfants sont chez leur père. Elle vous sert un whisky et vous vous installez sur le canapé. Vous trinquez et elle met un fond musical pendant que vous discutez. Après le second whisky, vous l'invitez à danser. Barbara pose sa tête sur votre torse. Peu après, solennelle, elle brise le silence entre vous : - J'ai quelque chose à te dire. Un ange passe. - J'ai envie de coucher avec toi. Vous arrêtez de danser et lui demandez de répéter. - J'ai envie de faire l'amour avec toi. Vous ne vous êtes pas encore embrassés, rien ! Vous reprenez la danse pour activez vos neurones. Barbara rit et poursuit : - Ici même, il y a quatre mois, je quittais mon mari et je n'ai pas du tout l'intention de me remettre avec quelqu'un, encore moins avec un collègue de boulot. Mais j'ai à nouveau envie de passer du bon temps avec un homme, sans engagement, ni promesse, ni contrainte. Juste pour le plaisir. Pour la première fois de ma vie. Elle vous caresse tendrement la joue : - Je ne suis pas une femme qui multiplie les aventures. Je n'ai connu que deux hommes en tout et pour tout. Je veux juste coucher avec toi. En amis. En collègues, si tu préfères. Fucking collegues ! Vous riez tous les deux. Vous l'embrassez doucement et provoquez : - Mais qu'est-ce qui te fait croire que j'en ai envie ? Soudainement sérieuse, elle répond en passant ses lèvres sur les vôtres : - Mes gros seins. Vous trouvez la réponse tout à fait correcte, surtout quand Barbara vous demande de dézipper sa robe qui tombe à ses pieds : soutien-gorge rouge foncé pointe en avant, tanga assorti et collants noirs. Elle pousse la robe du pied et, tout en dansant, vous caressez le grain de beauté entre ses mamelles. Elle s'apprête à dégrafer son soutien-gorge mais vous l'arrêtez : - Pas tout de suite. Elle sourit. Vous l'attirez sur le canapé et l'embrassez à pleine bouche. Rapidement, vous lui enlevez le collant. Ses seins, certes, mais quel cul ! La petite brune est une vraie bombe. Tout en vous embrassant, Barbara ouvre votre pantalon. Elle s'agenouille à côté de vous et prend votre sexe en bouche comme si elle l'avait fait le matin même. Elle vous enfile ensuite une capote et vient sur vous à califourchon en écartant son string. Elle gémit longuement et un immense sourire illumine son visage : - Au risque de te choquer, chevaucher une belle queue est autrement plus agréable que de jouer avec un gode. Et elle éclate de rire. Elle se remet à glisser de haut en bas de votre membre et vous faites enfin tomber les bretelles de son soutien-gorge. Le poids des seins de Barbara retourne le soutif et vous prenez les lourdes meules de la brunette entre vos mains. Elle rit : - Vas-y, goûtes-les ! Vous aspirez, léchez, gobez, mordillez les deux nibards pendant plusieurs minutes. Votre péché mignon ? Mordiller et aspirer les deux tétons en même temps. C'est d'ailleurs ce que vous êtes en train de faire, quand Barbara a le premier de ses trois orgasmes. Ravie et comblée, elle vous emmène à votre tour à la jouissance avec une habileté certaine. Elle se lève, replace son string et va à la salle de bains. Vous remettez votre pantalon et appelez un taxi. Cinq minutes plus tard, vous êtes prêt à partir quand Barbara sort de la salle de bain et demande où vous allez. Vous lui dites que vous rentrez. Elle vous dit de rester. Passez au [[81]] si vous partez Passez au [[83]] si vous restezVous commandez le taxi et attendez dehors. Barbara attend avec vous mais elle a rapidement froid. Elle vous salue et rentre. Le taxi arrive un quart d'heure plus tard. Vous êtes gelé et vous avez le nez qui coule. Vous avez sûrement pris froid. Le pire était certainement qu'au moment où vous entrez dans le taxi, Barbara se masturbe dans sa salle de bains éteinte en vous matant par la fine fenêtre... FINVous savez que frustrer une femme peut avoir du bon. Barbara a pris son pied, ça ne fait aucun doute. Demain, elle sera encore plus chaude. D'ailleurs vous n'avez pas à attendre longtemps. A peine dans le taxi, vous recevez une photo du gode de Barbara. Commentaires : "je vais devoir me contenter de lui, snif". Vous ne répondez pas. A peine deux minutes plus tard, une photo d'une robe bleue et d'un tailleur noir. Vous adorez lorsqu'elle porte l'un de ces deux tenues. Barbara vous demande de choisir. Vous répondez : "le tailleur noir avec chemisier blanc" "Et dessous?" "Rose et/ou mini. pas de collants. des bas" "si je remplis toutes les conditions?" "je te raccompagne ;-)" Quelques instants plus tard, Barbara envoie la dernière photo. Un soutien-gorge fushia, accompagné d'un string ficelle et de bas noirs. Une seule légende à la photo : "fais de beaux rêves" FINVous restez. Elle semble très contente d'elle. Vous renvoyez le taxi et la suivez dans la chambre. Immense lit à baldaquin. Elle vous embrasse et retire son peignoir sur un baby-doll affriolant. Vous plaisantez : - Tu as de ces nichons ! C'est... énorme ! Elle éclate de rire : - Alors profites-en ! Pour toute réponse, vous embrassez ses seins chacun à leur tour. Elle rit puis constate, étonnée, que vous êtes à nouveau au garde à vous : - Déjà prêt ? Juste le temps de dire qu'il fallait au moins 2h à son mari pour remettre ça et elle s'agenouille pour vous pomper une seconde fois. Elle se relève : - J'aime pas le faire longtemps. Souvent oui, mais longtemps, non. Vous riez et l'allongez dans le lit. Vous vous déshabillez et elle n'en manque pas une miette. Vous lui retirez le string et glissez jusqu'à sa vulve. Votre langue la parcourt et ne manque pas de la faire jouir à deux reprises. Vous passez une capote, venez en elle et la prenez assez vigoureusement. Elle grimace un peu mais vous pousse à continuer. Vous jouissez en même temps. Sublime. Barbara se colle à vous. Vous lui demandez si elle a eu mal : - Un peu. Ça fait quelques années que je ne l'avais pas fait deux fois de suite, comme ça. Et même sans ça, et sans vouloir te lancer des fleurs, tu as un autre calibre que celui de mon mari. Faut que ma petite chatte s'habitue ! Eclat de rire général. Après une pause, elle ajoute : - Tu ne peux imaginer comme cette soirée me fait du bien. Ta charmante compagnie, le restaurant, la danse. Ah, j'ai adoré danser avec toi, c'était tellement romantique ! Elle vous embrasse tendrement et vous bandez à nouveau. Vous souriez et prenez sa main que vous posez sur votre sexe. Vous lui murmurez : - Je veux te prendre en levrette et uniquement comme ça... - J'ai un peu mal. Je ne vais plus pouvoir marcher si ça continue. Elle sourit, vous aussi. Vous dites : - Exactement, que tu ne puisses plus marcher. Elle gémit. - Mmmmh, j'en ai envie. Barbara se met à quatre pattes dans le lit, outrageusement cambrée. Surexcité, vous vous agenouillez derrière elle et la pénétrez sans ménagement. Pas de round d'observation : fermement accroché à ses hanches, vous la pilonnez aussi vite et aussi fort que vous le pouvez. Les gémissements de la brune sont des cris. Elle se masturbe en même temps et soudain, vous lui infligez une immense claque sur les fesses. L'orgasme qui suit la fait trembler durant deux ou trois secondes, le cri qui l'accompagne s'apparente à un râle. Vous reprenez et jouissez en elle. C'est à ce moment là que vous constatez que vous n'avez pas mis de capote. Barbara s'effondre sur le lit et vous à côté d'elle. Après deux bonnes minutes, elle dit : - Mais où est-ce que tu as appris à donner de tels orgasmes ? C'était tellement intense, tellement fort ! Elle a les larmes aux yeux. Elle vous enlace tendrement et se met à pleurer. Longuement. L'orgasme comme un exutoire. Après un passage par la salle de bains, vous vous endormez enlacés. FINElsa vous attend dans son véhicule alors que vous êtes en avance de deux minutes. La blonde serait-elle pressée ? Vous vous asseyez dans le siège passager et Elsa démarre sans attendre. Au feu rouge à la sortie de votre travail, vous êtes surpris de partir à l'opposé du quartier où se trouvent les principaux restaurants. Vous êtes encore plus étonné de la direction qu'emprunte ensuite Elsa. Vous ne dites rien, mais Elsa doit sentir votre doute. Elle fouille dans son sac et vous lance un morceau de tissu : son string. Elle dit : - Le résultat d'une matinée à penser à toi. Le string est trempé, l'odeur est entêtante au possible. Vous bandez à nouveau, si fort qu'Elsa le remarque. Elle pose la main sur votre entrejambe : - Déboutonne-toi... Vous sortez votre bite. Elsa accélère et commence à vous masturber doucement. 160km/h. Elle sort de l'autoroute, fonce dans sur une route de campagne jusqu'à l'entrée d'un village. Sur la gauche, elle entre dans un lotissement et se glisse dans un garage qui s'ouvre. Elsa éteint la voiture et se penche sur votre bite. Elle vous suce. Du pur plaisir. Elle aspire votre queue avec un habileté certaine et une vivacité qui vous emmène rapidement aux portes de l'orgasme, surtout avec le string sur votre nez. Vous avertissez la blonde que vous allez jouir mais elle ne bronche pas. Ainsi, vous déchargez abondamment dans sa bouche. Cinq jours que vous n'aviez pas joui. Elsa continue de vous sucer et nettoie votre bite avant de se redresser : - J'espère que tu es en forme, car ce n'est pas fini. Vous sortez de la voiture et passez dans la maison. Vous avez à peine le temps de jeter un coup d'oeil au rez-de-chaussée qu'Elsa vous guide à l'étage, dans une chambre composée uniquement d'un lit double, d'une armoire et d'une commode, probablement une chambre d'amis. Alors que vous vous allongez dans la couche, Elsa se lance dans un strip-tease parfaitement maitrisé. Elle se déshabille lentement dans des poses suggestives voir un peu plus. Elle termine son effeuillage quelques instants après que votre bite ait repris une belle vigueur. Elle vient à califourchon sur vous, vous embrasse et dirige immédiatement votre sexe dans le sien. Sautillant sur votre queue, la quadra blonde jouit très rapidement. Alors que vous vous apprêtez à la prendre en levrette, un claquement de porte puis un "Maman ?" sonore vous coupe le souffle. Elsa saute du lit et semble entrer dans une sorte de crise de panique. Vous la regardez dans les yeux et lui murmurez : - Vas à la salle de bains passer un peignoir et mouilles tes cheveux, dis que tu étais sous la douche. Et trouve une excuse. C'est quoi la meilleure cachette ici ? - Heu... heu... dans ma chambre, derrière le lit. Ou dans cette armoire. Passez au [[87]] si vous allez vous cachez derrière le lit Passez au [[89]] si vous restez dans l'armoireEn un instant, vous ramassez tous les vêtements et poussez Elsa, qui semble toujours pétrifiée, dans le couloir. Elle vous indique la chambre et vous l'envoyez dans la salle de bains. Effectivement, entre le lit et le mur, l'espace ne sert qu'à entrer dans le lit. Vous vous allongez par terre et triez les vêtements. Vous posez ceux d'Elsa sur le lit et vous vous dandinez pour passer les vôtres. Soudain, la voix de la fille : - Ah ! Mais tu es là ! J'ai vu ta voiture et je t'ai appelée. - J'étais sous la douche, je n'ai pas entendu, excuse-moi... Jusqu'ici, tout va bien. La fille poursuit : - Tu es rentrée ? - Oui, je ne me sentais pas très bien. Je me suis dit qu'un tour par la maison me ferait du bien. Et toi ? Que fais-tu là ? Excuse parfaite et Elsa retourne la discussion. - J'ai oublié un livre de cours. Aline m'attend dans sa voiture. Tu veux que je reste avec toi ? - Non, non, c'est bon. La douche m'a fait du bien. Je vais retourner au travail. - Ok, Maman. A tout à l'heure alors ! Elles se font la bise. Vous entendez ensuite la fille descendre, la porte qui claque à nouveau. Elsa vient ensuite sur le lit. - La voie est libre. Vous sortez de votre cachette et vous asseyez sur le lit. Elsa vous roule une pelle incroyable. - Merci, Florent, tu m'as sauvée la vie. Elle regarde sa montre. - Il nous reste environ 45 minutes. Demande-moi tout ce que tu veux. En un instant, les pensées les plus lubriques traversent votre esprit et, parmi celles-ci, il va bien falloir faire un choix. Passez au [[109]] pour un choix anal Passez au [[111]] pour un choix buccal Passez au [[113]] pour un choix vestimentaireEn un instant, vous triez les vêtements et donnez les siens à Elsa. Vous l'envoyez à la salle de bains puis vous vous glissez dans la penderie de l'armoire. Là, vous essayez de vous rhabiller sans faire de bruit. Soudain, la voix de la fille : - Ah ! Mais tu es là ! J'ai vu ta voiture et je t'ai appelée. - J'étais sous la douche, je n'ai pas entendu, excuse-moi... Jusqu'ici, tout va bien. La fille poursuit : - Tu es rentrée ? - Oui, je ne me sentais pas très bien. Je me suis dit qu'un tour par la maison me ferait du bien. Et toi ? Que fais-tu là ? Excuse parfaite et Elsa retourne la discussion. - Moi pareil. J'ai de forts maux de tête, je vais me reposer cet après-midi. La tuile. La grosse grosse grosse tuile. La voix d'Elsa flanche : - Tu... tu es sûre ? Fais comme moi, prends une aspirine ! - Ecoute, je préfère rester un après-midi ici plutôt que de manquer une semaine. Et puis je n'ai que deux heures de cours cet aprèm' ! - Je ne repars pas tout de suite, on regarde tout à l'heure. Vous prenez votre téléphone portable et le mettez sous silence. Vous écrivez à Elsa : "tu dois la convaincre, la contraindre meme sinon c est cuit" "je sais. je suis perdue la. aide moi" "elle est ou?" "devant la télé" "il y a une autre sortie?" "je ne veux pas que tu bouges, c est trop dangereux. promets moi" "je ne bouge pas, promis. tu peux m amener 3 coussins?" Quelques minutes plus tard, Elsa toque à la porte de l'armoire. La mine défaite, elle vous donne les coussins. - Qu'est-ce que je vais devenir si elle te trouve Florent ? Sauve-moi, s'il te plait, sauve-moi ! - On trouvera un moyen, promis. Reste calme. On continue de s'écrire, d'accord ? - Ok. Vous l'embrassez. Elle sourit timidement. Vous calez les coussins et vous êtes désormais bien confortable. Elsa referme l'armoire et s'en va. Le temps passe. Les échanges de messages avec Elsa sont stérils. Elle n'ose rien dire à sa fille, prétextant que celle-ci va se rendre douter de quelque chose. Il est l'heure de partir. Vous écrivez : "alors ? on fait quoi ? pourquoi tu ne veux pas l envoyer a la douche ?" "j ai peur" "alors reste ici. elle sortira peut etre" "non" "non quoi?" "je vais aller au travail" "QUOI?" "sinon elle va se douter" "je veux bien tout faire pour toi mais il faut me sortir de la Elsa" "a 17h30 elle a son cours de guitare. je rentrerai avant" Passez au [[91]] si vous choisissez de sortir coûte que coûte Passez au [[93]] si vous choisissez de passer l'après-midi dans l'armoireEt puis merde quoi ! La fille est devant la télévision, qu'est-ce que vous risquez. Lentement, vous vous glissez hors de l'armoire. Vous vérifiez que vous avez toutes vos affaires et sortez de la pièce. Vous descendez doucement l'escalier. En bas de celui-ci, vous hésitez. A gauche, une pièce inconnue. A droite, deux portes : d'abord la porte d'entrée puis juste après, la porte qui mène au garage. Mais pour atteindre cette dernière, vous devez traverser le hall et vous découvrir. Vous ne savez pas si la fille est toujours devant l'écran. Passez au [[95]] si vous empruntez la porte de gauche Passez au [[97]] si vous passez par la porte d'entrée Passez au [[99]] si vous tentez la porte du garageAvant de partir, Elsa vous amène des biscuits et deux bouteilles d'eau, une pleine et une vide. Prévoyante. Elle vous promet de rentrer tôt afin de vous libérer. Vous l'entendez saluer sa fille et partir. Le silence se fait. Vous mangez quelques biscuits et buvez un peu. Vous pourriez dormir, mais vous vous y refusez par crainte de ronfler. Vous n'utilisez pas non plus votre téléphone, sauf pour annoncer votre absence à votre chef, car vous préférez garder de la batterie. Vous ouvrez l'armoire sur un centimètre pour avoir de l'air et de la lumière. Peu après, vous entendez des pas à l'étage. La fille est montée. Vous essayez de savoir ce qu'elle fait. Vous l'entendez dans la chambre à côté de celle dans laquelle vous vous trouvez. L'eau du robinet dans la salle de bains, les toilettes à plusieurs reprises. Et puis, la sonnette d'entrée. La fille descend. Une voix masculine. Ils remontent. - J'ai dit à ma mère que j'étais malade. Tu te rends compte qu'elle a failli rester elle aussi ? - Tu es canon, bébé ! Cette robe te va super bien ! Ils doivent s'embrasser, se caresser, vous entendez la fille gémir doucement. Elle dit ensuite : - Viens dans cette chambre. Merde ! Ils rentrent dans "votre" chambre. Vous ne bougez plus. Bruits de baisers, vous osez un coup d'oeil. Vous apercevez la fille dans une courte robe d'été blanche à fleurs. Les mains du garçon la soulèvent parfois. Ils se déplacent légèrement ensuit et vous les perdez de vue. Il semble que la fille le suce. Vous ne les revoyez que quelques minutes plus tard lorsqu'ils se couchent sur le lit. Missionnaire puis levrette puis c'est fini. Elle n'a pas joui. Mais elle a les gros seins de sa mère et vous vous êtes masturbé en la regardant se faire sauter. Les deux amants discutent quelques minutes puis ils sortent de la chambre. Par chance, ils ne ferment pas la porte si bien que vous entendez toute leur conversation. Avec soulagement, vous apprenez qu'ils vont sortir. Un quart d'heure plus tard, vous entendez la porte de l'entrée se refermer. Vous sortez de votre cachette et appelez Elsa. Passez au [[101]] si vous lui demandez de venir vous chercher Passez au [[103]] si vous partez par vos propres moyensVous croisez les doigts pour qu'il y ait une fenêtre à la pièce derrière la porte. Vous entrez et vous tombez dans... la buanderie. Non seulement la fenêtre est trop petite, mais il n'y a pas d'endroit pour vous dissimuler. Vous êtes dans un cul de sac. Vous écrivez à Elsa : "je suis dans la buanderie" "tu avais dit que tu ne bougerais pas" "salue ta fille sur la canape et ouvre la porte d entree, je dois pouvoir passer" "c est risque" "oui mais pas le choix" En attendant le feu vert d'Elsa, vous ouvrez nonchalamment le panier de linge sale. Une envie. En quelques secondes, vous avez extrait quatre strings, probablement ceux de la veille. Deux noirs, un blanc et un rouge. Les odeurs ont malheureusement quitté les tissus et vous les remettez à regret dans le panier. Elsa vous écrit. Vous sortez prudemment. Elle vous fait signer et vous vous pressez pour sortir. Ni vu ni connu. Vous marchez le long du chemin tandis qu'elle vous rejoint en voiture. Vous partez. Elsa pousse un "Ouf !" de soulagement. Elle s'engage sur la route mais s'arrête un peu plus loin au bord de la route. Elle tremble comme une feuille. Vous sortez de la voiture. Elle vous indique un chemin. Vous vous y engagez et lorsque vous n'êtes plus en vue de la route, vous enlacez la blonde qui fond en larmes. Vous l'embrassez passionnément. - J'ai eu tellement peur, Florent ! - La prochaine fois, on ira chez moi. Pas de mauvaises surprises là-bas." Elle rit et se calme doucement. Elle dit ensuite : - C'est une invitation ? - Certainement. Vous vous embrassez à nouveau. Pour la seconde fois de la pause, Elsa vous suce et vous fait jouir dans sa bouche. Vous n'allez pas tardez à l'inviter chez vous. Vous retournez au travail et passez au [[31]]Vous avancez prudemment, jetez un coup d'oeil au salon et ne voyez rien. Au moment où vous appuyez sur la poignée, un cri résonne dans votre dos. Vous ne calculez plus rien : sans vous retourner, vous partez en courant le plus vite que vous pouvez en direction de la route. Vous ne vous préoccupez pas de ce qui se passe derrière vous et espérez seulement qu'Elsa trouvera une bonne excuse. Vous ne devez pas être loin d'avoir battu le record de monde du 2'000 mètres quand vous soufflez enfin. Vous êtes dans les bois, au bord de la route par laquelle vous êtes arrivés. Vous vous asseyez sur une souche et prenez votre téléphone. Elsa vous a écrit trois messages : "tu avais promis de ne pas bouger" "ma fille est traumatisee" "jai du appeler la police" En effet, une diazine de minutes plus tard, vous apercevez au loin une voiture de police qui se gare devant chez Elsa. Elle repart une demi-heure plus tard. Elsa vous récrit : "tu es ou?" "dans le bois, au bord de la route" "j arrive" Vous montez dans la voiture de la blonde qui n'est pas contente, mais pas contente du tout. Vous vous engueulez durant tout le trajet. Passez au [[31]]Vous avancez prudemment, jetez un coup d'oeil au salon et ne voyez rien. Vous avancez dans le couloir et apercevez soudain Elsa qui sort de la cuisine. Sous l'effet de surprise, elle émet un petit cri et vous plongez à l'autre bout du hall. Vous écoutez : - Ça va, Maman ? - Oui, j'ai éternué. - Ah bon ! A tes souhaits alors ! Ouf, le plus dur est fait. Vous vous glissez en silence dans le garage et passez derrière la voiture. Vous sortez votre téléphone et écrivez : "viens! c est bon!" C'est à ce moment-là que vous vous demandez si Elsa n'est pas un peu conne, car elle arrive... avec sa fille !! - Ma chérie, c'est plus raisonnable d'aller à l'école cet après-midi. Passant derrière la voiture, elle ouvre le coffre dans lequel vous vous glissez. Vous étiez clairement mieux dans l'armoire. Les ralentisseurs deviennent vos ennemis, tout comme la conduite sèche d'Elsa. Après avoir déposé la fille, il vous semble qu'Elsa parcourt encore dix kilomètres avant de venir vous ouvrir. Vous la pourrissez dès votre sortie. Pour toutes réponses, elle vous dit : - Mais, elle devait aller à l'école. Merde, vous avez pris des risques pour elle et elle en a rajouté. En arrivant au travail, vous ne la saluez pas. Vous allez éteindre votre ordinateur et prétextant des maux de tête, vous rentrez chez vous. Putain de journée de merde ! FIN- Salut Elsa. J'ai pu sortir du placard, ta fille est partie. - Partie ? Mais elle est malade. - Pas tant que ça apparemment. - Bon, je discuterai avec elle ce soir. Je viens te chercher. Reste à l'étage, car il y a l'alarme en bas. - Ok, à tout de suite. Vous raccrochez et vous sentez l'âme d'un explorateur en attendant Elsa. Vous sortez de la chambre et il y a quatre autres portes. Vous les ouvrez l'une après l'autre : la chambre de la fille, la chambre d'Elsa et son mari, la salle de bains et les toilettes. Passez au [[105]], si vous entrez dans la chambre de la fille Passez au [[107]], si vous entrez dans la chambre d'Elsa et son mari- Salut Elsa. J'ai pu sortir du placard, ta fille est partie. - Partie ? Mais elle est malade. - Pas tant que ça apparemment. Mais bon, j'en profite pour partir. Par quelle fenêtre est-il préférable que je sorte ? Elsa vous indique la procédure pour désactiver l'alarme qui n'est active qu'au rez-de-chaussée et vous sortez ensuite par la porte-fenêtre de la cuisine qui donne derrière la maison. Vous appelez un taxi et attendez près d'une demi-heure le long de la route. Le taxi vous emmène au travail où se trouve votre propre voiture et ce n'est vraiment pas donné. En arrivant au parking souterrain et alors que vous maudissez la fille d'Elsa d'être rentrée à midi et d'avoir foutu en l'air votre ébat avec sa mère, vous remarquez un petit papier sur votre pare-brise. "Coucou ! Désolée de t'avoir fait vivre tout ça et mille mercis d'avoir si bien géré la situation. Puis-je me faire pardonner lors d'une prochaine pause ? Bisous Elsa PS tu me donneras la facture du taxi" Finalement, vous revoyez un peu votre jugement sur la fille d'Elsa. Vous rentrez chez vous et passez la fin de la journée devant la télévision. Votre journée restera dans votre mémoire et vous vous réjouissez de pardonner à Elsa. Au soir, vous vous couchez, plutôt content, non sans vous être branlé en pensant à votre charmante collègue. FINLa robe est la première chose dont vous vous saisissez. Le parfum de la jeune fille vous fait tourner la tête et vous commencez à durcir de l'entrejambe. Vous regardez par terre, mais pas de traces de ses dessous qu'elle avait apparemment retiré avant de mettre la robe. Vous ouvrez ensuite la penderie et observez les tenues à disposition. Vous faites de même avec la commode où vous trouvez ses dessous, avant tout fonctionnels. Rien de croustillant. Vous regardez lentement chaque partie de la chambre en vous déplaçant, cherchant les endroits où elle pourrait dissimuler un journal intime, par exemple. Vous montez alors sur la chaise du bureau et tâtonnez sur le haut de l'armoire. Une boite. Vous en étiez sûr. Vous la prenez et vous l'ouvrez, mais nulle trace de journal. Un peu d'herbe, du papier à rouler, de l'argent et un godemichet. Cherchez l'intrus. Vous refermez la boite et la remettez à sa place. Vous vous apprêtez à sortir quand votre regard est attiré par un tableau. Vous allez y jeter un coup d'oeil et le retournez. Une clé USB minuscule est collée au dos. Ni une ni deux, vous vous en saisssez et allumez le MacBook. Entre temps, vous trouvez un câble USB. En un instant, vous enregistrez le contenu de la clé sur votre smartphone, éteignez le Mac et remettez la clé derrière le tableau. Du travail de pro. Vous veillez à ce que tout soit comme à votre arrivée dans la chambre puis vous sortez. Vous entendez la voiture d'Elsa entrez dans le garage quelques secondes plus tard. Vous descendez lorsque vous l'entendez entrer dans la maison. Elle vous saute au cou, vous embrasse, s'excuse platement et vous promet de se faire pardonner. Mais elle dit : - Il faut qu'on y aille. J'ai dit que je ne ferais pas long et je n'ai pas envie de voir ma fille débarquer à nouveau. Vous allez dans le garage. Elsa vous rejoint quelques secondes plus tard et vous l'embrassez à nouveau : - Dommage, je pensais qu'on aurait un moment. - Un jour prochain, promis, mais pas maintenant, même si j'ai très envie moi aussi. Vous l'embrassez avec passion et la caressez. Le souffle d'Elsa se raccourcit. Vous demandez : - Même pas un tout petit moment ? - Alors vite ! Tandis que vous ouvrez votre pantalon, Elsa se tourne face à la voiture et soulève sa jupe. Ecartant son string, vous la pénétrez et la secouez sans ménagement. Vous jouissez rapidement et partez peu après. Elsa vous dépose à votre voiture. Vous avez rendez-vous avec elle le lendemain à midi, chez vous. Ravi, vous rentrez et nettoyez votre appartement puis vous téléchargez le contenu de la clé USB de la fille d'Elsa sur votre Mac. Il s'agit de son journal intime et il est d'une platitude à faire peur. Vous lisez de travers, faites des recherches sur des mots clé type "mère", "reum", "baiser", "sexe", etc. mais rien n'y fait. Vous arrêtez après une demi-heure et regardez la télévision. Votre journée restera quoi qu'il en soit dans votre mémoire et vous vous réjouissez de ce rendez-vous avec Elsa. Au soir, vous vous couchez, heureux, non sans vous être branlé en pensant à votre charmante collègue. FINLa chambre est parfaitement rangée, rien ne dépasse. Sur un fauteuil, quelques vêtements masculins. Le lit est impeccable et vous veillez à ne pas le toucher. Vous ouvrez la grande armoire et appréciez quelques robes assez sexy de votre collègue. Vous êtes également ravi d'aperçevoir quelques minijupes. Ses dessous sont également bien rangés, alignés et vous n'osez y toucher. Cependant, rien n'interpelle votre curiosité, à part une caisse en tissu contenant des bas et des collants non ouverts. Quelques résilles vous réjouissent, tout comme le nombre de paires de bas par rapport aux collants. Vous êtes assez surpris de remarquer qu'il y a plusieurs paires de bas à jarretelles alors qu'il n'y a ni porte-jarretelles, ni guêpières dans sa lingerie. Il manque une pièce au puzzle. Vous ouvrez ensuite l'unique table de chevet. Des livres, des médicaments, un tube de lubrifiant, des câbles de recharge, des colliers, des bracelets, des dessins d'enfants, des pièces de monnaie, etc. Vous vous permettez de fouiller un peu, car le tiroir doit être le seul endroit en désordre de la chambre. Au fond du tiroir, un clé. Vous regardez alentours, en haut de l'armoire, dans un autre placard, mais rien. Pas de serrure à l'horizon. Pourtant, quelque chose vous dit que cette clé n'est pas là par hasard. Vous cherchez encore quelques minutes, en vain. Vous abandonnez et allez vous allonger sur le lit, dans la première chambre. C'est là, en vous couchant, que vous remarquez que la commode est munie d'une serrure. D'un bon, vous retournez chercher la clé et la glissez dans la serrure. Bingo ! Premier tiroir, godemichets, plug anaux, boules de Geisha, oeuf vibrant, une perruque, des masques, des menottes, une cravache, un arsenal impressionnant. Dans le second tiroir, vous découvrez enfin les ensembles de lingerie fine avec porte-jarretelles, des guêpières, des bustiers, des corsets et bodies torrides. Le troisième tiroir est encore composé de lingerie, mais plus hard avec des combinaisons en résilles, des dessous et une robe en latex. Enfin, le dernier tiroir révèle trois costumes : soubrette, Mère Noël et, bien entendu, infirmière ! Emu et excité d'avoir découvert la "face cachée" d'Elsa, vous parvenez à vous contenir et à refermer la commode à clé. En la remettant dans la table de chevet, vous entendez la voiture d'Elsa entrez dans le garage. Vous retournez dans la première chambre et faites semblant de dormir. Elle vous appelle, vous ne bougez pas. Elle monte, entre dans la chambre et vous "réveille" en vous embrassant. Quand vous ouvrez les yeux, elle s'excuse platement et vous promet de se faire pardonner. Vous la retournez dans la lit et vous vous allongez sur elle. Elle dit : - Pas maintenant, il faut qu'on y aille. J'ai dit que je ne ferais pas long et je n'ai pas envie de voir ma fille débarquer à nouveau. - Dommage, je pensais qu'on aurait un moment. - Un jour prochain, promis, mais pas maintenant, même si j'ai très envie moi aussi. Vous l'embrassez avec passion et la caressez. Le souffle d'Elsa se raccourcit. Vous demandez : - Même pas un tout petit moment ? - Alors vite ! Tandis que vous ouvrez votre pantalon, Elsa soulève sa jupe. Ecartant son string, vous la pénétrez et la secouez sans ménagement. En levrette, face à la commode, vous demandez : - Il y a quoi dans cette commode ? - Des secrets ! Elsa n'a pas menti. - Tu me les dévoiles ? - Pas le temps maintenant... mais demain... chez toi... un échantillon. Cette proposition vous remplit d'excitation et vous défoncez les fesses de la belle blonde qui rugit de plaisir au moment de jouir. Vous jouissez à votre tour et partez peu après. Elsa vous dépose à votre voiture. Ravi, vous rentrez et nettoyez votre appartement puis vous regardez la télévision. Votre journée restera dans votre mémoire et vous vous réjouissez de ce rendez-vous avec Elsa. Au soir, vous vous couchez, heureux, non sans vous être branlé en pensant à votre charmante collègue. FIN- J'ai envie de te sodomiser. Elsa vous sourit puis elle vous allonge sur le lit. Elle vous déshabille avant de sous chevaucher. Elle vous glisse dans son vagin et va-et-vient sur vous durant plusieurs minutes. Elle jouit deux fois. Puis, elle ouvre la table de chevet et prend un tube de lubrifiant. Vous sentez ses doigts contre votre sexe à mesure qu'elle se les enfonce dans l'anus. Doucement, Elsa extrait votre sexe de son vagin pour le glisser dans son petit trou. Vous regardez son visage exprimer le plaisir et un peu de douleur. Les yeux fermés, Elsa sait y faire. Peu à peu, elle monte et descend sur votre bite et accélère en remettant du lubrifiant. Quand votre sexe entre entièrement, elle vous propose de la prendre à quatre pattes. Vous en rêviez, Elsa vous le demande. Agrippé à ses hanches, vous enculez la belle aide-comptable qui semble prendre beaucoup de plaisir elle aussi. Vous jouissez loin dans ses fesses avant de vous retirer. Sodomiser une collègue sur le lit conjugal, priceless ! Après la douche, vous allez boire un café à la cuisine et vous vous embrassez encore un peu, mais rien de plus. Vous retournez au travail et passez au [[31]]- J'ai envie de tu me suces encore et encore. Elsa vous sourit puis elle vous allonge sur le lit. Elle vous déshabille avant de prendre votre bite dans sa bouche. Elle pompe vraiment comme une reine et vous prenez votre pied, d'autant plus qu'elle veille à ne pas vous faire jouir. Mais toutes les bonnes choses ont un fin. Après un bon quart d'heure à vous lécher le noeud, Elsa accélère le rythme et vous déchargez dans sa bouche pour la seconde fois de la pause. Ensuite, vous allez boire un café à la cuisine et vous vous embrassez encore un peu, mais rien de plus. Vous retournez au travail et passez au [[31]]- Prépare-toi de la manière la plus vulgaire et la plus obscène possible pour aller manger au restaurant avec moi. Tu as dix minutes. Elsa vous sourit puis sort de la chambre. Dix minutes plus tard exactement, Elsa toque à la porte puis l'ouvre. Un fantasme. Cuissardes, bas à larges résilles, porte-jarretelles qui dépasse d'une minijupe microscopique, bustier dévoilant la moitié de ses seins, maquillage outrancier, coiffure extravagante... Vous vous levez et vous approchez. Elle dit : - Tu ne m'as jamais vue ainsi, ok ? Vous souriez et faites le signe d'une fermeture Eclair sur votre bouche. Elsa vous pousse sur le lit et vous suce comme une actrice de porno. En plus de la tenue, Elsa ajoute le jeu ! Elle vous chevauche et vous dirige directement en elle. Alors qu'elle sautille sur votre bite, elle dit : - J'adore baiser avec toi ! - Et moi donc ! - Dis-le moi... - J'adore baiser avec toi, Elsa, t'es un putain de bon coup ! - Mmmmh... encore... - Je pensais pas que tu aimais la bite comme ça ! T'es un sacrée cochonne ! Elsa accélère. Vos mots l'excitent. Vous la retournez sur le lit et vous retrouvez entre ses jambes. Elle gémit : - Vas-y, Florent ! Baise-moi bien fort ! Ma chatte est en feu, pilonnes-la ! Les jambes largement écartées, yeux dans les yeux, Elsa gémit tant et vous exhorte à la baiser encore, alors que vous vous efforcez de la prendre aussi fort que vous pouvez. La blonde explose d'un orgasme puissant. - Encule-moi, Florent ! Elsa ouvre la table de chevet et prend un tube de lubrifiant avant de se mettre à quatre pattes. Un peu de répit pour vous. Vous lui léchez l'anus et glissez votre langue à l'intérieur puis vos doigts à l'aide du lubrifiant. Vous tournez Elsa face au miroir de la chambre et posez votre queue à l'orée de son petit trou. Vous regardez son visage exprimer le plaisir et un peu de douleur dans le miroir. Peu à peu, vous allez et venez sur toute la longueur de votre bite. - Ma grosse salope de collègue aime se faire enculer... - C'est si booon... continue... - Redresse-toi, je ne vous plus tes gros seins ! Alors qu'Elsa relève le buste et s'apprête à découvrir un sein, vous donnez un violent coup de rein qui l'oblige à se mettre à nouveau à quatre pattes. Poursuivant sur le même rythme énergique, vous défoncez l'anus d'Elsa dont les cris sont clairement un mélange de plaisir et de douleur. Vous sentez l'orgasme proche et sortez du cul d'Elsa pour qu'elle vous suce. La belle n'hésite absolument pas et gobe votre dard avec gourmandise. Vous éjaculez sur son visage et sur ses seins contre lesquels vous essuyez votre queue avant de la remettre dans la bouche d'Elsa pour un nettoyage plus complet. Elle s'affale sur le lit. - Il y a très longtemps qu'on ne m'avait pas aussi bien baisée. - Tu n'étais pas la même. Elle rit. - Le "Tu ne m'as jamais vue ainsi" ne concernait pas que la tenue ! - Effectivement, je comprends. Elsa vous explique que lorsqu'elle porte ce genre de tenues, son mari sait qu'elle veut être baisée. Et c'est comme si elle devenait une autre femme, parfois maitresse, parfois esclave. - Tu m'as traitée de "pute", non ? - Non. De "cochonne" et de "salope". Elle rit et vous embrasse. Vous ajoutez : - Mais ceci dit, "pute" te va très bien. - Tu as aimé, gros pervers ? - J'ai adoré. Là-dessus, Elsa va se doucher et vous faites également tour dans la salle de bains. Vous allez ensuite boire un café à la cuisine. Le contraste est saisissant entre l'Elsa qui était dans le lit et celle avait qui vous papotez autour du café. Vous vous embrassez encore un peu, mais rien de plus. Vous retournez au travail et passez au [[31]]